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Saint Gwenaël

Alors que Fañch Morvannou faisait des recherches pour son livre sur saint Guénaël (publié en 1997), le chanoine Jean-Louis Le Floc’h, archiviste de l’évêché de Quimper, lui avait transmis le texte d’un cantique de la paroisse d’Ergué-Gabéric, lieu de naissance de saint Guénaël qui en est le saint patron sous la forme « Guinal ». Voici ce cantique, qui était oublié et a repris du service grâce au curé de « l'ensemble paroissial Quimper Rive Gauche » qui lui a donné une mélodie.

Sant Guenaël, Sant galloudus,
Klevit hor pedenn hirvoudus
Hon diwallit hed hor buhez
Diouzh pep darvoud, pep fallentez.

Saint Guénaël, saint puissant,
Entendez notre prière plaintive
Protégez-nous le long de notre vie
De tout dommage, toute méchanceté.

Sant Gwenaël, pa vez pedet
Kreiz an dañjer, kreiz ar c’hleñved
A zo gouest d’ober burzhudoù
Evit skañvaat pouezh hor c’hroazioù.

Saint Guénaël, quand on le prie
En plein danger, au creux de la maladie
Est capable de faire des miracles
Pour alléger le poids de nos croix.

O ! Diwallit korf hag ene
Enep pep drouk hor bugale
Ha grit ma kreskint e furnez
Evit gwellañ mad ar barrez.

O! Protégez le corps et l'âme
De nos enfants de tout mal
Et faites qu'ils grandissent en sagesse
Pour le plus grand bien de la paroisse.

O ! Diwallit hon tud yaouank
Diouzh an dañjer da ruilh er fank
Ha grit ma vezint aketus
Da vale war roudoù Jezus.

O! Protégez nos jeunes gens
Du danger de rouler dans la fange
Et faites qu'ils soient assidus
A marcher sur les traces de Jésus.

Benniget poan al labourer
Brevet e gorf en e vicher
Diouzh pep gwalleur, mirit hon tud
Hor parkeier, hol loened mut.

Bénissez la peine du laboureur
Dont le métier lui brise le corps
De tout malheur, gardez nos personnes
Nos champs, notre bétail.

Grit ma chomimp atav fidel
Da Jezus Krist, d’e vamm santel.
Gant e sikour, Satan morse
Ne c’hello trec’hiñ tud Erge.

Faites que nous demeurions toujours fidèles
A Jésus-Christ, à sa sainte mère.
Avec son aide, Satan jamais
Ne pourra vaincre les habitants d'Ergué.

On remarque que ce cantique naïf ne dit rien de l’histoire de saint Guenaël. Le site où je l’ai trouvé signale une sorte de comptine, publiée en 1926 dans Feiz ha Breiz, qui fait allusion au chapitre II de l’histoire de saint Gwenaël, disciple et successeur de saint Guénolé premier abbé de Landévennec, par Albert le Grand :

Roomp amzer Da Wennole,
Da zont d'ar gêr, Eus an Erge
Da zont d'ar ger eus an Erge,
Gant Gwenêl e ziskib neve
 »

Donnons du temps à saint Gwenolé,
en revenant à la maison, depuis Ergué,
en revenant à la maison, depuis Ergué,
avec Gwenael son nouveau disciple.

Commentaires

  • Trugarez vras deoc'h !
    Ne seblant ket bout breizhek an ton ?...
    Met brav eo.

  • Un ton savet a nevez eo (savet gant an Ao. Guiziou) hag en deus kemeret skouer war stumm an tonioù kozh.
    C'est un air nouvellement composé par l'abbé Guiziou qui s'insipire de la forme d'anciens cantiques.

  • L'orthographe Gwenael est erronée, ainsi que l'étymologie "Ange blanc". La forme ancienne est Gwenhael, (Guenhael) du vieux breton gwenn, blanc, immaculé et hael, noble, généreux. Cet adjectif étant depuis des siècles tombé en désuétude, le h aspiré est tombé et l'étymologie populaire faussement transparente s'est substituée à l'étymologie d'origine.

  • orthographe erronée ?
    l'orthographe du breton serait-elle immémoriale ?
    il serait bon de le faire savoir aux cuistres qui manipulent le breton en permanence
    mon arrière grand-père a publié plusieurs livres en breton, et je ne suis pas sur que les malheureux qui ont appris le breton à l'école seraient capables de les lire

  • En complément, voici le lien d'un article très intéressant de Fañch Morvannou sur l'étymologie de Gwenhael, Gwenog et Gwenole :
    http://www.persee.fr/doc/abpo_0399-0826_1974_num_81_1_2714

  • L'orthographe du breton n'est pas immémoriale, elle a fort évolué depuis le VIIIème siècle selon les lieux et les époques. Il existe aujourd'hui trois systèmes orthographiques plus des variantes, issus de la réforme orthographique du Bx Julien Maunoir en 1659. Cette variété, quoiqu'en disent les partisans de la standardistion à l'extrême, n'est pas un problème car elle offrent un certaine flexibilité. En effet, le breton n'a pas besoin d'une écriture centralisée comme le français. De même, il existe de nombreuses variantes dans les prénoms bretons. Saint Gwenhael peut être écrit Gwenal, Gwendal, Gwinhael. Gwenael...Quand je parle d'orthographe erronée, cela ne veut pas dire qu'elle soit illégitime, mais que la forme originelle Gwenhael (Uuinhael en vieux breton latinisée en Guenhaelus dans le cartulaire de Landévénnec, XIème siècle) est la plus correcte car elle fait ressortir l'étymologie uuin - immaculé- et hael -généreux.en gardant le h aspiré d'origine. Cette forme est restée inchangée dans le pays de Vannes : cf Guenhaelus dans le bréviaire du diocèse de Vannes de 1589.
    Pour d'autres prénoms, certaines variantes sont incorrectes comme pour Tudual (en vieux-breton Tutuual, qui évolua en Tutgual, transcrit en français par Tugdual, à cause d'une inversion de lettres d'un copiste, probablement au XIIIème siècle. Il est d'ailleurs symptomatique que les milieux catho-bourgeois adoptent le Tugdual alors que les militants culturels bretons utilisent le Tudual ou le Tudwal ou le diminutif Tual.
    Le fait que votre grand-père ait écrit des livres en bretons est hors-sujet. Pour ma part, ayant appris le breton aussi bien avec des gens du cru qu'à l'Université.je me sens plus à l'aise à lire des textes en breton du XIXème siècle, voire du XVIème, que le breton standard scolaire actuel.
    Enfin, il est fatigant de voir des gens disserter sur la langue bretonne - toutes tendances confondues, de l'extrême gauche à l'extrême droite, cathos ou nom-sans la connaître.
    Qu'ils apprennent le breton ou se taisent !

  • je ne vois pas trés bien en quoi mon arrière grand père est hors sujet; est-ce parce qu'il précisait qu'il écrivait en breton du Léon alors que maintenant on écrit en breton de nulle part ?
    je pense d'ailleurs que le père Maunoir n'avait pas pour but de respecter l'étymologie, mais de permettre à un prêtre d'origine francophone de préparer un sermon en respectant la prononciation
    je n'ai pas l'impression que Gwendal soit une forme de Gwenaël, mais plutôt que c'est promu par les laïcistes bretons, et ils sont assez fanatiques, pour "déprêtriser" avec un nom qui n'a pas de saint patron; dans ce sens, ils feraient mieux d'essayer de relancer Prigent, par exemple, prénom breton authentique, mais peut-être trop chrétien à leur goût puisqu'il a souvent servi de nom de baptême jusqu'à la Révolution
    quant à Tual, j'ai toujours pensé que c'était du gallo

  • Le Bx R.P Julien Maunoir, dans sa préface du « Sacré collège de Jésus », qui est à la fois grammaire, dictionnaire et catéchisme en langue bretonne destine cet ouvrage : « Aux missionnaires, recteurs et autres personnes zélées de la doctrine de Jésus-Christ ». Il ne s’agit pas seulement dans cet ouvrage « de permettre à un prêtre d'origine francophone de préparer un sermon en respectant la prononciation. » Il y distingue plusieurs types d’ecclésiastiques liés à la langue bretonne :

    1. Ceux qui ne connaissent pas le breton- minoritaires à l’époque :

    « Plusieurs ecclésiastiques, zélés de la gloire de Dieu, m’ayant prié de donner au public ce que je jugeais à propos et nécessaire, pour accroître la connaissance, l’amour et le service de Dieu, dans ces derniers cantons d’Europe, j’ai trouvé que plusieurs,
    qui ont charge d’âme et sont obligés d’instruire leur troupeau, ne savent la langue de leurs ouailles, ce qui est cause qu’ils ne peuvent les entendre, ni leur parler ;

    2. Ceux dont le breton est la langue maternelle, mais qui l’ont oubliée en partie :

    « En outre, j’ai pris garde, que plusieurs, quoique savants et vertueux, ayant intermis l’usage de leur langue hors de leur pays natal, pendant le cours de leurs études, ont oublié une partie des mots propres de l’idiome d’Armorique, ce qui est cause que dans leurs catéchismes et prédications, ils se servent de plusieurs mots français, avec terminaison bretonne, qui ne sont entendus de la plupart des auditeurs ».

    3. Ceux qui maîtrisent plus ou moins bien le breton :

    Je présente à ceux qui n’en n’ont une parfaite connaissance, un ample dictionnaire, où ils trouveront tous les mots nécessaires pour composer un catéchisme ou un sermon [...]

    Toutefois, ce modeste objectif, fut largement dépassé, car l’ouvrage du RP Maunoir devint une référence au cours des siècles jusqu’à nos jours, non seulement pour les pasteurs, mais pour tous ceux qui aimaient la langue bretonne, car les trois orthographes actuelles : le peurunvan, orthographe consensuelle la plus répandue aujourd’hui, créée en 1941, intégrant le vannetais avec l’aval de l’abbé Pierre Le Goff, l’orthographe universitaire (ou Falc’hunieg, du nom du chanoine Falc’hun, (1953) vannetisée par l’abbé Meridec Herrieu), écriture simplifiée, pratique à la fois pour les débutants comme pour les bretonnants de naissance qui ne savent pas écrire : ou l’Interdialectal (forgée par Fañch Morvannou, écriture qui respecte à la fois l’étymologie,les variantes dialectales, et les graphies des autres langues britonniques, graphie plus difficile à maîtriser, c’est entre autres la graphie de la méthode Assimil)
    En cela le P. Maunoir est le véritable fondateur du « breton moderne. » Jusqu’à sa réforme, l’orthographe du breton était savante, étymologique et archaïque : seuls les initiés pouvaient la lire et la comprendre.

    - Gwendal est bien un dérivé de Gwenhael :
    « Son nom (Gwenhael) dont la forme originelle Uuinhael revient à plusieurs reprises dans les cartulaires de Redon et de Landévennec est un composé en vieux breton des qualificatifs uuin « sacré, béni » et hael « noble, généreux ».
    Par fausse régression, ce nom a évolué en – vendal dans plusieurs lieus-dits : Kervendal, noté anciennement Kervennal et dans saint Guendal, nom d’une chapelle de Dournenez noté saint Guenel en 1691.Le prénom Gwendal qui jouit d’une vogue certaine, apparaît donc comme une forme évoluée et populaire de Gwenhael. »
    cf dictionnaire des prénoms celtiques, Albert Deshayes, docteur en études celtiques, ed. Le Chasse-marée, 2000.

    Pour ce qui est des « laïcistes bretons », je ne sais pas exactement ce que vous voulez entendre par là. Il est vrai que dans la mouvement breton, il existe des quelques laïcards de premier choix. Toutefois, la plupart des militants reconnaissent l’action bénéfique de l’Eglise catholique pour la préservation du breton et nombreux sont ceux qui se rendent aux pardons ou aux messes en breton et qui aiment à chanter nos cantiques. L’abbé Blanchard, ancien recteur de quistinic, considéré comme « intégriste » par la plupart de ses confrères recvait dans son presbytère bien des militants bretons qui ne fréquentaient plus l’Eglise depuis longtemps. Beaucoup d’entre eux ont perdu la foi, mais se rendent volontiers à la messe quand il y a du breton. La faute à qui ?

    Et oui, Tual est bien un authentique diminutif bretonnant de Tuduual, spécialement dans le pays vannetaisoù il est la forme officielle, notamment à Grandchamp. (ou d’ailleurs dans la tradition populaire les aventures de Gargantua sont transcrites en « GregamTual. »
    A l’avenir, vérifiez et confirmez vos sources avant de discerter sur ce que vous ne connaissez pas ; votre aïeul écrivait en breton, que ne le faites-vous pas ? Il est facile de critiquer ceux qui oeuvrent pour la langue bretonne quand soi-même on ne la pratique pas.
    Ha c’hwi ‘gomz brezhoneg ? Nepas ? Tavet !

  • Le Bx R.P Julien Maunoir, dans sa préface du « Sacré collège de Jésus », qui est à la fois grammaire, dictionnaire et catéchisme en langue bretonne destine cet ouvrage : « Aux missionnaires, recteurs et autres personnes zélées de la doctrine de Jésus-Christ ». Il ne s’agit pas seulement dans cet ouvrage « de permettre à un prêtre d'origine francophone de préparer un sermon en respectant la prononciation. » Il y distingue plusieurs types d’ecclésiastiques liés à la langue bretonne :

    1. Ceux qui ne connaissent pas le breton- minoritaires à l’époque :

    « Plusieurs ecclésiastiques, zélés de la gloire de Dieu, m’ayant prié de donner au public ce que je jugeais à propos et nécessaire, pour accroître la connaissance, l’amour et le service de Dieu, dans ces derniers cantons d’Europe, j’ai trouvé que plusieurs,
    qui ont charge d’âme et sont obligés d’instruire leur troupeau, ne savent la langue de leurs ouailles, ce qui est cause qu’ils ne peuvent les entendre, ni leur parler ;

    2. Ceux dont le breton est la langue maternelle, mais qui l’ont oubliée en partie :

    « En outre, j’ai pris garde, que plusieurs, quoique savants et vertueux, ayant intermis l’usage de leur langue hors de leur pays natal, pendant le cours de leurs études, ont oublié une partie des mots propres de l’idiome d’Armorique, ce qui est cause que dans leurs catéchismes et prédications, ils se servent de plusieurs mots français, avec terminaison bretonne, qui ne sont entendus de la plupart des auditeurs ».

    3. Ceux qui maîtrisent plus ou moins bien le breton :

    Je présente à ceux qui n’en n’ont une parfaite connaissance, un ample dictionnaire, où ils trouveront tous les mots nécessaires pour composer un catéchisme ou un sermon [...]

    Toutefois, ce modeste objectif, fut largement dépassé, car l’ouvrage du RP Maunoir devint une référence au cours des siècles jusqu’à nos jours, non seulement pour les pasteurs, mais pour tous ceux qui aimaient la langue bretonne, car les trois orthographes actuelles : le peurunvan, orthographe consensuelle la plus répandue aujourd’hui, créée en 1941, intégrant le vannetais avec l’aval de l’abbé Pierre Le Goff, l’orthographe universitaire (ou Falc’hunieg, du nom du chanoine Falc’hun, (1953) vannetisée par l’abbé Meridec Herrieu), écriture simplifiée, pratique à la fois pour les débutants comme pour les bretonnants de naissance qui ne savent pas écrire : ou l’Interdialectal (forgée par Fañch Morvannou, écriture qui respecte à la fois l’étymologie,les variantes dialectales, et les graphies des autres langues britonniques, graphie plus difficile à maîtriser, c’est entre autres la graphie de la méthode Assimil)
    En cela le P. Maunoir est le véritable fondateur du « breton moderne. » Jusqu’à sa réforme, l’orthographe du breton était savante, étymologique et archaïque : seuls les initiés pouvaient la lire et la comprendre.

    - Gwendal est bien un dérivé de Gwenhael :
    « Son nom (Gwenhael) dont la forme originelle Uuinhael revient à plusieurs reprises dans les cartulaires de Redon et de Landévennec est un composé en vieux breton des qualificatifs uuin « sacré, béni » et hael « noble, généreux ».
    Par fausse régression, ce nom a évolué en – vendal dans plusieurs lieus-dits : Kervendal, noté anciennement Kervennal et dans saint Guendal, nom d’une chapelle de Dournenez noté saint Guenel en 1691.Le prénom Gwendal qui jouit d’une vogue certaine, apparaît donc comme une forme évoluée et populaire de Gwenhael. »
    cf dictionnaire des prénoms celtiques, Albert Deshayes, docteur en études celtiques, ed. Le Chasse-marée, 2000.

    Pour ce qui est des « laïcistes bretons », je ne sais pas exactement ce que vous voulez entendre par là. Il est vrai que dans la mouvement breton, il existe des quelques laïcards de premier choix. Toutefois, la plupart des militants reconnaissent l’action bénéfique de l’Eglise catholique pour la préservation du breton et nombreux sont ceux qui se rendent aux pardons ou aux messes en breton et qui aiment à chanter nos cantiques. L’abbé Blanchard, ancien recteur de quistinic, considéré comme « intégriste » par la plupart de ses confrères recvait dans son presbytère bien des militants bretons qui ne fréquentaient plus l’Eglise depuis longtemps. Beaucoup d’entre eux ont perdu la foi, mais se rendent volontiers à la messe quand il y a du breton. La faute à qui ?

    Et oui, Tual est bien un authentique diminutif bretonnant de Tuduual, spécialement dans le pays vannetaisoù il est la forme officielle, notamment à Grandchamp. (ou d’ailleurs dans la tradition populaire les aventures de Gargantua sont transcrites en « GregamTual. »
    A l’avenir, vérifiez et confirmez vos sources avant de discerter sur ce que vous ne connaissez pas ; votre aïeul écrivait en breton, que ne le faites-vous pas ? Il est facile de critiquer ceux qui oeuvrent pour la langue bretonne quand soi-même on ne la pratique pas.
    Ha c’hwi ‘gomz brezhoneg ? Nepas ? Tavet !

  • cher savant universel
    votre marc de café vous a appris bien des choses, par exemple que je ne sais pas le breton, en tout pas le votre
    je vous m'avez appris entre autre que le breton a des formes officielles, ou que Tual n'est pas un nom gallo
    en ce qui concerne le père Maunoir, vous ne faites que confirmer ce que j'en disais
    quant aux laïcistes bretons qui iraient à la messe, je n'en connais pas; en revanche, j'en connais qui se flattent d'avoir donné à leurs enfants des prénoms qui ne sont pas des noms de saint, qui regrettent l'influence de l'Eglise sur la Bretagne, etc...c'est d'ailleurs en Bretagne que j'ai des parents non baptisés; j'ai même été victime dans mon enfance de l'un d'entre eux, inspecteur d'académie qui avait fermé toutes les écoles libres du canton sans avoir les moyens de les remplacer

  • Pour en savoir plus sur Saint Tudwal / Tual => https://www.argedour.bzh/chronique-des-saints-bretons-saint-tudwal/

  • Merci pour cette découverte du cantique.
    Vous pouvez trouver aussi une hagiographie poussée concernant ce saint sur le site Ar Gedour, qui pousse un peu plus loin encore ce qu'a pu dire Fañch Morvannou ; https://www.argedour.bzh/sant-gwenhael-saint-gwenael/

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