Trois « théologiens catholiques » allemands publient un livre intitulé « Avec la bénédiction de l’Eglise ? », sous-titré : « Le partenariat homosexuel au centre de l’attention pastorale ». Le point d’interrogation est évidemment rhétorique, puisque l’un des auteurs est « marié » à un homme et organisateur des « offices religieux queer », et que l’éditeur présente le livre en citant cette phrase des auteurs : « L’actualité permanente de la question de la place des gays et des lesbiennes dans l'Eglise est l'expression [...] effrayante d'une Eglise qui ne reconnaît pas les signes des temps, et ignore la joie et l'espoir, le chagrin et la peur (Gaudium et spes) des gens d'aujourd'hui » (Dr. Stephan Loos, Dr. Michael Reitemeyer, Georg Trettin).
Le livre est préfacé, dit l’éditeur, « par Franz-Josef Bode et Stefan Hesse ». Sans même préciser que le premier est évêque d’Osnabrück et vice-président de la conférence épiscopale, et l’autre archevêque de Hambourg. Les deux diocèses où les deux autres auteurs du livre ont des postes importants : Loos est directeur de l’Académie catholique de Hambourg, Reitemeyer est son homologue à Osnabrück.
Parmi les contributions on remarque celle de Petra Dankova, intitulée « Deux femmes sur le chemin du mariage », qui décrit sa propre expérience « dans et avec l’Eglise ».
Ou celle de Johannes zu Eltz, curé-doyen de Francfort sur le Main, qui travaille depuis quelques années sur une liturgie de bénédiction des couples homosexuels.
Le livre fait suite à un colloque organisé début juin, notamment par Jens Ehebrecht-Zumsande : cet homme est un des principaux responsables de la pastorale du diocèse de Hambourg (directeur de la « stratégie Eglise missionnaire »…) ; il vit avec un autre homme, lequel est le chef de la Pride Hamburg, et il participe au Pride Salon mensuel.
Les deux évêques, qui se disent « au centre du débat », ne prennent pas formellement position, mais leur texte dégouline de chaleureuse sympathie envers les invertis pour lesquels l’Eglise doit impérativement faire quelque chose, tant dans le domaine de la doctrine que de la pastorale.
Commentaires
L'Église conciliaire n'a plus de catholique que le nom...
G§S 4. 1 "(...) l 'Eglise a le devoir, à tout moment, de SCRUTER les signes des temps ET DE LES INTERPRETER A LA LUMIERE DE L' EVANGILE, (...)" Voilà la phrase complète que les auteurs ont raccourcie, donc falsifiée.
Je vis le saint Père dans une grande tribulation et une grande angoisse touchant l'Église. Je le vis très entouré de trahisons.
Ils veulent enlever au pasteur le pâturage qui est à lui ! Ils veulent en imposer un qui livre tout aux ennemis ! (alors saisie de colère, elle leva le poing en disant) Coquins d'allemands ! Attendez ! Vous n'y réussirez pas !
Bienheureuse Anne Catherine Emmerich
L’Allemagne, plus grand bordel d’Europe :
"Quelque 400 000 prostituées – et un million de clients – sont recensées dans l’ensemble du pays. C’est dix fois plus qu’en France, et quinze fois plus qu’aux Pays-Bas. Outre-Rhin, les travailleuses du sexe sont majoritairement des migrantes, sans papiers et fraîchement arrivées d’Europe de l’Est (Roumanie, Bulgarie, Albanie) et du Nigeria. Une large majorité d’entre elles sont victimes de la traite des êtres humains,"
...
https://eldorhaan.wordpress.com/2019/04/10/lallemagne-plus-grand-bordel-deurope/
PS Tout ceci n'a aucun rapport avec cela .
Avec ce noyautage de l'Eglise, on va finir par penser que seuls les homosexuels se posent des questions métaphysiques.