Deus, qui beatam Hedwigem a sæculi pompa ad humilem tuæ Crucis sequelam toto corde transire docuisti : concéde ; ut ejus meritis et exemplo discamus perituras mundi calcare delicias, et in amplexu tuæ Crucis omnia nobis adversantia superare : Qui vivis et regnas…
O Dieu, de qui la bienheureuse Hedwige apprit à passer généreusement du sein des pompes du siècle en l’humble voie de votre croix ; faites que, par ses mérites et à son exemple, nous apprenions à fouler aux pieds les délices périssables du monde et à surmonter, en embrassant votre croix, tout ce qui nous est contraire.
Le monastère cistercien de Trzebnica où vécut sainte Hedwige, devenu sanctuaire de sainte Hedwige, avec son tombeau.
Bien que le monastère soit baroque, il reste un tympan roman, où l’on voit David, Bethsabée et Salomon.
*
- La vie de sainte Hedwige en images du XIVe siècle.
- Ne pas confondre avec sainte Hedwige « roi » de Pologne.
- Ce jour est aussi celui de la création de la Milice de l’Immaculée par saint Maximilien Kolbe, de l’élection de Jean-Paul II… et du sacre de mon évêque.
Commentaires
Le grand médaillon soutenu par deux anges au pied du monument de Ste Hedwige est l'effigie funéraire de Charlotte de Liegnitz, la dernière des Piast, duchesse de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Wiesenbourg, qui souhaita être inhumée auprès de sa lointaine aïeule, dans cette abbaye de Trebnitz, qu'on n'appelait pas encore Trzebnica.
Charlotte de Liegnitz, Karolina Piastówna, est morte en 1707. Il y a un document prussien de 1750 (en polonais) qui appelle la ville Trzebnica.
https://pl.wikipedia.org/wiki/Trzebnica#/media/Plik:Polskie-nazwy_%C5%9Bl%C4%85skich_miejscowosci_z_patentu_Fryderyka_II_1750.jpg