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Lacrymal

Le Parlement européen a adopté hier à une écrasante majorité une résolution intitulée « 25 ans après la déclaration et le programme d’action de Beijing : les défis en perspective pour les droits des femmes ». C’est une longue plainte en 53 points des malheurs des femmes, dans tous les domaines, de tout ce qu’elles souffrent de la part des hommes et à cause des hommes. Malheurs, inégalités, injustices, persécutions, violences, aggravées par le coronavirus qui, malheur supplémentaire, est sexiste lui aussi et accroît les épreuves déjà insupportables des femmes : « la crise de la COVID-19 et ses conséquences présentent clairement des aspects sexospécifiques, étant donné qu’elles touchent différemment les femmes et les hommes et qu’elles ont exacerbé les inégalités existantes », « les femmes sont touchées de manière disproportionnée par la crise », etc.

On apprend même que « les femmes sont plus vulnérables face aux conséquences du changement climatique »…

Naturellement la résolution souligne aussi la nécessité de défendre et de promouvoir les « droits sexuels et génésiques » des femmes en Europe et dans le monde « Génésique » veut dire droit à l’avortement, bien sûr, et le seul pays dénoncé nommément est, bien sûr, une fois de plus, la Pologne : le Parlement européen « condamne fermement l’adoption par le Tribunal constitutionnel polonais d’une décision mettant en œuvre une interdiction de facto de l’avortement et le recul qui en a résulté pour la santé et droits en matière de sexualité et de procréation des femmes en Pologne, ainsi que les restrictions excessives injustifiées à l’accès à l’avortement » (dans d’autres pays).

Ce texte a été adopté par 505 voix (dont une majorité d’hommes se battant la coulpe) contre 109 et 76 abstentions.

Commentaires

  • Le temps ne fait rien à l'affaire
    "Quand on est con, on est con
    Qu'on ait vingt ans, qu'on soit grand-père
    Quand on est con, on est con
    Entre vous, plus de controverses
    Cons caducs ou cons débutants
    Petits cons d'la dernière averse
    Vieux cons des neiges d'antan"
    Il est probable que cela n'aura pas échappé à Brassens, qui était un amateur éclairé de la question, mais le con est avant toute chose un très utile et agréable organe féminin. Et la connerie n'est jamais aussi grandiose, quelque Séraphin Lampion de génie dût-il l'incarner, que quand elle est prise en charge par les bonnes femmes. Les connes utiles (utiles au système) du féminisme sont le chef-d’œuvre du genre.

  • En effet, le féminisme, en déclarant la guerre des sexes a transformé même les bonnes épouses en harpies vindicatives, passant leur temps à pourrir la vie de leurs maris. N'oublions pas que le féminisme a été inventé par des hommes anglo-saxons de gauche. Le féminisme est né en réaction aux conneries de Darwin et de ses disciples qui prétendaient que la femme était moins évoluée que l'homme. D'où cette armada d'idiotes (le summum étant Margaret Sanger!) qui voulaient singer l'homme pour être "aussi évoluées" que lui. Et ne croyez pas que les catholiques y échappent, c'est même pire, en plus hypocrite.

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