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Serbie

En réaction au dernier rapport de la Commission européenne, publié mardi, sur l’élargissement de l’UE, où la Serbie est pressée de s’aligner sur la politique étrangère de l’Union et de renforcer son engagement en faveur des réformes, le ministre serbe de l’Intérieur Aleksandar Vulin a déclaré :

« Nous ne reconnaîtrons pas le prétendu Kosovo, nous n’abandonnerons pas la Republika Srpska, et nous n’imposerons pas de sanctions à la Russie. Nous ne le ferons pas, tant que nous serons dirigés par le dernier dirigeant libre en Europe, le président de tous les Serbes, Aleksandar Vučić. »

Lequel président de tous les Serbes a été plus mesuré, mais c’était lors d’une conférence de presse conjointe avec l’ambassadeur de l’UE, et le fond n’est guère différent :

« Les pressions de l’UE sur la Serbie continueront à varier, une fois ce sera les sanctions contre la Russie, une autre fois ce sera le Kosovo… Notre tâche est d’être forts et engagés dans les réformes. Nous continuerons à travailler sur notre parcours vers l’UE, peut-être pourrons-nous changer quelque chose, peut-être pas... »

Commentaires

  • L'U.E., un gros étron verdâtre et cholérineux d'éléphant malade, une bouse glaireuse et infecte couverte de mouches bleuâtres... Les lobbyistes gluants s'y tortillent comme des larves immondes, et tout le monde veut s'inviter au festin. Les Serbes ? Eh ben, mon côlon !

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