Selon une étude publiée par l’association American Life League, 32 avortoirs du Planning familial américain ont fermé leurs portes cette année.
Il n’y avait déjà plus d’avortoir du Planning familial dans le Dakota du Nord, désormais il n’y en a plus non plus dans le Wyoming. Et il en reste un seul à Washington, dans le Mississippi, le Rhode Island, le Dakota du Sud et la Virginie Occidentale.
Il y en avait 938 en 1995, il n’y en a plus que 597.
Malheureusement le nombre d’avortements ne baisse pas dans les mêmes proportions.
Commentaires
Aux USA, les avortements ont baissé de 13 % entre 2008 et 2011, ensuite la baisse a été plus faible. Mais ils baissent. En France, ils augmentent, le gouvernement faisant tout pour cela.
Mais avec l'avortement par RU 486, les avortoirs sont moins fréquentés et s'ils ferment c'est qu'ils sont moins rentables. Tout se passe en "médecine de ville" et les femmes avortent chez elles. Si le recrutement des "charcuteurs" est de plus en plus difficile (l'avorteur voit ce qu'il fait), il n'y a pas de problème pour trouver un médecin prescripteur de la pilule qui tue (le bébé et quelques fois la femme). Seuls les délais plus courts obligent certaines femmes à faire appel à l'avortement chirurgical. C'est ce que veulent les promoteurs de l'avortement, le rendre moins "visible" et donc pensent-ils plus "anodin" et plus "acceptable". Grâce aux efforts des associations pro-vie, il y a de moins en moins de crétins à prétendre que le bébé à naître est un paquet de cellules et l'avortement chirurgical est plus violent que l'avortement chimique. Le stérilet remportant la palme de l'avortement "discret". On se dirige donc vers l'optimum souhaité par les avorteurs: seule la femme portera le poids de ce crime. Plus besoin de cellules "psychologiques" pour remonter le moral des "avortueurs".