En Espagne, le Sénat a adopté définitivement hier la loi qui prévoit des peines de prison pour toute personne qui « harcèlera » une femme ou un professionnel de santé en vue de « faire obstacle à l’exercice du droit à l’interruption volontaire de grossesse », via « des actes gênants, offensifs, d’intimidation ou de pression ».
Le principal acte gênant, offensif, d’intimidation ou de pression, est le fait de prier devant un avortoir.