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De la Sainte Vierge le samedi

Revoilà la messe Salve Sancta Parens d’après la Pentecôte, c’est-à-dire la messe du commun des fêtes de la Sainte Vierge, dont le propre est repris de la messe de la Nativité de la Sainte Vierge, sauf l’offertoire qui est celui du 4e dimanche de l’Avent, et l’Alleluia qui est la seule pièce originale dans le graduel actuel, texte et mélodie.

Allelúia, allelúia. Post partum, Virgo, invioláta permansisti : Dei Génetrix, intercéde pro nobis. Allelúia.

Allelúia, allelúia. Après l’enfantement vous êtes demeurée Vierge inviolée : Mère de Dieu, intercédez pour nous. Alléluia.

L’Alléluia Post partum, dit dom Gajard, « a la même mélodie que deux anciens Alléluias hors d’usage, l’Usque modo du cinquième dimanche après Pâques et l’Assumpta est, et se rencontre lui-même dans quelques-uns des plus anciens manuscrits du XIe siècle ». (Dom Gajard devrait dire « un » Assumpta est, différent de celui de la messe actuelle de l’Assomption, qui était déjà celui d’avant la proclamation du dogme.)

Le voici par les moines de Solesmes sous la direction de dom Gajard, en 1958 :

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