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Militant et artistique

La soi-disant artiste Déborah de Robertis, qui avait posé cuisses écartées et sexe apparent devant la Joconde au Louvre le 24 septembre dernier en scandant « Mona Lisa, ma chatte, mon copyright », a été relaxée par le tribunal correctionnel de Paris, alors que le parquet avait demandé huit mois de prison avec sursis.

Les juges ont considéré qu’il s’agissait d’un « acte militant et artistique » et que l'on n'y trouvait « pas d'élément intentionnel » de commettre une exhibition sexuelle…

Commentaires

  • On trouve toujours des juges plus cinglés que les cinglés qu'ils jugent !

  • Etes-vous sûr qu'elle n'est pas très déçue, cette Deborah ?
    Une condamnation lui aurait permis un nouveau coup de pub, et de lancer des pétitions, des souscriptions, de passer pour un Mozart qu'on assassine, pour un Baudelaire qu'on désespère, etc. etc.
    Et voilà que ça fait flop. Personne ne s'intéresse à son c...

  • le phantasme des pornocrates, c'est de sortir de la "clandestinité" et d'œuvrer ouvertement sur la voie publique. Pour atteindre les mineurs en particulier ?

    Apparemment, l'Etat travaille lui-même activement à la diffusion de cette culture de type pornographique auprès des enfants par le biais de programmes scolaires obligatoires

    http://www.libertepolitique.com/Actualite/Decryptage/L-Etat-veut-il-promouvoir-la-pedophilie-des-l-ecole
    cf article du Professeur Henri Joyeux sur les programmes d’éducation sexuelle à l’école.

    L'horizon utopique du communisme, c'est une société pornographique. D'où les complaisances et complicités dans les médias et organismes à forte empreinte socialo-gauchiste-maçonnique pour ce type d'actions (on a également l'exemple de l'accueil fait aux femens dont l'une des représentants a réussi à représenter la Marianne sur un timbre poste, sous le quinquennat de François Hollande).

  • "le phantasme des pornocrates, c'est de sortir de la "clandestinité" et d'œuvrer ouvertement sur la voie publique. Pour atteindre les mineurs en particulier ?"
    Ce n'est pas un phantasme ; c'est une réalité. La pornographie sur internet, aux mains des juifs, est une ignominie. C'est l'étalage en libre service de toutes les perversions, à la portée de tous les regards. Quand on a des enfants, surtout si ce sont des garçons, on leur fait courir un très grand danger en les armant de portables connectés ou de tablettes, parfois dès l'école primaire. En classe de sixième, un pourcentage élevé de ces enfants ont déjà eu accès à des images qui sont, pour eux, et même pour des adultes, d'une violence traumatisante. Ils en parlent, y font venir leurs camarades, et il serait intéressant de savoir quel pourcentage de la population des 13-18 ans est accroc à la pornographie.
    Grâce à notre chère Najat, les manuels scolaires de collège mettent en garde les élèves... Contre Soral et Dieudonné, bien entendu, pas contre la pornographie...

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