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Dhimmi d’honneur

Le premier dhimmi d’honneur de ce ramadan, en l’état actuel de mes informations, est Mgr Alain Guellec, évêque auxiliaire de Montpellier, qui a participé à la première « prière du vendredi » à la grande mosquée de la ville.

Il s’agit hélas, mais hélas sans surprise, d’un compatriote, un Bigouden né à Saint-Gué…

Commentaires

  • Montpellier, deuxième ville homosexuelle de France, ils font la loi même dans l'enseignement dit catholique sous contrat.
    Je parle de choses vues à plusieurs reprises et pas de dénigrement.

  • d'où sortez-vous votre statistique ?
    Montpellier n'est pas une si grande ville
    quand j'y étais étudiant, on considérait que la grande ville était Toulouse
    je ne demanderai pas une traduction en français du nom de l'évêque; autant que je sache, il n'est pas trés convenable : à Montpellier comme à Toulouse et autrefois à Alger, on parlerait de "cervelle basse"

  • Jusque dans les années 70, Montpellier était un trou, à l'exception de la faculté. Même Nîmes était plus vivante, c'est dire.
    Et puis vint Georges Fréche, fou virulent et ingérable (même par ses amis du PS) en public, et être délicat, immensément cultivé et d'une infinie bonté et générosité en son privé. Qu'on aime ou non, c'est lui qui a façonné le nouveau Montpellier.
    Mgr Guellec est un homme excellent, très aimé dans l'Herault, Il me fait penser au cardinal Richard plus jeune, qui a tant fait pour le monde traditionnel, sans tam-tam. Ne tirez pas sur le pianiste.
    Cette visite est une erreur, il ne faut pas sembler s'unir à la fausse prière de ces gens. Il y a d'autres moment pour aller boire un thé à la menthe hors caméra

  • "Ricard" évidemment.

  • effectivement, la plus grande fête était la feria de Nîmes, mais j'ai peut-être une vision un peu faussée parce que j'habitais Palavas où il y avait toujours une certaine vie; j'allais tous les jours à Montpellier par le petit train pour lequel j'avais un abonnement; mes compagnons de voyage habituels étaient des petits gitans qui avaient le même abonnement que moi, moi pour aller à la fac et à la B.U., eux pour aller mendier sur l'Esplanade, ce qui prouve qu'ils y trouvaient quand même quelqu'un

  • Ça fait plaisir de vous voir faire une réponse agréable et paisible...

  • Il est intarissable sur sa riche biographie.

  • Monsieur, vous venez de prouver que vous pouvez modérer votre personnage "Théofrède" pour le plus grand bonheur de tous. Essayez donc de faire de même avec votre personnage "Stavrolus".

  • Monsieur
    vous devriez jeter votre marc de café qui est manifestement de mauvaise qualité
    je n'ai rien à voir avec le suppôt de Satan que vous me désignez, qui ne cesse depuis des mois, sinon des années, de m'insulter à temps et à contretemps

  • Je ne sais pas qui est ce Beaupied de la Taulière. Sans doute un énième avatar de l'imbécile qui a trouvé un jour spirituel de confondre Dauphin, Théofrède et moi-même dans la même irrémissible haine talmudique. Cela me fait au moins un point commun avec le baroudeur à la prodigieuse ascendance qui a vécu un peu partout en France et en Afrique, écumant les bottes de foin et les BMC avec tout ce qui porte jupon, pagne ou tamilheft. Je me sens plus d'affinités avec Dauphin, mais là encore, nous sommes deux.

  • EAU BENITE !

  • l'individu dont je me refuse depuis longtemps à écrire le pseudonyme se livre un peu : si par hasard il a dit vrai, ils sont au moins deux, l'autre se faisant appeler Dauphin; le premier se complait dans l'insulte et des rêveries en général pornographiques exprimées la plupart du temps dans un langage ordurier et dans une imagination débridée : dans une de ses productions précédentes, il me donnait des origines vendéennes et lyonnaises que je chercherais en vain dans ma généalogie; il m"a lié trés longtemps aux BMC; je croyais qu'il avait cessé, mais cette fois-ci il y revient; je suppose qu'il a fréquenté ces établissements, qui dans l'Armée d'Afrique avaient rarement des clients européens et servaient surtout à arrêter le soi-disant jeûne de ramadan des militaires musulmans , et en a gardé des souvenirs cuisants
    je lie son existence qui me semble satanique à une aventure que j'ai eue dans ma jeunesse, l'année scolaire de mes huit ans, que j"ai passée au Puy chez mes grands parents : un jour où nous étions réunis dans le bureau de mon grand-père, celui-ci sortit de son enfer un tablier maçonnique qui avait appartenu à son père; une de mes tantes s'écria : "il est fait avec la peau des fesses du diable"; immédiatement, on entendit des coups violents dans toutes les cloisons de la maison, ce qui prouve au moins que le diable n'aime pas qu'on blague la peau de ses fesses, mais authentifie ses liens avec la franc-maçonnerie; cette tante était mariée à un cousin issu de germain de l'abbé Georges de Nantes; le diable avait trouvé un adversaire !
    je pense que c'est à cette alliance que je dois d'être poursuivi par ce diablotin

  • Le diable est un être de nature spirituelle et n'a que faire qu'on s'en prenne à la peau de ses fesses. De plus, sa plus grande ruse est bien répertoriée. Il ne vous est jamais venu à l'esprit que cette mise en scène était destinée à convaincre les petits-enfants de votre grand-père de son existence ?
    En tout cas, c'est bien ce que je disais : une ascendance prodigieuse.

  • EAU BENITE

  • Drôle naguère, vraiment pénible maintenant

  • je ne vois pas trés bien ce qui était drole et est devenu pénible, mais je note que le diable a tout de suite trouvé un défenseur qui s'est empressé d'intervenir même s'il ne connaissait rien au sujet

  • brave petit soldat !
    il part vaillamment à la défense de son maître et des fesses de celui-ci, sans savoir qui participait à la réunion en question nii connaitre la configuration des lieux; je ne vois pas trés bien pourquoi il me met au pluriel et mon grand-père n'avait pas les domestiques nécessaires pour frapper toutes les cloisons d'un appartement de deux étages dans une vieille et grande maison bourgeoise; j'ignore d'ailleurs ce que pouvait penser du diable mon grand-père, fils de franc-maçon, petit fils d'un athée agressif et ancien élève du lycée, comme l'avaient été avant lui son père et son grand-père, son oncle et son frère, ce qui ne se faisait pas à l'époque dans les bonnes familles bien-pensantes; il gardait dans son enfer tous les diplômes et décorations maçonniques de son père, ainsi que des documents que j'ai trouvés bien plus intéressants quand je les ai découverts

  • Oh, comme d'immigration, l'évêque de Tours qui finance une mosquée en construction avec le dénier du culte se pose là...

  • mais non, c'est un argument auquel les membres du clergé sont et ont toujours été sensibles
    il y a toutefois des exceptions : le curé d'une grande paroisse lyonnaise, porteur d'un nom que certains généalogistes disent être celui d'une branche subsistante des Mérovingiens, et dont une parente s'était illustrée à Dien Bien Phu, préchait en pleine guerre d'Algérie qu'il valait mieux se battre pour la liberté que pour le pétrole et l'alfa
    il voulait aussi révolutionner sa paroisse : un soir, invité à diner chez un de ses plus gros contributeur, il fit scandale en voulant céder son siège à la bonne; inutile de dire que le denier du culte prit un autre chemin; quant à la bonne,qui n'avait rien compris, elle demanda à sa patronne qui était ce curé qui courait les filles

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