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Les obsédés de l’avortement

C’est un des thèmes principaux de la pandémie de coronavirus : il faut continuer d’avorter coûte que coûte, c’est primordial de continuer de tuer les bébés, et d’en tuer davantage si possible, et d’arracher aux gouvernements de nouveaux délais…

Sarah Durocher, co-présidente du Planning familial français :

« Beaucoup de femmes et de personnes pensent qu'elles n'ont pas accès à l'avortement, avec le message "Ne sortez pas de chez vous". Il faut rappeler que l'avortement est un soin d'urgence. Cela fait partie des soins auxquels les personnes ont accès, même dans cette période qui est compliquée pour tout le monde. »

Et comme c’est plus « compliqué », il faut allonger le délai légal. Laurence Rossignol a remis ça, après son échec à l’Assemblée, en s’abritant derrière une tribune signée par des « médecins ». Le ministre de la Santé Olivier Veran lui a répondu :

« Sans avoir attendu la parution de la tribune à laquelle vous faites référence, et à la suite de votre première interpellation, j'avais saisi mes services. Les remontées du terrain attestent effectivement que le recours à l'IVG est en baisse, ce qui est à la fois inquiétant et fort bien relaté dans la tribune en question. Mon engagement est total. Il est hors de question que l'épidémie restreigne le droit à l'IVG dans notre pays. (…) J'ai entendu la demande des gynécologues de repousser le délai de l'IVG médicamenteuse à neuf semaines. Il faut examiner certains aspects techniques (…) Mais je n'ai pas d'opposition de principe à cette mesure, vous l'aurez bien compris. J'ai demandé à tous les centres hospitaliers de maintenir le recours à l'IVG instrumentale. Pour les recours tardifs, une interruption médicale de grossesse (IMG) est possible en cas de détresse psychosociale. À la fin de la crise sanitaire, on pourrait, face à de telles demandes, examiner si le confinement justifie une décision en ce sens - elle serait prise de manière collégiale. »

Bref le coronavirus peut justifier une IMG (meurtre du fœtus possible jusqu’à la naissance) pour « détresse psychosociale »…

Et l’OMS s’y met aussi. Le « docteur » Antonella Lavalanet, du Département Santé sexuelle et reproductive de l'OMS concernant la santé maternelle et périnatale, a souligné que les avortements doivent continuer malgré la pandémie, et quel que soit l’état de santé de la femme, parce que c’est un « service essentiel ». Cela étant rappelé à l’adresse des gouvernements qui tenteraient de nier le caractère prioritaire de l’avortement. Et dans le cas où les autorités médicales qui combattent le coronavirus ne feraient pas de l’avortement une cause prioritaire, les femmes doivent s’avorter elles-mêmes en prenant du mifepristone et du dymisoprostol. Sic.

Commentaires

  • Lucifer ne se serait pas exprimé autrement

  • Cet égout luciférien de l'abortionnisme a de plus en plus de mal à faire illusion

  • Alors que les armées soviétiques approchaient, les convois de juifs à gazer restaient prioritaires - ordre direct d'Hitler - par rapport aux convois militaires traditionnels qui envoyaient pourtant hommes et munitions sur le front Est... C'est la même pulsion de mort qui est à l'oeuvre avec l'IVG. Les vieux peuvent crever dans leur Ehpad, ce n'est pas aussi grave qu'un enfant qui naîtrait.

  • La "détresse psychosociale" étant un mot derrière lequel on peut mettre tout ce qu'on veut, il est clair désormais que le délai des douze semaines (ou je ne sais combien) est une plaisanterie.
    Le meurtre des enfants est un des piliers de la république judéo-maçonnique, soi-disant française. C'est difficile à croire, mais c'est la réalité, sous nos yeux.

  • On nous a fait le coup de Pinocchio : le pays des jouets, ou l'île enchantée, dans la version Disney, qui s'y connaît en illusion. C'est encore L'Abbaye de Thélème : "Fais ce que voudra", surtout si c'est crier vengeance au Ciel, ce qui fait perdre le sens du bien et du mal, et pour finir toute lucidité.
    Aujourd'hui, l'oligarchie a fini de fourbir son arsenal. La dernière grande guerre a commencé, contre des peuples d'ânes. Mais l'agresseur n'est éclairé que par l'esprit des ténèbres.

  • Une fois encore, nous nous demandons jusqu'où cette culture de mort poursuivra son ignominie. Il nous reste la prière. A cet égard prions pour le docteur Dor qui serait hospitalisé.

  • Obsédés de l'avortement mais aussi de l'euthanasie: en prescrivant du Rivotril injectable remboursé à 100/100 pour les vieillards qu'on refuse de soigner, on les tue, tout simplement et sans demander l'avis de la famille qui est devenue indésirable dans les maisons de retraite.

  • de quel droit la famille pourrait-elle décider la mort de l'un de ses membres ?
    ce serait retourner plusieurs mùillénaires en arrière

  • Solution : allonger le délai légal à 36 semaines , et offrir une IVG à jouissance différée ... le temps pour le bébé de naitre et d'être adopté . Quant à Madame Sarah Durocher , on peut aussi lui offrir une IVG à jouissance différée (ie : euthanasie).

  • ilest important d'employer des termes précis et de ne pas confondre l'IVG à jouissance différée et l'IVG a posteriori

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