Selon les informations recueillies par LifeSiteNews, le cardinal George Pell, dans sa prison australienne, a interdiction de célébrer la messe, et aussi interdiction d’avoir un bréviaire.
A la condamnation pénale s’ajoute donc une persécution anticatholique et une humiliation humaine dignes des geôles soviétiques.
Si tant est que la condamnation ne soit pas déjà uniquement une persécution. Rappelons que George Pell est condamné pour avoir violé deux enfants de chœur, à l’issue d’une messe, revêtu de ses ornements liturgiques, dans la sacristie, portes ouvertes, d’une cathédrale. Et qu’il a fallu deux procès parce que, au premier, seuls deux jurés avaient conclu à sa culpabilité.
Commentaires
- Mais que fait le Vatican ?
- Rien évidemment.
que pourrait-il faire, selon vous ?
prêcher une croisade ?
il avait réussi à obtenir des nazis que les prêtres déportés soient regroupés à Dachau, sans beaucoup d'autres améliorations, mais l'expérience montre qu'avec les protestants, c'est pire
S'il le voulait Mgr Parolin trouverait une dizaine de démarches à entamer.
- Interroger l'ambassadeur australien à Rome.
- S'exprimer sur l'invraisemblance des accusations.
Etc.
Il se dit que, Mgr Parolin pourrait facilement s'accommoder de la situation.
Le site Benoît et moi donne l'adresse de la prison du cardinal Pell. Ce serait sympathique de lui envoyer quelques milliers de lettres pour lui manifester notre soutien. Et puis ça occuperait un peu le personnel, qui lui refuse trois gouttes de vin pour célébrer la messe. De France, ça coûte un euro trente.
George Cardinal Pell,
Melbourne Assessment Prison,
317-353 Spencer St.,
West Melbourne, VIC 3003
Australia
C'est une très bonne idée! Mais ce n'est pas sûr que les staliniens de la prison lui fassent parvenir son courrier. J'envoie quand même. Et peut être une lettre au directeur de la prison pour lui dire ce que nous pensons des brimades.
Une précision utile figure à la fin de l’article mentionné.
« Selon CNA (Catholic News Agency), aucun prisonnier, y compris prêtre, n'est autorisé à boire du vin et aucun prisonnier ne peut célébrer des services religieux dans les prisons de Victoria ».
Ce qui est plus étrange, c’est qu’on lui interdirait de lire un bréviaire.
Une précision utile figure à la fin de l’article mentionné.
« Selon CNA (Catholic News Agency), aucun prisonnier, y compris prêtre, n'est autorisé à boire du vin et aucun prisonnier ne peut célébrer des services religieux dans les prisons de Victoria ».
Ce qui est plus étrange, c’est qu’on lui interdirait de lire un bréviaire.