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L’avortement en Belgique

En Belgique, la « Commission d’évaluation de l’interruption volontaire de grossesse » est censée pondre un rapport tous les deux ans. Mais elle n’a rien fait depuis six ans. Parce qu’il n’y a pas de candidats pour en être membre. Trois appels à candidature ont eu lieu, sans résultat. Du moins c’est ce qui se dit. Mais en juin dernier le ministre de la Santé avait dit avoir égaré la liste des experts nommés…

Quoi qu’il en soit une liste (de 16 « membres effectifs » et de suppléants) a été publiée le 5 novembre par arrêté royal. Et au moins quatre personnes ont été étonnées de se trouver dans la commission alors qu’elles n’ont rien demandé.

La mission de la commission est de donner des statistiques et des évaluations mais aussi de proposer des « mesures susceptibles de contribuer à réduire le nombre d'interruptions de grossesse et à améliorer la guidance et l'accueil des femmes en état de détresse ». Est-ce pour cela qu’elle ne fonctionnait pas ?

Commentaires

  • "mesures susceptibles de contribuer à réduire le nombre d'interruptions de grossesse"
    Le Belgique a aboli la peine de mort, non? Il faut appliquer cette abolition à l'avortement et les résultats seront rapides.

  • il y a d'autres moyens
    en France aussi, on a aboli la peine de mort, c'est à dire qu'on l'a retirée aux tribunaux pour la confier au ministre de l'intérieur

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