Eugenio Scalfari, fondateur du journal de gauche La Repubblica, ouvertement athée, est mort à 98 ans.
François « a appris avec tristesse le décès de son ami. Il garde avec affection le souvenir de leurs rencontres et conversations denses sur les questions ultimes de l'homme, qu'il a eues avec lui ces dernières années », dit le directeur du Bureau de presse du Vatican.
On n’aura donc plus ces confidences scandaleuses ou hérétiques de François, soigneusement répercutées et enjolivées par Scalfari, sans jamais de démenti.
On remarquera l’étonnante sobriété du cardinal Ravasi, pourtant habituellement pas avare de compliments envers la « culture » la plus anticatholique : il dit se souvenir de Scalfari, « un protagoniste de la culture laïque »...
Commentaires
Quand François zéro va le rejoindre, ils vont pouvoir fonder un quotidien : Tout feu tout flamme, ça va s'appeler. Ça sera d'enfer !
Quotidien que personne ne pourra lire , car à peine imprimé, il va cramer.
En tout cas, Eugenio "bien né" maintenant tu sais...
Le fait que ce pauvre homme soit mort sans se repentir, en dit long sur la nullité de Bergoglio dont la fréquentation n'a eu aucun effet positif sur ce malheureux lequel, maintenant, est fixé sur ses doutes et ses interrogations, si tant est qu'il en eut...
D'autre part, Bergoglio ne pouvait guère le convertir puisqu'il le confortait dans son athéisme par ses mises en doute de la divinité du Christ, de la damnation éternelle, de la vie éternelle niée pour les damnés que Bergoglio pensait plutôt qu'ils étaient rendus au néant etc. etc.
Bref, en un mot comme en cent, Bergoglio et Scalfari c'est kif-kif bourricaud. Quand ils se rencontreront bientôt en Enfer, ce ne sera pas joli-joli à voir....
Le journaliste Peter Seewald est revenu au christianisme grâce à sa fréquentation du Cardinal/Pape Ratzinger.
Je suis heureux d'apprendre ça. Cela confirme donc ce que j'écris plus haut. Il eût suffi que Bergoglio fût croyant et parlât en croyant pour que ce pauvre Scalfari se convertît (ça m'amuse d'écrire au plus-que-parfait du subjonctif, qu'on n'y voit aucune pédanterie...).
Donc, je pense que Bergoglio a une plus grande responsabilité et il aura à répondre de l'âme perdue de Scalfari
car c'était son métier de le ramener sur le droit chemin...
Rectificatif : il s'agit plutôt du subjonctif imparfait...