« La visite du Pape François au Chili sera la première à être environnementalement, économiquement et socialement durable. »
C’est ce qu’annonce et nous explique longuement l’agence Fides, précisant que sont prises « cinq mesures de durabilité environnementale, cinq autres de durabilité économique et autant de durabilité sociale ».
Il est question de « la mesure de la trace de carbone, qui sera réduite et compensée économiquement », de l’interdiction des bouteilles en plastique et de l’incitation à manger végétarien, etc.
Ah ! J’allais oublier. Au moment où j’écris, c’est la seule et unique dépêche de Fides sur le voyage du pape.
Commentaires
Par contre, la durabilité de la religion catholique ne sera plus assurée.
Par contre, ce qui est bien durable aussi, c'est son "jugement qui n'est pas oisif et sa perdition qui ne sommeille pas", comme lui dirait celui dont il est le successeur : Saint Pierre. Bis repetita...
C'est la religion de l'écologie que porte l'hôte de la maison Sainte Marthe.
Un adepte du réchauffisme, sans intérêt. On nous passe et nous repasse des plats réchauffés.
Tout ce fatras idéologique est voué à disparaître dans le néant d'où il est sorti.
C'est du même tonneau que Laudato Si. "Cordonnier, pas plus haut que la chaussure !" Cette répartie sublime du peintre Apelle, on devrait la graver au fer rouge sur le gros derrière de ce pontifiant imbécile. Les migrants ? Pas son affaire. Le climat ? Rien à faire avec la foi catholique. Le tri sélectif des ordures ? Aucun rapport. Quant au bien des familles... Si l'Eglise adoptait le point de vue des enfants, comme le recommande Notre Seigneur, elle serait peut-être un peu plus stricte sur l'annulation des mariages, et sur le baptême des pauvres gosses qui ont "deux mamans" ou "deux papas". Ras le bol de ce loup taré, sinon tiaré.
et "catholiquement durable", le sera t'elle ???
j'espère que quelques argentins voisins viendront lui constituer un comité d'accueil, par exemple, les familles des deux prêtres disparus et décédés, Orlando YORIO, Francisco JALICS, et celles des bébés des opposants politiques à la dictature, kidnappés et dont cet expert en cachotteries, voire en mensonges, "n'avait jamais entendu parler, et n'avait pas de traces dans ses archives". Histoire de lui rafraichir la mémoire.