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Comme beaucoup de faux attentats antisémites, l'utilisation pour le coup réellement nauséabonde de l'argument antisémite et de la seconde guerre mondiale est une arme imparable, personne ne peut jamais la contester au risque d'être soi-même accusé de nazisme, de négationnisme, etc.
L'exploitation illimitée de ce massacre de masse a servi à protéger Israël, à assurer à la communauté juive un statut à part, inattaquable, quoi qu'elle fasse, et à accabler tout adversaire qui passe sans lui laisser le droit de se défendre et en le marquant à vie d'indignité.
L'antisémite, c'est celui qui les juifs n'aiment pas.
Les douze étoiles ne rappellent-elles pas plutôt l'Europe chrétienne et Apocalypse 12,1 ?
Simon,
Les douze étoiles et le bleu marial ont laissé croire aux français que l'UE respecterait leurs valeurs et leur héritage.
La suite a démontré que c'était un leurre pour les gogos.
Dans les contes pour enfants, l'auteur invente des situations absolument ahurissantes, et lorsqu'il est à court d'idée pour sortir le héros, celui-ci sort sa baguette magique en hurlant "abracadabra".
Dorénavant, lorsque j'entends ou je lis les mots "antisémite" ou antisionniste" ou "antignagna"... je ne peux pas m'empêcher de penser à 'abracadabra".
Mots stupides pour auteurs stupides ne pouvant aligner une pensée cohérente.
(nb. j'ai un grand-père qui est passé par la case "camp", donc j'ai eu un témoin "maison"...).
A l'époque où j'étais étudiant et fan de Philippe Sollers, je me souviens d'un court roman en grosses lettres, plutôt meilleur que ce qu'il a produit depuis : Les Folies françaises. Il y était vaguement question d'inceste, de Molière et d'Armande Béjart, et d'une jeune femme qui s'appelait France, fille d'un ancien amour du narrateur, qui avait avec elle une aventure un peu légère. Je n'ai pas le cœur d'aller chercher le livre dans ma bibliothèque et d'en retirer la poussière, mais je crois bien que la dernière phrase était : "France est juive, bien sûr." Dommage que les bons écrivains soient rarement aussi couillus que Jeanne d'Arc : France n'est rien moins que juive, bien sûr. C'est son secret occulté. Le jour où elle se le dévoile à elle-même, l'enfer tremblera.
Dans le peuple élu, certains ont toujours tenu les goys pour des espèces de sous-hommes.
Les réactions des goys se sont souvent manifestées. La déportation exterminatrice de la guerre 40-45 a été un terrible sommet de ces réactions.
Le "shoah business" et ses inexpiables rancoeurs veut faire payer une facture éternelle comme prix des fautes d'une génération antérieure. Comme si les souffrances des autres peuples ne pouvaient pas être comparées avec leurs souffrance à eux.
A moins qu'il s'agisse d'un procédé politique pour tirer de l'histoire une rente éternelle.
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Comme beaucoup de faux attentats antisémites, l'utilisation pour le coup réellement nauséabonde de l'argument antisémite et de la seconde guerre mondiale est une arme imparable, personne ne peut jamais la contester au risque d'être soi-même accusé de nazisme, de négationnisme, etc.
L'exploitation illimitée de ce massacre de masse a servi à protéger Israël, à assurer à la communauté juive un statut à part, inattaquable, quoi qu'elle fasse, et à accabler tout adversaire qui passe sans lui laisser le droit de se défendre et en le marquant à vie d'indignité.
L'antisémite, c'est celui qui les juifs n'aiment pas.
Les douze étoiles ne rappellent-elles pas plutôt l'Europe chrétienne et Apocalypse 12,1 ?
Simon,
Les douze étoiles et le bleu marial ont laissé croire aux français que l'UE respecterait leurs valeurs et leur héritage.
La suite a démontré que c'était un leurre pour les gogos.
Dans les contes pour enfants, l'auteur invente des situations absolument ahurissantes, et lorsqu'il est à court d'idée pour sortir le héros, celui-ci sort sa baguette magique en hurlant "abracadabra".
Dorénavant, lorsque j'entends ou je lis les mots "antisémite" ou antisionniste" ou "antignagna"... je ne peux pas m'empêcher de penser à 'abracadabra".
Mots stupides pour auteurs stupides ne pouvant aligner une pensée cohérente.
(nb. j'ai un grand-père qui est passé par la case "camp", donc j'ai eu un témoin "maison"...).
A l'époque où j'étais étudiant et fan de Philippe Sollers, je me souviens d'un court roman en grosses lettres, plutôt meilleur que ce qu'il a produit depuis : Les Folies françaises. Il y était vaguement question d'inceste, de Molière et d'Armande Béjart, et d'une jeune femme qui s'appelait France, fille d'un ancien amour du narrateur, qui avait avec elle une aventure un peu légère. Je n'ai pas le cœur d'aller chercher le livre dans ma bibliothèque et d'en retirer la poussière, mais je crois bien que la dernière phrase était : "France est juive, bien sûr." Dommage que les bons écrivains soient rarement aussi couillus que Jeanne d'Arc : France n'est rien moins que juive, bien sûr. C'est son secret occulté. Le jour où elle se le dévoile à elle-même, l'enfer tremblera.
Dans le peuple élu, certains ont toujours tenu les goys pour des espèces de sous-hommes.
Les réactions des goys se sont souvent manifestées. La déportation exterminatrice de la guerre 40-45 a été un terrible sommet de ces réactions.
Le "shoah business" et ses inexpiables rancoeurs veut faire payer une facture éternelle comme prix des fautes d'une génération antérieure. Comme si les souffrances des autres peuples ne pouvaient pas être comparées avec leurs souffrance à eux.
A moins qu'il s'agisse d'un procédé politique pour tirer de l'histoire une rente éternelle.
"leurs souffrances à eux".