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Octave de la Nativité

Les antiennes des offices du jour sont un des plus purs chefs d’œuvre de la liturgie latine. Les voici chantées en 1956 par les cisterciens de l’abbaye de Gethsémani (pas à Jérusalem, mais dans le Kentucky, fondation de Melleray en 1848).


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O admirabile commercium: Creator generis humani animatum corpus sumens, de Virgine nasci dignatus est: et procedens homo sine semine, largitus est nobis suam Deitatem.

O commerce admirable. Le Créateur du genre humain prenant un corps et une âme, a daigné naître de la Vierge, et, devenu homme sans semence, il nous a fait part de sa divinité.


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Quando natus es ineffabiliter ex Virgine, tunc impletæ sunt Scripturæ: sicut pluvia in vellus descendisti, ut salvum faceres genus humanum: te laudamus Deus noster

Quand vous naquîtes ineffablement d’une Vierge, alors s’accomplirent les Écritures. Comme la rosée sur la toison, vous descendîtes pour sauver le genre humain. Nous vous louons, ô notre Dieu!


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Rubum quem viderat Moyses incombustum, conservatam agnovimus tuam laudabilem virginitatem: Dei Genitrix, intercede pro nobis.

En ce buisson que vit Moïse et qui brûlait sans se consumer, nous voyons l’image de votre glorieuse virginité : Mère de Dieu, intercédez pour nous.


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Germinavit radix Jesse, orta est stella ex Jacob: Virgo peperit Salvatorem: te laudamus Deus noster

La tige de Jessé a fleuri ; l’étoile est sortie de Jacob ; la Vierge a enfanté le Sauveur. Nous vous louons, ô notre Dieu !


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Ecce Maria genuit nobis Salvatorem, quem Joannes videns exclamavit, dicens: Ecce Agnus Dei, ecce qui tollit peccata mundi, alleluia.

Voici que Marie nous a enfanté le Sauveur, à la vue duquel Jean s’est écrié : Voici l’Agneau de Dieu, voici celui qui ôte les péchés du monde, alléluia.

Commentaires

  • Merveilleux. Puissiez-vous nous en offrir beaucoup comme ça cette année encore !
    Un minime regret : que le traducteur ait traduit PLUVIA par ROSÉE, comme si les animaux à toison (VELLUS) ne se protégeaient pas plutôt de la pluie... (toujours ces affadissements hérités du XIX° siècle). On dit pourtant bien en français "une pluie de grâces".

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