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Université catholique

Pas moins de 44 professeurs du King’s University College de l’université catholique Western Ontario ont demandé à la direction de l’établissement de présenter des excuses pour avoir permis la diffusion sur le campus du film « Unplanned », qui raconte l’histoire (vraie) d’une jeune directrice d’avortoir du Planning familial devenue militante pro-vie.

Réponse du principal : « Le King’s University College n’a pas de position officielle sur l’avortement. »

Sic et re-sic.

Commentaires

  • A des époques sensées cela aurait fait 44 profs virés

  • Vous avez oublié le Principal qui n'est pas plus catholique que mes pantoufles...

  • Pour avoir beaucoup fréquenté d'établissements catholiques pour y témoigner durant de nombreuses années, j'ai trop souvent constaté le manque de convictions catholique, quand ce n'était pas l'hostilité de professeurs envers la doctrine catholique. Venir dans ce genre d'école permet de rester près de chez soi, avoir des conditions très favorables pour vraiment travailler, ne pas risquer d'ennuis de la part d'élèves, de professeurs, de parents d'élèves ou de contrôleur d'académie dès lors qu'on fait son travail correctement.
    Mais il suffisait de se promener dans les médiathèques pour y trouver rarement des ouvrages catholiques dignes de ce nom, exception faite de quelques écoles d'élite et du hors contrat. Quand aux professeurs, c'était terre de mission ou terrain hostile, sauf quelques exceptions. Et je ne parle que des écoles ou je parvenais à être invité sur des thèmes "sensibles" ou on voit vite si vous êtes fidèle à la doctrine ou fluctuant comme une anguille. Je ne mets pas dans le même sac tous ces braves gens, voire ces gens très courageux, que j'y ai heureusement rencontré et sans lesquels j'aurais vite arrêté.
    Pour résumer, le besoin de trouver du personnel, il n'y a pas de subventions massives et de plan de carrière intéressant comme dans l'éducation nationale, et l'accommodement avec ce que l'on trouve rend difficile de défendre une doctrine dont on na pas exigé clairement qu'elle soit partagée avant d'entrer.
    D'ailleurs, notre épiscopat qui gère l'enseignement catholique est-il ferme pour défendre les valeurs de cet enseignement ? Comment un directeur serait plus courageux que son directeur diocésain ?
    Et on ne parlera pas des parents d'élèves qui ne voient que le résultat scolaire, l'environnement éducatif, et sont des consommateurs qui laissent apprendre n'importe quelle sornette à leurs enfants parce que sans conviction voire pire.
    J'ai eu à de nombreuses reprises des problèmes à cause souvent d'un seul prof, un parent d'élève, qui n'avançaient pas à visage découvert pour m'accuser et que le directeur suivait trop souvent pour avoir la paix, ne pas se mettre à dos ses contestataires toujours prêts, et souvent manque de conviction ou de courage. Je pense à quelques très courageux directeurs qui m'ont impressionné de ne pas se laisser faire.
    Le courage et les convictions, avoir l'un et les autre, c'est ce qui manque trop à nos éducateurs. On veut "gérer", avoir la paix, être copain avec tout le monde.
    Il va falloir arrêter d'accepter les compromissions, les consensus de la lâcheté, faire un juste équilibre entre la vérité et l'erreur, comme disait si bien Dom Gérard à propos des libéraux.
    Parce que nous ne sommes pas loin de devoir témoigner de notre fidélité au Christ et à la vérité qui rend libre.
    Y compris devant les menaces, les violences voire pire.
    Il ne sera plus possible d'éluder, d'éviter sans cesse, et il ne l'a jamais été car "malheur à celui qui scandalise l'un de ces petits." Mentir, laisser le mensonge avoir le dernier mot, avoir peur de défendre la vérité, c'est un scandale pour les petits qui ont besoin de notre force de défendre la vérité, quoiqu'il nous en coûte.
    Allez vous mentir à vos enfants pour avoir la paix avec eux ?

  • "Venir dans ce genre d'école permet de [...] ne pas risquer d'ennuis de la part d'élèves, de professeurs, de parents d'élèves ou de contrôleur d'académie dès lors qu'on fait son travail correctement."
    Big Brother vous y surveille, autant, sinon plus, que dans l'enseignement public. Quant à la pastorale, elle n'est pas plus catholique que le "pape" : c'est tout dire. Les enfants apprennent à recycler les déchets usagers, l'accueil des migrants, le respect de la différence. Nul doute que les congrégations de Jésuites ou de Lasalliens sont mûres pour les conférences de drag-queens ou d'hommes-chiens tenus en laisse. Dès que pope Fripouille aura donné le feu vert...

  • eh bien non, il y a des écoles catholiques sous contrat où le catéchisme veut encore dire quelque chose, n'en déplaise à certains.

  • Effectivement, il reste, heureusement, des écoles catholiques sous contrat qui font ce qu'elles peuvent et défendent des principes catholiques dans la mesure ou cela est encore permis par les lois sur l'école et avec le personnel dont ils disposent.
    L'école catholique est à l'image de la société, pleine de divisions entre gens qui ne veulent pas se fréquenter, qui ont plus ou moins de courage face aux menaces insidieuses, qui privilégient la pédagogie sur la pastorale parce que le public qui vient à eux n'a pas d'autres attentes que la réussite scolaire et la sécurité de leurs enfants.
    Normalement le catéchisme est distinct de la pédagogie et l'académie n'a rien à y redire, mais les plans se confondent forcément à un moment ou on se censure. C'est plus dans les cours ou les sujets concernant l'Eglise, la nature et la philosophie sont abordés, que le travail de sape idéologique ou d'information peuvent avoir cours et qu'il faut faire un effort. Et désolé de contredire Stavrolus mais il reste encore des enseignants dignes de ce nom et avec des valeurs catholiques qu'ils n'ont pas peur de défendre dans l'école catholique sous contrat. Je pense, mais je peux me tromper, qu'il doit rester un tiers des écoles catholiques sous contrat ou ce projet existe dont certaines bien connues, beaucoup d'autres plus humbles. D'autres, bien connues aussi, ont tout renié ou presque, gardant parfois une légère teinte pour garder le statut d'école libre d'autres n'ayant plus rien de catholique. D'autres font ce qu'elles peuvent avec le personnel qu'elles trouvent. Un professeur ou cadre réellement catholique cela existe mais toutes les bonnes écoles se repassent les noms car ils ne sont pas nombreux. Il y a des professeurs non catholiques ou libéraux mais honnêtes qui servent le projet sans chercher à imposer d'autres thèses ou déconstruire ce que fait l'école. Et puis il y a les militants politiques venus là par vocation pour détruire ou par facilité car il est quand même plus facile de flatter la diversité de loin que d'en subir les contradictions de près.
    La réalité est complexe, comme les responsables de l'enseignement diocésain qui n'ont pas toujours de convictions ou de courage pour les défendre.
    Et les parents d'élèves sont à l'image de notre société à agir en consommateurs, à n'avoir que peu de valeurs morales. Quand une réunion est organisée avec eux, les catholiques convaincus sont une minorité parfois moins nombreuse que ceux qu'on verrait mieux dans l'éducation nationale et qui se mobilisent toujours.
    L'école catholique hors contrat n'est pas l'avenir pour tous les élèves car ce serait laisser la place à la mentalité éducation nationale et consommateur dans une école qui est de plus en plus plébiscitée par les parents, souvent sans faire le parallèle entre le respect de la personne qu'on y défend et les valeurs catholiques qui en sont le socle.
    C'est aux parents catholiques d'exiger, d'imposer, de réclamer qu'on respecte leurs valeurs, de faire plus de bruit que les nuisibles idéologues ou que les libéraux qui mettent tout sur le même plan, accordant à l'erreur des droits réservés à la vérité.
    Aujourd'hui, même dans la rue, dans l'édition et la presse ou sur les réseaux sociaux, vous êtes surveillé par la police de la pensée, l'école libre n'est qu'un des éléments de la société. Il faut former ses enfants avant de les y envoyer, si on n'a pas les moyens d'une école entièrement libre et catholique, par une bonne paroisse, un bon scoutisme, de bonnes occupations.
    A force de se retirer de partout parce que ce n'est pas assez bien ou pur, on laisse la place à des idéologues ou des j'menfoutistes. Après, on peut râler ou protester, mais on a une part de responsabilité en ayant abandonné le terrain volontairement.

  • @Dominique Morin
    "Et désolé de contredire Stavrolus mais il reste encore des enseignants dignes de ce nom et avec des valeurs catholiques qu'ils n'ont pas peur de défendre dans l'école catholique sous contrat."

    Je ne me suis jamais entendu dire le contraire. Sans doute m'aurez-vous mal lu.

    @Stavrolusophobe
    Merci, vous me faites beaucoup d'honneur, en prenant un (nième ?) pseudonyme, rien que pour moi... Je suis très touché, vraiment...

  • "il y a des écoles catholiques sous contrat où le catéchisme veut encore dire quelque chose"
    On y parlera beaucoup plus volontiers de "pastorale", ce qui là aussi veut dire quelque chose...

  • Stavrolus,
    Il me semble que ce propos est clair de votre part
    "Quant à la pastorale, elle n'est pas plus catholique que le "pape"
    Le pape, malgré ses égarements reste le successeur de saint Pierre, et la pastorale ou catéchisme est en beaucoup d'endroits fidèle à la doctrine catholique. Et j'en remercie des braves gens, souvent bénévoles, qui prennent sur eux de ne pas faire dans l'édulcoration des vérités de foi et résistent aux pressions souvent insidieuses. Les oeuvres mauvaises avancent rarement à visage découvert.
    Que l'état républicain y surveille plus que dans l'éducation nationale, c'est logique la république a été fondée pour prendre la place et chasser Dieu du coeur des enfants et elle ne s'en est jamais caché jusqu'à singer l'Eglise catholique. Et actuellement l'EN est en crise profonde alors que l'école catholique n'a jamais eu autant de succès. Il reste à transmettre aux familles pourquoi et comment cet enseignement est différent, à cause de l'incarnation et du projet divin sur chacun d'entre nous. Beaucoup sont opportunistes, si l'enseignement catholique retrouvait ses racines ils suivraient sans difficulté. Mais vous connaissez le dicton, "quand on ne vit pas comme on pense, on finit par penser comme on vit." Autrement dit, beaucoup de personnes ne vivent pas selon la loi de Dieu, ou s'en sentent incapables quand ils ne l'ignorent pas, et ils finissent par réduire leurs exigences, dont leur enseignement, à ce qu'ils vivent. Il faut vivre les vertus théologales pour avancer le regard toujours levé vers le Ciel ,malgré les doutes et les chutes. Cela peut aussi nous arriver, aussi soyons bienveillants et plein d'espérance, tout reste toujours possible.
    J'ai pu être invité dans des établissements tenus par des jésuites, ou par des lassaliens, et y défendre un discours moralement, spirituellement et "sociétalement" catholique sans la moindre concession. J'ai eu plus de mal avec d'autres congrégations. Je ne dis pas qu'ils m'inviteraient encore et que c'est partout comme cela dans les établissement tenus par des congrégations, mais il se trouve que je parlais entre autre de sexualité, avec le SIDA on est un peu obligé, et que même dans un établissement avec beaucoup d'imperfections éducatives et morales, c'était un discours comme le mien qui était proposé aux jeunes ou celui du lobby LGBT ou des malfaiteurs du Planning Familial. Alors, j'y allais toujours, même si je n'étais pas en terrain ami avec l'équipe enseignante. Il suffit d'une personne courageuse et d'un directeur bienveillant et les jeunes sont toujours sans exception preneur d'un discours exigeant qui les respectent. Je garde de très beaux souvenirs, y compris des entraves mises à mon passage, car ils confirment qu'il est important puisqu'il les gênent.
    Je pense que vous schématisez trop vite, les situations sont parfois tendues, comme dans toute la société, en beaucoup d'écoles dites catholiques je n'ai jamais mis les pieds, pour diverses raisons dont probablement en nombre d'endroits parce qu'ils avaient renoncé à être catholique et qu'ils préféraient un autre discours. Je l'ai écrit, un tiers environ à peu des écoles libres près doivent encore se référer explicitement à l'enseignement catholique, les autres sont ambigües, pas forcément hostiles mais insuffisamment claires, ou carrément hostiles je pense entre autre à une ville du sud ou le lobby LGBT fait la loi et j'y suis interdit de séjour après un passage chahuté par un professeur homo, en me calomniant pour appuyer leur décision car ces gens sont aussi des menteurs et des lâches.
    Mais l'école est à l'image des catholiques et des parents d'élèves, seul une minorité défend encore avec fermeté des valeurs y compris en risquant le conflit.
    Je trouve aussi courageux, voire plus en certains cas, de rester dans le sous contrat et y faire le travail possible, s'y opposer aux lâches et aux idéologues, que de se replier sur le hors contrat et rester entre soi. La grande majorité des jeunes sont dans le sous contrat ou le public.
    Je suis passé deux fois dans le public, clandestinement donc sans étiquette ni discours catholique, avec un discours adapté pour ne pas donner prise au laïcard qui surveillait ou dénoncerait après cette entorse à la sainte laïcité. Une fois cela s'est passé très bien et le prof, un responsable d'une association tradi bien connue, qui m'avait invité n'a eu aucun ennui après mon passage. L'autre fois, l'infirmière catholique courageuse qui m'avait invitée a eu de gros ennuis après mon passage à cause d'un délateur de service parce qu'avec les jeunes et même un professeur présent cela s'était très bien passé. J'avais même fait mention de ma foi pour expliquer mon changement radical de vie après une jeunesse agitée et un jeune qui me trouvait trop prudent m'avait demandé devant tout le monde pourquoi je paraissais avoir peur d'affirmer ma foi. Je pense que c'est sa réaction qui a vexé le délateur et il s'en est pris à l'invitante en bon héros républicain.
    La situation est complexe, il y a aussi des gens honnêtes et courageux même dans l'éducation nationale, malgré le poids et les interdits et des gens très bien formés mais qui préfèreront le confort de l'entre soi que d'affronter un terrain mouvant avec des risques.
    Il ne faut déserter aucun terrain, ne pas rejeter ou condamner ce qui est imparfait, j'ai eu de très bons rapports avec des modernistes une fois la méfiance dissipée et nombre d'incroyants se sont révélés honnêtes et bienveillants.
    Je ne tiens pas à polémiquer, cela n'a pas d'intérêt, mais comme disait Bernanos " à quoi bon ruminer le problème du mal plutôt que de se jeter dans un bond en avant ?"

  • @Dominique Morin
    Je ne schématise pas, je caricature. Mais comme vous le constatez aisément, nous vivons dans un monde où l'on vaticine plus juste en caricaturant qu'en édulcorant. Le bon côté des choses m'a toujours agacé.
    Quant au sujet, à savoir le formatage de nouvelles générations de petits monstres grégaires et décérébrés par une institution pourrie et des adultes plus ou moins consciemment corrompus, je suis fort bien placé pour le connaître, même si je ne tiens pas à raconter ma vie.

  • "Quant à la pastorale, elle n'est pas plus catholique que le "pape" : c'est tout dire. Les enfants apprennent à recycler les déchets usagers, l'accueil des migrants, le respect de la différence. "

    ---> ça, c'est ce à quoi vous réduisez l'enseignement religieux dans les écoles sous contrat,Maître Stavrolus. Ne prétendez pas le contraire.

  • Encore une fois, je n'ai jamais dit le contraire. Il serait bon d'apprendre à lire, avant de poster sur ce blog qui, avec ses défauts, est tout de même d'un certain niveau.

  • Je m'aperçois que j'ai fait une faute : il fallait lire déchets ménagers.

  • pourquoi perdre son temps à contrer un individu qui a déjà montré qu'il n'admet pas qu'on dise du mal de l'enseignement laïc ?

  • @Theofrede
    Soit vous postez au mauvais endroit, soit vous vous méprenez. En effet, je ne sache pas que ce Stavrolusophobe ait posté ici sous ce nom avant ces dernières vingt-quatre heures, ni par conséquent montré qu'il ne supportait pas qu'on critiquât l'enseignement laïque.
    Pour ma part, j'observe que l'enseignement privé sous contrat est aussi laïque que l'autre : c'est d'ailleurs l'un des chefs-d’œuvre de l'arsouille de l'Observatoire. L'enseignement catholique, qui contrairement à celui des autres confessions accueille d'ailleurs sans discrimination élèves et enseignants de toutes tendances, mœurs ou religion, est un choix que j'ai fait, malgré tout, pour mes filles, à une époque où la promiscuité était moindre, mais aussi en raison de cet absentéisme insoluble des profs atteints de phobie scolaire, qui est l'une des plaies de l'enseignement public.
    Je n'ai cependant jamais encouragé mes enfants à en suivre la "pastorale", préférant qu'elles apprennent le catéchisme avec saint Pie X et reçoivent les sacrements de bons prêtres. Et, pour la "pastorale", je suis bien placé pour voir ce qu'elle est devenue, confiée à des personnes qui suivent en aveugles un loup déguisé en berger, avec autant d'esprit critique qu'une coquille saint-jacques.

  • Stavrolus,
    Je suis d'accord avec vous, il est bon de compléter dans tous les cas, sauf celui d'un catéchisme de bonne qualité. Mais nous sommes conscients de ces manques et prenons les moyens qui nous sont fournis. Or, pour la plupart des enfants de l'école libre, le catéchisme est une option, une formalité, et ils n'en feront pas plus ensuite. Mais si ce catéchisme est au moins un résumé de la foi, ils auront reçu quelque chose. Nous ne sommes pas une élite à l'écart du monde, mais le sel de la terre pour tous les êtres humains autour de nous.
    Ce que je voulais dire c'est que caricaturer une réalité très complexe et souvent différente selon les demandes et les capacités n'a pas grand sens.
    Mais je vous contredis encore, l'enseignement sous contrat catholique ne peut pas être aussi laïque que l'enseignement laïque puisque c'est la raison d'être de ce dernier de combattre toute idée de foi dans le coeur des enfants. Là ou cela se produit dans l'école catholique, c'est que toutes les pires conditions y sont réunies ce qui est quand même assez rare. Le plus courant c'est un ersatz de transmission de la foi et des fausses valeurs en substitution, mais ce n'est pas le but recherché, c'est plutôt par manque de convictions et conformisme. Dans l'éducation nationale, c'est le projet revendiqué.
    Je trouve vraiment trop risqué pour les âmes et les intelligences des enfants de les laisser entre les griffes de l'éducation nationale, tout en prétendant leur apprendre en dehors que tout y est faux. On peut désapprouver et critiquer l'enseignement catholique, au moins dans les écoles qui méritent encore ce nom il y a des bases pour essayer de faire remonter le niveau, exiger qu'il en soit ainsi, et compléter ce qui manque. Dans le public, c'est impossible en plus d'avoir laissé ses enfants y subir Freud et Marx, Rousseau et Sartre. Ce n'est pas possible.
    La différence me semble quand même assez grande.
    Maintenant, il y a aussi nos histoires et notre tempérament à chacun. Pour ma part, j'ai été habitué à ne rien avoir, je me contente de peu et je pars de ce qui est pour aller vers ce qui est souhaitable.
    On ne peut pas jouer avec les âmes d'enfants parce qu'on a une vision radicale de l'enseignement qui n'est appliquée que dans des structures privilégiées.
    Le hors contrat est ce qui se fait de mieux, mais si on ne peut pas le sous contrat digne de ce nom plus un complément personnel peut suppléer.

  • quand la mauvaise foi éclate !
    le pseudonymé Stavrolus s'est dévoilé en s'indignant lorsque j'ai rapporté que le seul soupçon de pédophilie que j'ai concerne un professeur d'éducation physique que j'ai eu au lycée Ampère à Lyon, qui utilisait son enseignement pour se faire masturber par ses élèves, sans qu'ils comprennent trés bien ce qui se passait

  • @Theofrede
    En effet, cette anecdote m'avait beaucoup amusé. Et je sais qu'avec votre vie bien remplie, vous pourriez nous en raconter de plus plaisantes encore. Je vous conseille de publier vos mémoires et de demander une préface à Marlène Schiappa.

  • Ça reste une drôle de façon d'apprendre la barre fixe et le saut en hauteur.

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