Je n’avais que survolé le titre indiquant une visite des évêques tchèques à Benoît XVI, mais il était intéressant d’aller y voir de plus près, notamment pour cette belle photo :
Et il y a un second article.
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Je n’avais que survolé le titre indiquant une visite des évêques tchèques à Benoît XVI, mais il était intéressant d’aller y voir de plus près, notamment pour cette belle photo :
Et il y a un second article.
Commentaires
La question que les admirateurs benoîts de Benoît (et je ne vous vise pas, Monsieur Daoudal) ne posent guère : pourquoi n'en fait-il pas plus pour soutenir la résistance à son horrible pseudo-successeur, se contentant de prendre ses distances quand il est attaqué directement et de prodiguer quelques conseils très insuffisants dans la situation dramatique où se trouve la chrétienté ? Le rôle de cet homme, sauf revirement spectaculaire, aura été profondément délétère pour l'Eglise. A la gauche du Concile Vatican II, il a couvert comme Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi l'évident bobard que fut la prétendue révélation du troisième secret de Fatima. En tant que Pape, son rapprochement avec la FSSPX pourrait avoir l'air d'une preuve d'ouverture et de conservatisme ; mais réfléchissons : où en serait la Fraternité, où en serait le dernier bastion de la foi catholique telle qu'elle a toujours été enseignée, si Benoît XVI avait cédé à Bergoglio une Eglise à laquelle il eût rallié la Tradition.
Et pour finir, il a renoncé, il a démissionné, il a cédé devant les loups, laissant place à un exacteur qui en est à mettre des idoles précolombiennes dans les églises. Si Benoît XVI ne fait pas publiquement amende honorable, s'il quitte ce monde sans avoir expliqué aux catholiques sous quelles pressions il les a abandonnés, eh bien mieux vaudra ne pas être à sa place au jour du Jugement.
On se souvient que Monseigneur Lefebvre, dont l'héroïsme et la sainteté sont beaucoup moins douteux que ceux du franc-maçon Jean XXIII, surnommait Joseph Ratzinger "le serpent".
Vous connaissez un saint mort excommunié?
Il était bouffi d'orgueil.
Je n'ai jamais entendu porter contre lui cette accusation ridicule, ni de la part de son successeur officiel, ni de la part de Mgr Williamson ou de l'abbé Rioult, celui-ci lui reprochant plutôt un excès de prudence, vertu qui s'oppose à l'orgueil presque autant que l'humilité. Il suffit d'écouter un de ses sermons pour l'entendre s'exprimer avec une vraie modestie. S'il avait de l'orgueil, c'était pour Notre Seigneur et Maître et pour la doctrine qu'il avait charge de préserver et de transmettre. La fidélité à la Vérité est première, devant l'obéissance.
Que vient faire Mgr Lefebvre dans cette galère ?
Je rappelle à ceux que cela intéresse qu'il avait signé un pacte de ralliement à Rome avec S Em le cardinal Ratzinger ...avant de se rétracter !