Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Trump

Lors de sa conférence de presse à l’issue de son entretien avec Theresa May, Donald Trump a déclaré à propos de l’immigration :

« Je pense qu'elle est en train de changer la culture, c'est une chose très négative pour l'Europe. Je sais que, politiquement, ce n'est pas forcément correct de dire cela mais je le clame haut et fort. »

Les pays européens, a-t-il poursuivi, feraient mieux de « prendre garde à eux ». « Vous changez de culture, la sécurité aussi est en train de changer, voyez ce qui se passe dans des pays qui n'avaient jamais eu aucune difficulté, aucun problème. C'est très triste, c'est vraiment dommage, et je ne pense pas que ce soit bon pour l'Europe, ni que ce soit bon pour notre pays. »

C’est ce qu’il disait aussi hier dans son interview au Sun : « Permettre l'immigration en Europe est une honte. Je pense que cela change le tissu de l'Europe, et à moins que vous n'agissiez très rapidement, cela ne sera plus jamais ce que c'était, et je ne dis pas cela d'une manière positive. Je pense que vous perdez votre culture. Regardez autour de vous. Certains endroits n'existaient pas il y a 10 ou 15 ans. »

Commentaires

  • Trump se garde bien de révéler le rôle des USA et de ses alliés dans l'invasion de l'Europe. En gentil toutou des visées mondialistes, il applique l'agenda de ses maîtres. Ses actions pro-vie sont peut-être sincères, mais le reste de sa politique demeure yankee-sioniste.

  • "En gentil toutou des visées mondialistes, il applique l'agenda de ses maîtres"

    Vous fantasmez grave. Pour l'instant, on voit exactement le contraire : Trump heurte les mondialistes.

    Mais il est vrai que la vision complotiste ne se laisse jamais influencer par aucune réalité, puisque la vérité est cachée.

  • @Franck Boizard
    Depuis le "non serviam" des origines, le complot contre la Vérité, la Voie, la Vie n'a pas cessé une seule seconde. Nous sommes à l'apogée des puissances du mal et si l'apogée est atteinte, c'est avec la complicité et la lâcheté d'une multitude d'hommes d'église et des "élites" politiques. Le peuple est soit amené au bien, soir enfoncé dans le mal par les élites qui les gouvernent. Rien de nouveau.
    Parler de "complotistes" dès que quelqu'un émet une avis qui heurte votre souci de confort intellectuel et de conformisme, vous empêchera de discuter sur le fond. Le Christ était donc complotiste qui nous a mis en garde sur les agissements des esprits des ténèbres et de leurs auxiliaires.

  • Vous êtes chaud, vous. Il faudrait prendre vos gouttes plus souvent, écoutez un peu votre médecin.

    "Je ne suis pas paranoïaque, mais le monde entier m'en veut".

  • qui est Franck Boizard ?
    ce n'est pas la première fois que je lis dans ce blog ce conseil de bien prendre ses gouttes, signé jusqu'à présent par un autre pseudo; on ne le trouve pas qu'ici d'ailleurs, vraisemblablement venant de la même personne
    il est au moins inadmissible d'utiliser ce procédé, même si l'on croit qu'on est le seul à posséder la vérité

  • A proprement parler, le Baroque est l'ultime manifestation d'une culture vraiment européenne, c'est-à-dire encore catholique. De cette culture, il ne reste pratiquement rien, et ce rien est condamné à disparaître très rapidement. Donald Trump ne dispose probablement pas des connaissances qui lui permettraient de saisir ce qu'a été la contribution majeure des Etats-unis à la disparation de notre culture. En revanche, il doit certainement être courant des conséquences de la politique actuelle de son pays. Ses propos sont tout simplement ahurissant.

  • "Donald Trump ne dispose probablement pas des connaissances qui lui permettraient de saisir"

    Votre condescendance vous perdra.

  • C'est déjà fait et depuis longtemps!
    Je remarque simplement qu'aucun président américain n'a fait preuve jusqu'à présent d'un minimum de connaissances en matière de culture, d'histoire, voire de géographie européennes. Il s'agit d'une constante dont l'exemple le plus flagrant est Wilson - et son entourage - mais auquel on peut adjoindre Roosevelt, Johnson, Kennedy, etc.
    Dans le monde réel, dire en public des chose qui ne sont pas politiquement correctes peut avoir son panache, mais cela n'équivaudra jamais à la mise en oeuvre de la politique d'envergure qui permettra à l'Amérique ou à l'Europe de sortir du bourbier ou elles s'enfoncent.

  • Avant d'être condescendant, vous devriez peut-être un peu regarder le résultat. En moins d'un siècle, les Etats-Unis sont devenus hégémoniques.

    Pour minorer les dirigeants américains, on peut toujours se raconter qu'ils ne l'ont pas fait exprès. Si ça vous fait plaisir ... Mais refuser de regarder la réalité en face est une attitude de pleutres.

    Bon, la situation est le suivante : les Etats-Unis ne sont pas nos ennemis, mais ils sont au moins dirigés par des gens au moins aussi intelligents que les nôtres (je mets Trump bien au-dessus de Merkel ou de Macron, plus au niveau Poutine).

    Que fait-on ?

    L'étape 1 serait peut-être de cesser nos fanfaronnades ridicules et de prendre Trump au sérieux, non ?

    Vous me rappelez les Grecs qui se moquaient de la grossièreté des Romains. Sauf que les premiers étaient soumis aux seconds, pas l'inverse.

  • Les Grecs ni les Romains ne sont plus parmi nous, laissons-les tranquilles.
    Demain, ou après-demain, ou un peu plus tard mais dans pas longtemps, ce sera inéluctablement le tour du joli petit monde qui nous entoure.
    Nul ne peut prétendre préparer l'avenir avec des murs, des lois ou des coup de gueules.
    Les "migrants" sont déjà chez nous - et il en viendra bien d'autres, et encore d'autres - avec l'aimable complicité des idiots de toujours: la véritable question est de savoir précisément ce que nous allons faire avec eux avant qu'il ne s'occupe de savoir ce qu'ils vont faire de nous.
    Le drame des Etats-unis et de l'Europe est de ne pas disposer des intelligences courageuses qui seraient capables de répondre à cette question. En particulier en France, l'absence d'une véritable tradition politique conservatrice est un drame qui se paiera cher.
    Quant à l'Amérique "great again" du président Trump, mur ou pas, déclaration tonitruante ou pas, elle sera majoritairement hispanique dans quelques années - c'est à dire majoritairement de tradition catholique: ça ne me dérange pas. Bien au contraire.

  • c'est bien parce que les Etats Unis d'Amérique, grace à l'immigration hispanique, seront bientôt majoritairement catholiques, que nos media assimilent systématiquement cette immigration à celle, musulmane, que nous subissons en Europe

  • Trump a raison,on ferait bien de l'écouter.

  • Pour votre chronique des cinglés :

    http://premium.lefigaro.fr/flash-actu/2018/07/15/97001-20180715FILWWW00006-le-gouvernement-s-engage-pour-le-droit-de-vote-inconditionnel-des-personnes-handicapees.php

  • Je ne trouve personne dans l'histoire réelle qui ressemble à Trump, mais, pour la fiction, c'est un personnage tintinesque. Il y a en lui une bonne dose d'Alcazar, une incontestable dimension Séraphin Lampion, un côté Rastapopoulos, un brin de Haddock, et un soupçon de Tintin, qui je l'espère va l'emporter sur tout le reste...

  • Alors là, chapeau. Çà ne m'avait pas sauté aux yeux, mais après coup, pour qui a appris à lire dans Tintin, la comparaison est tout à fait pertinente, quoique bientôt Tintin ce sera comme le Latin... complètement suranné.

    Clin d'oeil à F. Boizard qui ne craint pas d'illustrer son blog d'un dessin de Marsault.

    http://marsault.net/wp-content/uploads/2017/02/Efficacit%C3%A9.jpg

Les commentaires sont fermés.