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Une bonne nouvelle

On apprend qu’il n’y a plus d’avortements au centre hospitalier de La Flèche (Sarthe) depuis le début de l’année.

Il y avait cinq gynécologues, l’un d’eux est parti à la retraite, sur les quatre restants trois font jouer la clause de conscience, et la réorganisation du service ne permet pas au quatrième de tuer les bébés.

Je savais que c’était ainsi dans de nombreux hôpitaux italiens, mais je n’aurais pas imaginé qu’il pût en être de même dans un hôpital français, avec l’avortement comme « droit fondamental » de la femme et le Planning familial toujours à l’affût du moindre manquement à l’observation de ce « droit ».

40 ans après la loi Veil, et après 40 ans de propagande effrénée de la culture de mort, l’avortement ne va donc toujours pas de soi pour les gynécologues… qui n’ont pourtant vécu que dans le temps du règne de l’« IVG légal » puis « droit de la femme ». La loi morale naturelle fait de la résistance dans les consciences…

Addendum

Hum... En fait ce sont des musulmans (voir le premier commentaire)... Donc c'est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle...

Commentaires

  • Les Gynécos du Pôle Santé Sarthe et Loir (Hôpital de La Flèche et de Sablé, au Bailleul) Docteur DOMANDE Modanga
    Spécialité(s) : Gynécologie obstétrique - Docteur ABU-GHAIDA Rasem Spécialité(s) : Gynécologie obstétrique - Docteur MASLOH Abdelhadi Spécialité(s) : Gynécologie obstétrique..... Le quatrième (le Docteur JULIEN Emmanuel) ne fait que les échographies prénatales, un jour par semaine. Ce qui ne lui laisse pas le temps de commettre des assassinats.
    - -

  • Ah oui… ce n’est donc pas comme en Italie… J’avoue que je n’ai pas pensé une seconde que les objecteurs fussent des musulmans…

    Je vois qu’il y a aussi dans cet hôpital les docteurs Moncef Afi Sandra Aïsssou, Assia Atek, Djamel Atek, Zafer Azar Sekou Ba, Salim Benallegue, Radia Bougouffa, Salima Mahi, Olfa Mejri, Tamin Orfali, Napo-Zag Oussey, Hery-Zo Rakotomalala, Morimoussou Sissoko, Samer Sonji…

    Ce qui prouve bien que le grand remplacement est un fantasme.

  • Si j'étais Dieu, j'aimerais encore mieux les musulmans. Je leur donnerais un chef (du genre Clovis). Je lui donnerais la victoire. Et je le convertirais.

  • Mais hélas, contrairement à ce que pensent les imbéciles, la vraie leçon de l'histoire avec un grand H est qu'elle ne recopie jamais le passé.

  • Et que croyez-vous qu'il va se passer. C'est le plan, en effet.

  • Le sujet c est plutôt le numerus clausus débile...

  • Stavrolus :

    "Si j'étais Dieu, j'aimerais encore mieux les musulmans. Je leur donnerais un chef (du genre Clovis). Je lui donnerais la victoire. Et je le convertirais."

    _____________________________________



    Ce fut justement le projet du Pape Pie II dans sa fameuse "Lettre au sultan Mehmet II"*, l'envahisseur de Constantinople et le violeur pédophile du jeune fils de Notaras, après être monté sur l'autel même de la basilique Sainte-Sophie pour le piétiner longuement**. Ce fut Satan à l'œuvre.


    * Extraits de la Lettre du Pape Pie II au monstre :

    "Si tu veux étendre ton empire parmi les Chrétiens, et rendre ton nom glorieux, tu n'as que faire ni d'or, ni d'argent, ni d'armées, ni de vaisseaux. Une petite chose te peut rendre le plus grand, le plus puissant et le plus célèbre de tous ceux qui vivent aujourd'hui. Tu demandes : laquelle ? Elle n'est pas difficile à trouver, et il ne la faut pas chercher bien loin ; elle se rencontre en toutes les parties du monde. C'est un peu d'eau pour te baptiser et te faire embrasser la Religion des Chrétiens, en croyant à l'Evangile. Si tu fais cela, il n'y aura prince en l'univers qui te surpasse en gloire ou qui t'égale en puissance. Nous t'appellerons empereur des Grecs et de l'Orient, et ce que maintenant tu occupes par violence et injustice, tu le possèderas de droit et avec équité. Tous les Chrétiens t'honoreront et te feront arbitre de leurs différent.../...
    Si tu étais baptisé, et que tu entrais avec Nous en la maison du Seigneur, les peuples ne redouteraient pas ton empire, et Nous ne les assisterions pas contre toi ; mais plutôt Nous implorerions ton bras contre ceux qui usurpent quelquefois ce qui appartient à l'Église romaine et qui lèvent les cornes contre leur Mère. Et comme nos prédécesseurs Etienne, Adrien et Léon appelèrent à leur secours Pépin et Charlemagne, contre Astolphe et Didier, roi des Lombards, après avoir été par eux délivrés de l'oppression des tyrans, transférèrent à leurs libérateurs l'empire des Grecs, Nous aussi Nous emploierions ton assistance et ne te serions pas ingrat." .../...



    ** "Les troupes ottomanes qui, battant les tambours, entrent par les brèches des murs croulants, renversent les défenseurs génois et vénitiens et espagnols, les massacrent tous à coups de cimeterre, puis font irruption dans la cathédrale et décapitent même les nouveau-nés. Avec leurs petites têtes, ils éteignent les cierges…

    Le carnage dura de l’'aube à l’'après-midi. Il cessa seulement au moment où le Grand Vizir monta sur la chaire de Sainte-Sophie et dit aux massacreurs : « Reposez-vous. Maintenant, ce temple appartient à Allah. » Pendant ce temps, la ville brûlait. La soldatesque crucifiait et empalait. Les janissaires violentaient et égorgeaient les religieuses (quatre mille en quelques heures), ou enchaînaient les survivants pour les vendre au marché d’'Ankara. Et les courtisans préparaient le Banquet de la Victoire. Ce banquet auquel Mehmed II s'’enivra de vin de Chypre, et, ayant un faible pour les jeunes garçons, fit amener le premier-né du grand-duc orthodoxe Notaras.

    Un garçon de quatorze ans, connu pour sa beauté. Devant tout le monde, il le viola, et après l'’avoir violé, fit amener les autres Notaras. Ses parents, ses grands-parents, ses oncles, ses cousins. Sous ses yeux, il les décapita. Un par un. Il fit aussi détruire tous les autels, fondre toutes les cloches, transformer toutes les églises en mosquées ou en bazars. Eh oui. C'’est ainsi que Constantinople devint Istanbul."

    Oriana Fallaci - La Force de la Raison ; chapitre 1 ; pages 40-41

  • Cette lettre du pape n'a jamais été envoyée à son destinataire.
    Heureusement !!!
    Je la trouve révoltante. Vraiment.

  • La lettre de Pie II est dans la logique catholique. Ce qui est révoltant, ce sont les appels renouvelés de Bergoglio à l'accueil des envahisseurs musulmans.
    Mehmet II n'était ni un monstre, ni un démon. C'était un pécheur dont les crimes criaient vengeance au Ciel, mais sa faute était moins grande que celle d'un "pape" qui nomme un "père" James Martin responsable de la communication du Vatican et qui encourage les communions sacrilèges partout où il le peut.
    "Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l'âme; craignez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne."

  • @Stavrolus : pour la lettre de Pie II, j'ai songé à son effet sur les victimes... On peut pardonner à son propre bourreau, mais de quel droit peut-on pardonner au bourreau de parfaits inconnus ?
    Pour Bergoglio, vous avez, hélas, raison... Mais là, on entre dans le "mystère d'iniquité", et c'est autrement plus grave.

  • Du moment que vous êtes le transparent du Christ (Pape, évêque ou simple prêtre), vous disposez d'une juridiction qui, dans l'ordre spirituel, vous autorise et vous oblige à pardonner au pécheur repentant, même si c'est un tortionnaire et un assassin. Ce pardon n'est pas accordé au nom des victimes et n'a qu'une relation secondaire avec elles : le péché est d'abord une offense faite à Dieu, ensuite seulement contre soi-même et contre le prochain (je suis perplexe quant à l'ordre des deux derniers termes, mais il me semble qu'on ne peut pécher contre Dieu sans s'offenser soi-même et vice-versa, tandis qu'il existe des péchés qui n'offensent pas le prochain...).
    Les victimes elles-mêmes ou leurs proches peuvent demander justice ou réparation, mais l'Eglise les somme de ne pas chercher à se venger et de pardonner sous peine de damnation. C'est la logique catholique, qui restaure les hommes dans leur dignité et les sociétés dans l'équilibre du vivre-ensemble. Ce n'est pas celle des époux Klarsfeld (par exemple).

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