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Artiste…

La prétendue « artiste » Déborah de Robertis a été arrêtée après sa dernière « performance » en date, au Louvre : elle s’est assise, jambes écartées, le sexe bien apparent, devant la Joconde, en scandant : « Mona Lisa, ma chatte, mon copyright ». Elle a passé deux jours en garde à vue et a été renvoyée devant le tribunal correctionnel où elle sera jugée le 18 octobre pour exhibition sexuelle et violences contre un gardien du musée.

« Le but n'était pas d'exhiber mon sexe, mais de reproduire une célèbre photo de Valie Export [« performeuse » autrichienne des années 1970]. Mon message est de questionner la place des femmes artistes dans l'histoire de l'art. C'est pour cela qu'il est nécessaire que je fasse mes performances dans des musées. »

Car ce n’est pas la première fois. En février elle avait été renvoyée devant le tribunal et avait été relaxée, la juge estimant que le fait d'apparaître partiellement dénudée n'était « pas constitutif d'une exhibition » et relevait plutôt de la « performance artistique ». Il devait s’agir de cette « performance » où elle s’était lascivement dénudée devant l’Olympia de Manet en disant « Je suis Olympia ». Elle avait déjà montré son sexe devant « l’origine du monde » de Courbet…

Si son message est de « questionner la place des femmes artistes dans l'histoire de l'art », on peut lui certifier d’ores et déjà que sa place à elle est totalement inexistante. Car s’il se trouve des juges pour considérer ces stupides provocations comme des « performances artistiques », les toiles de Léonard de Vinci seront toujours admirées dans les prochaines décennies et les prochains siècles, alors que Déborah de Robertis sera oubliée sitôt passée sa dernière « performance »…

Commentaires

  • C'est ce que soutient Ben Vautier : le premier artiste est celui qui a montré ses fesses en public. D'ailleurs, si Vinci était encore parmi nous, il aurait pu, avec l'aide de la charmante (oui, je sais : j'exagère) Déborah, nous proposer des études du sexe féminin un peu plus réalistes. Courbet avait de meilleures notions.

  • Comme pour les "Femen" tout cet exhibitionnisme porno est financé et préparé minutieusement pour attaquer la morale catholique et salir l'image de la femme. Cette détraquée , comme les féministes, est une ennemie des femmes encore plus qu'une ennemie des hommes. Satan sait où il doit porter ses efforts: contre la femme, fille, épouse, mère. Satan déteste la femme qui peut enfanter et coopérer ainsi au plan de Dieu. En salissant et décérébrant les femmes, il tente de détruire la famille et l'Eglise

  • a priori, on peut penser que cette "artiste" relève plus de la psychiatrie que de la justice; c'était ce que l'Inquisition espagnole pensait des sorcières, ce qui fait que l'Espagne est le seul pays européen où on ne brulait pas les sorcières, avec quelques exceptions du coté de la frontière française, sans doute par effet de contagion
    de toute façon, pour l'instant, l'affaire suit son cour normal; reste à savoir, pour s'indigner, ce que décideront ses nouveaux juges

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