La messe a un Alleluia propre, si l’on peut dire, puisqu’il mentionne le nom de saint François et que le texte paraît en effet le concerner en propre : « François, pauvre et humble, entre riche au ciel, où il est honoré par les chants des Anges. »
En fait, comme le remarque le cardinal Schuster, il « s’inspire d’une antienne antérieure, en l’honneur de saint Martin de Tours ». Plus exactement il est calqué sur un Alleluia de la messe de saint Martin qui n’est plus en usage. Le texte dit : « Ce Martin, pauvre et modique, entre riche au ciel, où il est honoré par les hymnes célestes. » Et la mélodie est identique.
Par le Choral Art Ensemble de Rochester, Minnesota :