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En Californie

L’archidiocèse de San Francisco a pris des dispositions pour « conseiller » un diacre ouvertement « gay » et réglementer ses activités « publiques ». Il y a longtemps que ce diacre est ouvertement homosexualiste, par ses articles dans le magazine LGBT local qui est aussi le plus ancien et le plus connu des Etats-Unis (Bay Area Reporter), par sa participation à la gay pride, et par son activité pastorale. Ainsi, en mai dernier, était-il l’animateur d’un « atelier » intitulé « Les dons des LGBTQ pour l’Eglise institutionnelle », au « Centre de vie spirituelle ignacienne » de la paroisse Sainte-Agnès de Haight-Ashbury. Dernière phrase de sa présentation : « Il est fier d’être un catholique gay et ne voit pas de contradictions dans cette identité, seulement des opportunités pour que le Saint-Esprit l’aide à devenir une personne plus aimante, plus compatissante, et plus sainte. » L’archidiocèse a donc décidé que toutes ses activités publiques devaient désormais être soumises à autorisation. Mais pour ses articles dans Bay Area Reporter, on ne peut rien, parce qu’il ne les signe pas en tant que diacre de l’Eglise catholique…

L’école San Dominico de San Anselmo n’est plus catholique. Ainsi en ont décidé les… religieuses qui l’administrent, les Sœurs Dominicaines de Saint Raphaël. Elles avaient déjà défrayé la chronique l’été dernier en retirant la majorité des statues ornant le campus, au motif que c’était « perturbant » pour les personnes d’autres religions que de tomber sur une statue de saint François ou saint Dominique en arrivant à l’école. Désormais, l’école n’est plus catholique et ne dépend donc plus de l’archidiocèse, et elle va pouvoir plus que jamais délivrer un enseignement « inclusif ». Voici ces religieuses, qui se disent toujours dominicaines… (A priori on a l’impression d’autre chose… et c’est la bonne nouvelle…)

Screenshot-2017-11-17 Who We Are Dominican Sisters of San Rafael.png

Commentaires

  • intéressant, l'Eglise de François, c'est bien une assemblée de gérontes frustrés de ne pas avoir eu leur petite révolution dans les années 60 et qui prennent leur revanche avant le saut final dans l'infini.

    On a un autre exemple avec ce bel article de "Benoît et moi" http://benoit-et-moi.fr/2017/actualite/reviens-vladimir-ilitch-ils-sont-devenus-fous.html où est identifée la garde rapprochée de François : un gouvernement de gérontes pour une Eglise en train de disparaître...

  • "Eglise de François": appellation inepte. En outre déjà sous les pontificats antérieurs des religieuses s' habillaient comme des femmes laiques.

  • Eh oui, mais comme nous tous, elles ont vieilli...

  • Oui, aucune vocation nouvelle chez ces "religieuses" là. Leur vieillesse ne s'est pas accompagnée de sagesse pour évacuer leurs idées tordues dans leur cervelle. Hérétiques et scandaleuses elles sont contentes et fières de l'être.
    C'est sûrement pour ne pas les "vexer" que Bergoglio a liquidé les Franciscaines de l'Immaculée qui , elles, avaient pléthore de vocations.
    "Invidia medicorum mala, clericorum pessima"

  • ce n'est pas spécial à ces anciennes dominicaines
    croyez-vous que nos curés soixante-huitards aient un amour fou pour les jeunes prêtres d'aujourd'hui ?

  • Je ne voudrais pas avoir l'air d'"en" voir partout, mais on dirait tout à fait une maison de retraite californienne pour vieilles gouines. Et, si je puis me permettre, l'Eglise catholique est particulièrement menacée par des scandales de ce genre, tout simplement parce que la vocation au célibat peut naître aussi de l'incapacité au mariage. Cela n'a rien de choquant en soi, d'ailleurs, tant que les tendances, contre lesquelles on ne peut rien, sont freinées par le garde-fou de la doctrine et du catéchisme...

  • Je suis sûr que ces dominicaines pensent qu'elles agissent selon Vatican II. Quoi maintenant?

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