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Omnis pulchritudo Domini

℟. Omnis pulchritúdo Dómini exaltáta est super sídera: * Spécies ejus in núbibus cæli, et nomen ejus in ætérnum pérmanet, allelúia.
. A summo cælo egréssio ejus, et occúrsus ejus usque ad summum ejus.
℟. Spécies ejus in núbibus cæli, et nomen ejus in ætérnum pérmanet, allelúia.

Toute la beauté du Seigneur a été élevée au-dessus des astres ; sa splendeur est dans les nuées du ciel, et son nom demeure pour l’éternité.
Il sort de l’extrémité du ciel, et il arrive à l’autre extrémité.

C’est la dernière fois que la liturgie nous donne ce répons de l’Ascension. Le texte du répons proprement dit ne se trouve pas tel quel dans l’Ecriture. Il s’inspire de Ecclésiastique 43,1 et 46,15.

Le texte du verset vient du psaume 18. On trouve dans plusieurs manuscrits (peut-être la majorité d’entre eux) un autre verset, inspiré de Jean 16,7 et 15,26 :

Nisi ego abiero Paraclitus non veniet, dum assumptus fuero
mittam vobis eum.

Si je ne m'en vais pas, le Paraclet ne viendra pas ; quand j'aurai été élevé au ciel, je vous l'enverrai.

Il aurait été spécialement à sa place en cette veille de la Vigile de la Pentecôte. Mais c’est le verset que nous avons qu’avait aussi Victoria :

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