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20e dimanche après la Pentecôte

Allelúia, allelúia. Parátum cor meum, Deus, parátum cor meum : cantábo, et psallam tibi, glória mea. Allelúia.

Alléluia, alléluia. Mon cœur est prêt, ô Dieu, mon cœur est prêt ; je te chanterai un psaume, toi qui es ma gloire. Alléluia.

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La mélodie de l’alléluia de ce dimanche a été reprise avec d’autres mots pour le 4e dimanche de l’Avent. L’alléluia lui-même est également connu par ailleurs. D’autre part la mélodie du verset se termine par une longue formule finale de graduels du 1er mode (avec un bel ajout avant la descente vers le si). En effet le verset est du premier mode (de ré), alors que l’alléluia est du troisième mode (de mi), ce qui est assez étrange (surtout au moment de la reprise de l’alléluia), mais explique pourquoi le jubilus n’est pas repris à la fin du verset.

On remarque aussi le très long mélisme sur « gloria », avec la même formule répétée trois fois, mais amenée les trois fois de façon différente. Au 4e dimanche de l’Avent, ce mélisme illustre le mot « facinora » : le fardeau. Ce sont deux façons opposées de considérer la mélodie, mais toutes deux légitimes.

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