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Dimanche dans l’octave de la Nativité

Il est rarissime d’entendre chantée la messe de l’aurore (la deuxième messe de Noël). Voici une petite session de rattrapage : l’antienne d’offertoire et l’alléluia de cette messe du dimanche dans l’octave sont repris de la messe de l’aurore. Les voici. On constate que ces deux pièces chantent la fermeté, la solidité, l’assise inébranlable du trône de Dieu, de son royaume, de sa création. Le fragile petit bébé qui vient de naître nu et pauvre sur notre terre est le Dieu créateur qui règne dans l’éternité.

Allelúia, allelúia. Dóminus regnávit, decórem índuit : índuit Dóminus fortitúdinem, et præcínxit se virtúte. Allelúia.

Allelúia, allelúia. Le Seigneur règne et a été revêtu de gloire ; le Seigneur a été revêtu et s’est ceint de force. Alléluia.

Deus firmávit orbem terræ, qui non commovébitur : paráta sedes tua, Deus, ex tunc, a sǽculo tu es.

Dieu a affermi le globe de la terre qui ne sera point ébranlé : votre trône, ô Dieu, est établi depuis longtemps ; vous êtes de toute éternité.

Pour l'introït "Dum silentium" voir ici.

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