A l’hôpital de Brest, près du quart des personnels soignants ont dû s’arrêter de travailler, ayant de forts symptômes de Covid (gros maux de tête et forte fièvre)… suite à leur vaccination.
Même chose à Quimper. A Vannes c’est 18%. A Saint-Lô 15%. A Morlaix on ne donne pas de taux, mais dans tous ces hôpitaux on a « suspendu » la vaccination…
L’agence nationale du médicament fait état de 149 cas pour le moment. Des cas de soignants. Car quand ce sont les vieux servant de cobayes ça ne compte pas (« vous êtes fatigué, à votre âge… »)
« Ces effets indésirables sont connus et décrits avec les vaccins », indique l’ANSM. Donc tout va bien…
Quant à la Haute Autorité de Santé, elle recommande, tout à coup, une seule dose de vaccin pour ceux qui ont déjà été contaminés. Et de préférence six mois après la dite contamination…
Sauf que la grande majorité des contaminés ne savent même pas qu’ils l’ont été…
Mais, comme le souligne la Haute Autorité elle-même, ça permettra d’économiser des doses…
Commentaires
Quelles sont vos sources?
Très intéressant.
Quelle est la source de ces informations ?
Merci
pourquoi les dénonciateurs ne donnent-ils pas leurs sources ?
Quelle est la source de la source de la source ? Et où est l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'ours ?
réflexion d'une stupidité parfaite : on peut penser que ces statistiques sont bien tenues par les autorités concernées
Vu dans figaro par AFP...
Theofrede : pourquoi stupide ??
Cette manie de demander les sources à chaque information sur ce blog est proprement stupéfiante. Avec les moteurs de recherche on peut avoir l'info en 3 secondes.. Est-ce de la flemme?
Marc a bien trouvé la source en se donnant un peu de peine, après une nuit de réflexion...
Il faut multiplier les plaintes contre les autorités sanitaires et politiques. Voire contre les médias. Le professeur Perronne affirmait encore hier que tous les soi-disant spécialistes invités à faire la promotion du masque, de l'hydrogel, des confinements et du vaccin sur les chaînes publiques et privées avaient ce qu'on appelle pudiquement des conflits d'intérêt. C'est-à-dire qu'ils touchent tous des dizaines ou des centaines de milliers d'euros par an des laboratoires. Cela s'applique aussi aux membres du haut conseil de santé.
Les laboratoires ne sont ici qu'un intermédiaire, un moyen utilisé par l'oligarchie pour véroler les institutions et verrouiller l'information. Klaus Schwab, dans La quatrième Révolution industrielle, parle des technologies implantables : la smart dust ou "poussière intelligente" et la pilule intelligente pourront communiquer à notre smartphone des informations sur notre état de santé et sur l'efficacité des médicaments que nous ingurgitons : "Les appareils implantés, écrit ce taré dont la place est à l'asile (et bien camisolé), permettront aussi sans doute de communiquer les pensées normalement exprimées par la parole via un smartphone, et potentiellement les pensées ou émotions non exprimées en lisant les ondes cérébrales ou d'autres signaux."
Super-scénario pour un James Bond, sauf que les (très) méchants président le forum économique mondial et décident qui sera invité ou non à la télévision. Quant à 007, il ne va pas s'en prendre aux gens qui payent l'assurance de son Aston Martin, ses frais d'entretien astronomiques et remplissent son réservoir de 72 litres. Sans compter qu'avec sa conduite, il ne doit pas être loin des vingt litres aux cent km.
Ces électeurs de Macron ne nous manqueront pas. Vaccinez-les plus !