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16e dimanche après la Pentecôte

Timébunt gentes nomen tuum, Dómine, et omnes reges terræ glóriam tuam. ℣. Quóniam ædificávit Dóminus Sion, et vidébitur in majestáte sua.

Les nations craindront votre nom, Seigneur, et tous les rois de la terre votre gloire. Parce que le Seigneur a bâti Sion et qu’il sera vu dans sa majesté.

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Le texte du graduel vient du psaume 101. Un psaume relativement long, qui commence par une supplique personnelle mais abondamment utilisée par la liturgie (Domine exaudi orationem meam et clamor meus ad te veniat), et s’épanouit dans une perspective universaliste, si frappante dans les psaumes, et que les israélites n’ont toujours pas comprise…

La mélodie est composée pour l’essentiel de formules centons, mais bien agencées et qui correspondent parfaitement au texte : premier accent sur le « Nom » du Seigneur, deuxième sur « tous les rois de la terre », troisième sur « ta » gloire. Il en est de même dans le verset, où la mélodie culmine sur « Sion », la Jérusalem mystique où tous les rois adoreront le Seigneur, le « Nom » qui était le premier point culminant du répons.

Commentaires

  • Cher Yves

    Il me semble que les Juifs ont bien noté la perspective universaliste de l Ancien Testament

    MAIS ils ren attendent la réalisation lors de la venue du Messie !!!

    D ailleurs nous sommes presque d accord puisque pour nous le messie est venu et donc l heure de l l'universalité est arrivée (avec l Eglise catholique qui signifie universelle)

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