C’est semble-t-il Radio Spada, sur sa page Facebook, qui a évoqué la chose le premier, le 30 novembre. Cela a été repris par Marco Tosatti le 1er décembre, puis par des sites anglophones, puis par le Forum catholique où je l’ai découvert : François a élevé officiellement l’interprétation hérétique (et obvie) d’Amoris laetitia au rang de « magistère authentique » (Magisterium authenticum).
Cela ne change rien puisqu’on savait que c’était bien ce que disait le pape, mais désormais les papolâtres qui par d’indignes contorsions essayaient de prouver que le pire d’Amoris laetitia est dans la droite ligne de la tradition peuvent faire des confettis avec leurs longues démonstrations.
Ils affirmaient notamment que la lettre par laquelle François félicitait les évêques de la région de Buenos Aires était une lettre privée qui n’avait pas de valeur magistérielle. Or c’est précisément cette lettre, et le document des évêques de la région de Buenos Aires (indiquant que dans certains cas les adultères peuvent communier), qui sont promus au rang de « magistère authentique » par « le Souverain Pontife », la lettre étant désormais qualifiée de « lettre apostolique».
La note du cardinal Parolin est datée du 5 juin 2017. Elle est publiée avec les deux documents dans les Acta Apostolicae Sedis d’octobre 2017. Il est curieux que personne ne s’en soit rendu compte avant. Sauf si, comme le disent certains, ce volume vient de paraître. Mais sur le site du Vatican on trouve aussi les deux suivants (qui auraient été mis en ligne en même temps ?).
Peu importe. Ce qui compte est que l’enseignement de François sur les adultères, qui contredit toute la tradition catholique, et particulièrement l’enseignement de saint Jean-Paul II, est censé être considéré comme le « magistère authentique ».
Non possumus.
(...)
(...)
Commentaires
CQFD, si cela était encore nécessaire... Et merci à vous, cher M.Daoudal, de nous avoir tenu informés dès le début des dangers de ce pontificat.
Maintenant nous savons que ce qui est dans les murs du Vatican est l'église conciliaire et n'est plus l'Église catholique. Bas les masques et merci au pape François d'avoir été on ne peut plus clair aujourd’hui.
Parler "d'église conciliaire" n'a aucun sens. Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul II et Benoît XVI ont parfaitement défendu l'enseignement du Christ sur cette question. Seul François est hérétique.
Autre révélation (sur le site Benoît et moi) : le livre qui a inspiré "Il Papa dittatore" (de Marcantonio Colonna ; le titre anglais sera “The Dictator Pope”) est inspiré d’un autre livre, « El Verdadero Francisco », d'Omar Bello (journaliste argentin, auteur de la biographie la plus controversée du pape François, disparu en mars 2015),
Ce livre introuvable est publié en version PDF (version originale) sur http://benoit-et-moi.fr/2017/actualite/le-livre-qui-a-inspire-il-papa-dittatore.html
Table des matières de "Il Papa dittatore" http://benoit-et-moi.fr/2017/actualite/un-livre-sur-franois.html
1. La Mafia de Saint Gall
2. Le Cardinal venu d'Argentine
3. Réforme? Quelles réformes
4. Ouvrir une nouvelle voie (ambiguë)
5. Miséricorde! Miséricorde!
6. Kremlin Sainte Marthe
Le pape est hérétique, c’est officiel !
"On attendait un signe à l’occasion de l’alignement planétaire du 23 septembre 2017 ( https://www.youtube.com/watch?v=xIy6qP0SmL4 ) reproduisant la Femme dans le ciel décrite par l’Apocalypse, la lune sous ses pieds et couronnée de 12 étoiles. Le Ciel a tenu ses promesses : dès le lendemain eu lieu l’événement annoncé par ce signe : la divulgation publique d’une Correctio Filialis signée par 62 clercs, universitaires et laïcs catholiques, dont Mgr Bernard Fellay supérieur général de la Fraternité saint Pie X, déclarant le pape François hérétique sur 7 points dans son exhortation apostolique Amoris Laetitia.
Le document original est daté du 16 juillet 2017, remis au pape le 11 août, et en l’absence de réponse du Vatican, rendu public le dimanche 24 septembre en la fête de Notre-Dame de la Merci.
Les connaisseurs noteront au passage que les trois dates correspondent à des apparitions ou des fêtes de Notre-Dame : Notre-Dame du Mont Carmel le 16 juillet, apparition de Marie à Cotignac le 11 août,
Or cette Correctio Filialis, nous allons le voir, est un document capital dans la lutte entre la Vierge et la Bête qui a pris le contrôle du Vatican. Le point de départ véritable de la chute de la bête. Elle est triplement signée par la Sainte Vierge, car le moment est venu pour elle d’écraser la tête de Satan. Elle le fait avec des armes divines."
https://legrandreveil.wordpress.com/2017/10/11/le-pape-est-heretique-cest-officiel/
Alors, entrons dans "l'arche de Marie" afin de nous sauver, accompagnés par l'apôtre des derniers temps Saint Louis-Marie Grignion de Montfort
Je ne comprends véritablement pas sur quels arguments sérieux il est possible de contredire l'Evangile et, toutes proportions gardées, Familiaris Consortio par exemple (relire le §84!).
La note de bas de page d'Amortis Laetitia n'a pas convaincu personne... Et, en l'occurence l'argument d'autorité n'est pas valable, comme tout le monde devrait le savoir.
Bergoglio le mauvais nous administre l'ultime preuve de l'existence de Dieu, sûrement la plus convaincante à très court terme : la preuve par le mal.
PIE XIII ?
Pierre II ?
Et bien voilà une réponse de jésuite dévoyé aux dubia. Le patron des jésuites dévoyés est Judas qu'il faudra bien sûr canoniser avant, peut être en même temps que Luther.
De Thibaud :
"Pierre II ?"
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Ne commettez pas cet impair ecclésiologique.
"Pierre" n'a jamais été pris et ne sera jamais pris comme prénom par un Pape. Pour la simple raison qu'ils sont tous, collectivement comme individuellement, "Pierre". Il y aurait un pléonasme ontologique à ce que l'un d'eux prenne jamais ce prénom puisqu'il EST déjà Pierre, du seul fait de son acquiescement à son élection.
C'est pourquoi aucun Pape en 2000 ans n'a fait, ni ne fera cette folie ecclésiologique jusqu'à la fin du monde. C'est comme si un homme avait la folie de se choisir "homme" comme prénom.
Quant à la soi-disant "prophétie de Malachie", le dernier nom qu"on y voit __ "Pierre le Romain" __ est en fait une catégorie vide : car tout Pape est "Pierre le Romain" en tant qu'évêque de Rome. Cette prophétie est de toute façon désormais prise en défaut si "Pax Olivae" est bien Benoît XVI, puisque son successeur n'a pas pris follement le prénom "Pierre", mais a choisi celui de François.
Paul VI, suprêmement intelligent, notamment en matière ecclésiologique, a parfaitement illustré ce que je disais plus haut lorsqu'il est allé à Genève jeter crânement à la figure du Conseil œcuménique des Églises dominé par les protestants et les orthodoxes, le 10 juin 1969. Le premier mot qu'il leur dit a été :
"JE M'APPELLE PAUL ET MON NOM EST PIERRE". Pour remettre tous ces orgueilleux à leur juste place, eux qui se croyaient à parité avec l'Eglise catholique.
Quand on est donc déjà ipso facto "Pierre", on ne se nomme pas absurdement deux fois "Pierre".
Bien comprendre cette ecclésiologie de base. Aucun Pape ne s'y est trompé ni ne s'y trompera jamais.
Dranem. Il faut quand même reconnaître qu'on l'a échappé belle !!!
Bergoglio a largement prouvé son caractère instable et sa capacité de nuisance. Ce cinglé ( n'a-t-il pas dit lui-même qu'il a consulté un psychiatre ?) aurait pu prendre le nom de Pierre, car j'opine qu'il est incapable de raisonner de manière aussi fine et pertinente que vous.
Ce satané pape a fait son coming-out hérétique.
D'Oléandre :
"Bergoglio a largement prouvé son caractère instable et sa capacité de nuisance. Ce cinglé ( n'a-t-il pas dit lui-même qu'il a consulté un psychiatre ?) aurait pu prendre le nom de Pierre, car j'opine qu'il est incapable de raisonner de manière aussi fine et pertinente que vous."
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Je n'argumentais pas "de manière fine et pertinente" (à titre personnel), mais j'exposais un point d'ecclésiologie bien classique, toujours évident dès lors qu'on a le "sens de l'Eglise", mais qui est largement ignoré si ce sens fait défaut, et c'est le cas dans le grand public "chrétien". En effet, que de chrétiens nominaux, ayant juste la foi du charbonnier, ou juste "chrétiens" par tradition familiale ou culturelle, dépourvus même d'une théologie minimale, fantasment un peu partout sur un Pape qui déciderait de se faire appeler Pierre.
Quant à François Ier, eh bien il a visiblement eu le sens, peut-être instinctif, d'éviter (au moins) cet impair.
On a beau le critiquer, "voir en lui le démon", il n'empêche : il a été canoniquement élu et sera toujours dans la liste des Papes de Rome. Aux yeux juridiques de l'Eglise, ce n'est ni un antipape ni un faux pape.
Là vous vous engagez de façon téméraire sur le jugement futur de l'Eglise. Même des saints s'y sont trompés à certaines époques.
Vous ne pouvez faire que François Ier ait été mal élu canoniquement.
Il a été juridiquement impeccablement élu. L'Eglise gardera toujours Alexandre VI et Jean XII dans la liste de ses Papes. Et même les Papes qui ont eu un flottement doctrinal (par mauvaise information ou autre), Libère, Honorius Ier ..., seront toujours dans la liste des Papes. François Ier aussi.
Ce n'est pas ce qui ressort des vantardises de la mafia de Saint-Gall.
L'ami de saint Vincent Ferrier, Pedro de Luna, Benoît XIII, a été défini comme antipape.
Pour qu'il ait été "juridiquement impeccablement élu", comme vous le dites, il faudrait déjà qu'on soit sûrs que la renonciation de Benoit XVI n'a pas été contrainte. Or il y a de fortes présomptions qu'elle l'a été.
Avec cette publication dans les Acta Sedis Apostolicae est créée une situation ubuesque : un document pontifical qui n’a en lui-même aucune prétention magistérielle et qui se déclare ouvert à plusieurs interprétations (AL §3 : « je voudrais réaffirmer que tous les débats doctrinaux, moraux ou pastoraux ne doivent pas être tranchés par des interventions magistérielles. Bien entendu, dans l’Église une unité de doctrine et de praxis est nécessaire, mais cela n’empêche pas que subsistent différentes interprétations de certains aspects de la doctrine ou certaines conclusions qui en dérivent »), un an plus tard, ne peut plus être interprété que d’une seule manière en vertu d’une lettre qualifiée de « magistère authentique ».
Il n'y a pas de "Pape" Benoît XIII de Luna. A preuve, le nom a été repris par le seul Benoît XIII qui soit ; le Pape Orsini (1724-1730)
Je vous prie de ne pas pêcher en eau trouble. Ou plutôt, de ne pas noyer le poisson dans l'eau trouble du Grand Schisme.
Le soi-disant "Benoît XIII" de Luna avait été élu par un conclave partiel, non universel, composé de quelques cardinaux d'Avignon.
François Ier, lui, a été élu par un conclave au complet, composé de tous les cardinaux de l'Eglise universelle. C'est un Pape canonique et légitime, qu'il plaise ou non. Tous les évêques et prêtres catholiques sont dans sa communion, et il est reconnu comme tel par toutes les Eglises orthodoxes comme par le monde entier.
Rien ne forçait Benoît XVI à démissionner. C'est d'ailleurs à lui que vous devez l'élection régulière de François Ier..
"Saint-Gall"... Et alors ? Je vous rappelle que c'était aussi un "conciliabule", un "complot", entre Mgr Consalvi, secrétaire du conclave, le cardinal di Pietro, le cardinal Albani et le cardinal Maury, qui fit blocage au cardinal Bellisomi et permit ainsi l'élection du Pape VII, Vénérable Serviteur de Dieu.
Pie VII a-t-il eu une élection douteuse de ce fait ? Non.
Alors François Ier non plus.
Pourquoi ? Parce que, dans un cas comme dans l'autre, les cardinaux ont LIBREMENT mis leur bulletin secret dans l'urne, là où rien ne peut forcer la main d'un cardinal à mettre un nom qu'il ne veut pas.
Point.
Rectificatif de saisie :
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"Saint-Gall"... Et alors ? Je vous rappelle que c'était aussi un "conciliabule", un "complot", entre Mgr Consalvi, secrétaire du conclave, le cardinal di Pietro, le cardinal Albani et le cardinal Maury, qui fit blocage au cardinal Bellisomi et permit ainsi l'élection du Pape PIE VII, Vénérable Serviteur de Dieu.
Pie VII a-t-il eu une élection douteuse de ce fait ? Non.
Alors François Ier non plus.
Dranem. Il me semble que le règlement relatif à l'élection papale établi par Benoît XVI interdit formellement la réunion de Cardinaux en vue d'influencer d'une manière ou d'une autre le vote de leurs collègues en faveur du candidat de leur choix et ce, sous peine de nullité de l'élection et d'excommunication des comploteurs ( ce qui n'interdit pas l'échange d'opinions des Cardinaux entre eux dans leurs discussions privées )
Or, le Cardinal Danneels a eu le culot et l'outrecuidance d'affirmer que le "Groupe de Saint Gall" est à l'origine de l'élection de Bergoglio, avouant ainsi qu'ils avaient violé le règlement de B.XVI, encourant de ce fait l'excommunication automatique attachée à cette violation. Et cela n'empêche pas ces méprisables individus de se vanter publiquement de leur forfait, sachant que celui qu'ils ont fait pape ne les inquiétera jamais, et pour cause...
Alors je pose la question : n'y a-t-il pas là une base juridique sérieuse pour remettre en cause l'élection de Bergoglio ?
Benoît XVI n'a jamais mis en doute l'élection de son successeur.
Tout s'est passé sous le contrôle des protonotaires apostoliques.
Les cardinaux des "dubia" n'ont jamais mis en cause la légitimité de François Ier.
Si le pape est hérétique, donc exclu de la communion de l'Eglise (et il l'était vraisemblablement avant d'accéder à la papauté), on peut donc considérer que bien qu'ayant été "canoniquement élu" (ou non, cette dernière version ayant ma faveur personnelle pour les raisons évoquées ci-dessus), il n'est PAS le chef de l'Eglise.
Clairement, il y a eu une pression sur les votes à venir à l'époque du Conclave, qui viole directement la Constitution Apostolique Universi Dominici Gregis du Pape Jean-Paul II, qui établit les règles pour la conduite des Conclaves. Il y est clair que le démarchage de vote des Cardinaux électeurs est strictement interdit, et que ceci rend l'élection « nulle et non avenue » selon les passages clés qui sont les suivants » :
81. En outre, que les Cardinaux électeurs s'abstiennent de toute espèce de pactes, d'accords, de promesses ou d'autres engagements de quelque ordre que ce soit, qui pourraient les contraindre à donner ou à refuser leur vote à un ou à plusieurs candidats. Si ces choses se produisaient de fait, même sous serment, je décrète qu'un tel engagement est nul et non avenu, et que personne n'est obligé de le tenir ; et dès à présent, je frappe d'excommunication latæ sententiæ les transgresseurs de cette interdiction....
82. Pareillement, j'interdis aux Cardinaux d'établir des accords avant l'élection, ou bien de prendre, par une entente commune, des engagements qu'ils s'obligeraient à respecter dans le cas où l'un d'eux accéderait au Pontificat. Si de telles promesses se réalisaient en fait, même par un serment, je les déclare également nulles et non avenues.
76. Si l'élection était faite d'une manière différente de ce qui est prescrit dans la présente Constitution ou que les conditions fixées ici n'aient pas été observées, l'élection est par le fait même nulle et non avenue, sans qu'il y ait besoin d'aucune déclaration à ce sujet, et, donc, elle ne donne aucun droit à la personne élue.. Universi Dominici Gregis (22 février 1996) | Jean Paul II
Il reste donc à ériger un tribunal d'inquisition pour mettre le pape à la question, ainsi que ses collaborateurs, par la même occasion.
Joseph Ier ? Pourquoi aucun pape n'a-t-il jamais choisi le nom du saint patron de l'Eglise ? C'est pour moi un mystère. Un tel patronage (St Joseph est l'homme du Silence et de la dévotion mariale) conviendrait au cardinal Sarah, lui qui a si bien écrit sur "La force du silence".
La tradition voulait qu'un Pape choisît le nom d'un prédécesseur qu'il admirait. Ce n'est pas parce que Bergoglio l'innommable n'admire personne qu'il faudrait que ses successeurs l'imitent en allant chercher de nouveaux noms parmi les innombrables saints du calendrier. Encore si le damné gugusse de Sainte-Marthe était allé réveiller quelque grand saint oublié ou à haute valeur symbolique (Herménégilde ?), mais saint François... Pourquoi pas saint Joseph, pendant que vous y êtes ?
Dranem 13:30 vendredi. Le Danneels a révélé son forfait bien après l'élection de Bergoglio. Donc les contrôles censés garantir la régularité de son élection ne pouvaient pas détecter les irrégularités devenues manifestes uniquement par suite de la vantardise du Danneels.
Que Benoît XVI ne conteste pas cette élection, cela peut se comprendre facilement par son désir d'épargner à l'Église un chambardement calamiteux, car on peut être plus que certain que Bergoglio-le-Fourbe s'accrochera à son siège, quelle qu'en soit les conséquences !
"Sainte - Marthe et son réfugié ou son immigrant": titre
d' un drame comique.
Sainte Marthe et son occupant illégal, le trône de Saint Pierre et son passager clandestin.
On comprend mieux cette obsession pour l'accueil des « migrants ».
A quand la remigration vers le pays d'origine ?
De Horacio :
Si le pape est hérétique, donc exclu de la communion de l'Eglise (et il l'était vraisemblablement avant d'accéder à la papauté), on peut donc considérer que bien qu'ayant été "canoniquement élu" (ou non, cette dernière version ayant ma faveur personnelle pour les raisons évoquées ci-dessus), il n'est PAS le chef de l'Eglise
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Il ne vous appartient pas de le décider. Même pas à l'Eglise. Personne ne peut juger le Pape. Accommodez-vous-en. L'Eglise s'est accommodée d'un Jean XII et c'est un Pape inamovible de la liste canonique. Qu'auriez-vous dit de son élection valide et légitime, accomplie sous le régime ordinaire de la Pornocratie ?
D'Oléandre :
Dranem 13:30 vendredi. Le Danneels a révélé son forfait bien après l'élection de Bergoglio.
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Justement.
APRÈS.
C'était trop tard. L'élection était terminée, et rien sur la terre ne peut plus rien y changer à son caractère juridique.
Je ne comprends vraiment pas votre argument, car le seul fait qu'il y ait eu concertation illicite sanctionnée par une excommunication automatique, rend IPSO FACTO cette élection nulle et non avenue !
Que ce forfait ait été révélé après, ne rend pas pour autant cette élection valide.
"A leurs fruits , vous les reconnaitrez"
Oléandre,
La démonstration est imparable.
« Cette excommunication automatique rend IPSO FACTO cette élection nulle et non avenue ».
Mes intentions au pape vont toujours à Benoît XVI, seul pape légitime.
La position catholique me semble être que François est le pape tant que l'Eglise n'en a pas décidé autrement.
D'Oléandre :
Je ne comprends vraiment pas votre argument, car le seul fait qu'il y ait eu concertation illicite sanctionnée par une excommunication automatique, rend IPSO FACTO cette élection nulle et non avenue !
Que ce forfait ait été révélé après, ne rend pas pour autant cette élection valide.
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Et pourtant, comme vous l'avez constaté, jamais le collège cardinalice n'est revenu là-dessus, ni les juristes et canonistes chevronnés de l'Eglise.
Tous les évêques et tous les prêtres catholiques, sous toutes les longitudes et latitudes du globe, nomment François Ier dans les diptyques de chaque messe quotidienne, sous peine d'invalidité et de nullité sacramentelles de l'Eucharistie et d'excommunication latae sentenciae.
Accommodez-vous-en.
Jean XII et Alexandre VI étaient dans les diptyques de toutes les messes de la terre sous leur pontificat. C'est fini : c'est ACQUIS. Aucun pouvoir sur la terre ne peut dirimer François Ier.
Parfois Dieu utilise même les "complots" des hommes... Allez savoir les plans insondables de la Providence divine.
C'est un sujet d'une remarquable complexité.
Il y a eu un colloque scientifique d'universitaires et de chercheurs sur la "déposition" du pape (Lieux théologiques - Modèles canoniques - Enjeux constitutionnels - du 30 au 31 mars 2017 https://univ-droit.fr/actualites-de-la-recherche/manifestations/22670-la-deposition-du-pape)
Il faudrait savoir ce qu'ils ont dit à ce sujet.
Les Actes d'un Colloque sont généralement publiés environ 10 mois après le colloque.
De Mélusine :
"Mes intentions au pape vont toujours à Benoît XVI, seul pape légitime."
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Non, vous ne pouvez.
Benoît XVI n'est plus le Pape : il a renoncé au Saint-Siège. C'est terminé. Un conclave s'est réuni dans les formes canoniques.
Mais vous pouvez prier pour Benoît XVI comme pour tout homme. Pas comme Chef de l'Eglise, qu'il ne gouverne plus. Il n'est plus nommé par aucun évêque, par aucun prêtre dans les diptyques de la messe. Cela signifie qu'il n'est plus le Pape pas plus que n'importe quel catholique lambda.
Il poursuit certes un chemin spirituel autre, mais pas comme Souverain Pontife.
Eh bien, pendant la Messe, après la Transsubstantiation, quand le prêtre annonce qu'il prie pour le pape François, moi dans ma tête je remplace par le pape Benoît, et personne ne pourra m'en empêcher.
De Yves Daoudal :
"La position catholique me semble être que François est le pape tant que l'Eglise n'en a pas décidé autrement."
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Ce que vous dites est faux.
Vous flirtez dangereusement avec l'hérésie patente : le conciliarisme. Il a été solennellement condamné par les constitutions dogmatiques des deux Conciles Vatican I et II. Nul sur la Terre ne juge le Pontife romain régulièrement élu, avec l'aveu du corps cardinalice et du corps épiscopal.
"Prima sedes non judicabitur a quoquam."
Malheur à un conciliabule qui aurait l'audace de se convoquer tout seul dans ce but, cassé et anéanti avant même de proférer un mot.
Aucun inférieur ne peut juger un supérieur. Et si au-dessus du supérieur il n'y a personne sur la Terre, nul ne peut juger le supérieur.
J'aimerais que vous commentiez ce que j'écris et non ce que vous inventez. Je n'ai pas parlé de concile et je n'ai pas pensé une fraction de seconde à un éventuel concile. Je pense seulement à l'Eglise, à savoir le pape chef de l'Eglise, le pape représentant l'Eglise, le pape et l'Eglise.
Et ces derniers jours je m'amusais à penser à un Dranem qui dans quelques décennies affirmerait de façon tout aussi péremptoire le contraire de ce qu'il affirme aujourd'hui, à savoir qu'il n'y a jamais eu de pape François, comme vient de le définir le pape régnant:
1- La renonciation de Benoît XVI était nulle parce que
- faite sous la contrainte,
- officialisée par une phrase latine comportant une faute qui la rendait incompréhensible.
2- L'élection de "François" était nulle parce que résultant d'un complot, en contradiction directe avec le texte régissant l'élection du souverain pontife.
Je ne vois pas ce qui empêcherait (éventuellement) un pape de définir cela.
Il est amusant de voir que la désacralisation de l'autorité qui caractérise notre époque (où des poufs du showbiz promotion canapé peuvent appeler impunément à l'assassinat de Donald Trump) et qui n'a certes pas épargné un pontife modéré et digne comme l'était Benoit XVI, il est amusant que cette désacralisation fasse tout à coup pousser des cris d'orfraie à certains, alors qu'elle touche un homme qui en fait un usage inique.
Si saint Paul, inspiré par l'Esprit Saint, a jugé bon d'écrire son Epître aux Galates, c'est pour nous, qui subissons le joug d'un imposteur indigne :
"Eh bien! si nous-même, si un ange venu du ciel venait vous annoncer un évangile différent de celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème!"
Dans le Nouveau Testament, l'anathème devient une sentence de malédiction à l'égard d'une doctrine ou d'une personne, spécialement dans le cadre d'une hérésie. L'anathème est alors retranché de la communauté des fidèles.
(...)
Chez les catholiques et les orthodoxes, l'anathème se traduit par l'excommunication dite « majeure », c'est-à-dire avec plus de force et de cérémonie que les autres types d'excommunication. Cependant les excommunications pour les faits les plus graves sont automatiques, dites latæ sententiæ.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Anath%C3%A8me
Celui qui prêche un évangile différent de celui des apôtres est donc anathème.
Celui qui s'exprime dans cette vidéo est bien exclu de la communion de l'Église
https://youtu.be/SPUf86lFkcA
Noroît :
"Eh bien, pendant la Messe, après la Transsubstantiation, quand le prêtre annonce qu'il prie pour le pape François, moi dans ma tête je remplace par le pape Benoît, et personne ne pourra m'en empêcher."
_______________________________________
Non, personne ne pourra vous en empêcher car c'est du for interne. Mais au for externe, vous êtes en rupture avec la prière publique de l'Eglise. Benoît XVI n'est plus Pape. C'est comme si vous priiez pour vos voisins, ou tel passant dans la rue, ce qui est aussi une bonne chose.
Yves Daoudal :
"1- La renonciation de Benoît XVI était nulle parce que
- faite sous la contrainte,
- officialisée par une phrase latine comportant une faute qui la rendait incompréhensible.
2- L'élection de "François" était nulle parce que résultant d'un complot, en contradiction directe avec le texte régissant l'élection du souverain pontife.
Je ne vois pas ce qui empêcherait (éventuellement) un pape de définir cela."
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1 - Contrainte sous quelle menaces ? Aucune menace ne devait, ni ne pouvait, forcer le Pape à démissionner s'il ne l'avait pas lui-même voulu, et programmer délibérément de fort longue date (au moins depuis mars 2012, comme on l'a su par l'entourage par la suite). Menaces de mort ?... Et alors, Benoît craignait de mourir martyr ? Sûrement pas. Votre assertion gratuite n'est donc d'aucune valeur. RIEN ne pouvait forcer Benoît XVI à démissionner. Si menaces, il aurait dû résister jusqu'à l'effusion de sang. Cela dit, ce point est clos.
2 - "Une phrase latine comportant une faute qui la rendait incompréhensible"
Seriez-vous à ce point pharisien, attachant une obsessionnelle importance à la lettre au détriment de l'esprit, et surtout de l'intention de celui qui agit ? Ne faites pas comme les juifs ou les musulmans, puristes et matériels. C'est l'intention de Benoît XVI qui compte. A-t-il jamais attaché la moindre importance à ce point que vous soulevez ? Et a-t-il dit que sa renonciation était nulle de ce fait ? Non. Il pouvait aussi dire en italien ou en allemand, s'il l'avait voulu, devant la cardinaux : "Je ne suis plus Pape à partir de tel jour", sans rien prononcer en latin, que sa démission aurait été tout autant et tout aussi effective et accomplie,
3 - Le "complot". Nul dans l'Eglise, ni évêques ni cardinaux, ne retient ce point. François Ier est dans le canon de toutes les messes, et nécessairement dans les messes dites par les cardinaux Burke et Sarah, au risque de nullité et d'excommunication.
4 - Aucun Pape succédant canoniquement ne dira que son prédécesseur n'était pas Pape canonique, et que l'Eglise était sans Pape durant ses années et que le conclave qui l'avait élu était nul. Revenez à la raison et à la réalité.
Il n'y aura jamais de Concile Cadavérique contre François Ier comme ce fut le cas contre le Pape Formose Ier. Et malgré le Concile Cadavérique, Formose reste Pape canonique, tout comme son détracteur Etienne VI, lui-même déposé de ce fait, et tous les deux réhabilités par la suite dans la liste canonique des Papes.
Rien ne fera jamais de François Ier un faux Pape. Pape reprochable peut-être, mais Pape.
Comme il est attesté que des âmes consacrées, y compris des prêtres, peuvent se damner.
D'où l'insistance de François 1er et du « pape noir » à affirmer que l'enfer - si tant est qu'il existe - est vide.
« Nous avons créé des figures symboliques, comme le Diable, pour exprimer le mal. » Ainsi s’exprime le nouveau général des Jésuites, le Père Arturo Sosa,
http://www.famillechretienne.fr/eglise/pape-et-vatican/le-diable-une-figure-symbolique-ma-reponse-au-pape-noir
"Prima Sedes a nemina judicatur".
"Prima Sedes a nemine judicatur".
Contre la pornographie au lycée !
Les élèves de 1ère sont invités à étudier le livre Corniche Kennedy, de Maylis de Kerangal.
Sans mettre en cause l'intérêt littéraire du mode d'écriture (quoique), ce récit s'appuie au fil des pages sur des scènes où l'érotisme déborde, la vulgarité la plus complète s'exprime, la pornographie y est détaillée par le menu.
Pour obtenir le retrait de ce livre, si vous êtes conscient comme moi que l'on ne peut plus laisser passer,
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https://www.change.org/p/jm-blanquer-retrait-imm%C3%A9diat-de-corniche-kennedy-la-pornographie-au-lyc%C3%A9e-sous-couverture-de-l-en