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Une réaction

Celle de Mgr Athanasius Schneider. A vrai dire sans surprise, quand on sait que Mgr Viganò avait signé la déclaration des évêques du Kazakhstan contre l’interprétation hétérodoxe (et néanmoins pontificale) d’Amoris laetitia. Mgr Schneider publie un texte qui est en fait un commentaire sur la situation. Au début on lit ceci :

(...) Mgr Viganò a confirmé ses déclarations d’un jugement sacré prenant Dieu à témoin. Par conséquent il n’y a pas de motifs raisonnables et crédibles pour mettre en doute la véracité du contenu du document publié par l’archevêque Carlo Maria Viganò.

Puis il écrit :

Cette situation historique que l’Église est en train de vivre exige la transparence totale à tous les niveaux de la hiérarchie, et en premier lieu évidemment de la part du Pape.

Il est totalement insuffisant et peu convaincant, que les autorités ecclésiastiques continuent à faire des appels pour que l’on ne tolère aucun cas d’abus sexuels de la part des prêtres et que l’on cesse de couvrir ces situations. Egalement totalement insuffisantes sont les demandes de pardon stéréotypées de la part des autorités de l’Église. Les dites demandes de tolérance zéro et de pardon ne seront dignes de crédit que si les autorités de la Curie mettent les cartes sur table en faisant connaître les noms et prénoms de tout membre de la Curie, quels que soient sa charge et son titre, ayant couvert des abus de mineurs et de subordonnés.

Lire la suite chez Benoît et moi.

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