Dans son Evangile, le Seigneur, notre Rédempteur, s’adresse à nous quelquefois par des paroles, et quelquefois par des actions; et c’est tantôt des choses différentes qu’il nous dit par ses paroles et par ses actions, tantôt la même chose. Vous avez, mes frères, entendu rapporter deux faits dans cet évangile : le figuier stérile et la femme courbée. Or ces deux faits mettaient en jeu la bonté miséricordieuse [de Dieu]. Le premier l’exprimait par une comparaison, le second la rendait sensible par une action. Mais le figuier stérile signifie la même chose que la femme courbée, le figuier épargné la même chose que la femme redressée. [Le maître de la vigne vint trois fois voir le figuier et n’y trouva aucun fruit; la femme redressée, elle, était courbée depuis dix-huit ans. Ces dix-huit ans représentent la même chose que les trois fois où l’on nous dit que le maître de la vigne est venu voir le figuier stérile.
Après avoir ainsi donné rapidement l’idée générale de ce texte, expliquons-en maintenant chaque point dans l’ordre de la lecture.
«Un homme avait un figuier planté dans sa vigne; il vint en chercher les fruits, et n’en trouva pas.»] Que signifie le figuier, sinon la nature humaine? Et que symbolise la femme courbée, sinon cette même nature? Celle-ci fut bien plantée comme le figuier, bien créée comme la femme, mais tombée dans le péché par sa propre volonté, elle n’a su conserver ni le fruit du travail [de son Maître], ni l’état de rectitude [de sa nature], puisqu’en se jetant de son propre mouvement dans le péché, elle a perdu l’état de rectitude, pour n’avoir pas voulu porter le fruit de l’obéissance. Créée à la ressemblance de Dieu, mais ne persistant pas dans sa dignité, elle n’a rien fait pour se conserver telle qu’elle avait été plantée ou créée.
C’est trois fois que le maître de la vigne vint au figuier, car il a sollicité le genre humain avant la Loi, sous la Loi et sous la grâce : en l’attendant, en l’avertissant et en le visitant.
[«Il dit alors à celui qui cultivait sa vigne : Voilà trois ans que je viens chercher les fruits de ce figuier, et je n’en trouve pas. »] Dieu est venu avant la Loi, parce qu’il a fait savoir à chacun, par la lumière de sa raison naturelle, qu’il doit traiter autrui comme un autre soi-même. Il est venu sous la Loi, du fait qu’il nous a enseignés par ses commandements. Il est venu après la Loi par sa grâce, puisqu’il nous a montré sa bonté en se rendant lui-même présent. Cependant, il se plaint de n’avoir pas trouvé de fruits en ces trois années, car il y a des hommes dépravés dont l’âme ne peut être corrigée par la loi insufflée en notre nature, ni instruite par les commandements, ni convertie par les miracles de son Incarnation.
Que figure le vigneron, sinon l’ordre des prélats, qui sont préposés à la conduite de l’Eglise pour prendre soin de cette vigne du Seigneur,
Ce qui précède, tiré de l’homélie de saint Grégoire le Grand, est la lecture des matines de ce jour, excepté ce qui est entre crochets. Et voici la suite du sermon.
(Que figure le vigneron, sinon l’ordre des prélats, qui sont préposés à la conduite de l’Eglise pour prendre soin de cette vigne du Seigneur,) dont l’apôtre Pierre a été le premier ouvrier? Nous sommes nous-mêmes ses bien indignes successeurs dans la mesure où nous travaillons à vous instruire en vous enseignant, en vous suppliant et en vous reprenant.
Il nous faut à présent écouter avec une grande crainte ce que le maître dit au vigneron à propos de cet arbre stérile : «Coupe-le donc : pourquoi occupe-t-il le terrain?» Chacun à sa manière, du fait de la place qu’il tient dans la vie présente, occupe le terrain comme un arbre stérile s’il ne porte pas le fruit des bonnes œuvres, puisqu’il empêche les autres de travailler dans la place que lui-même occupe. Mais un homme puissant en ce monde, s’il ne porte pas le fruit des bonnes œuvres, est également un obstacle pour les autres, car tous ceux qui lui sont soumis sont assombris par l’exemple de sa mauvaise conduite comme par une ombre de corruption. Tandis qu’au-dessus se dresse l’arbre sans fruit, la terre au-dessous gît stérile. Au-dessus, l’ombre de l’arbre sans fruit est épaisse, et elle ne permet pas aux rayons du soleil d’atteindre la terre; ainsi, en voyant les exemples pervers de leur supérieur pervers, les inférieurs demeurent eux aussi sans fruit, privés qu’ils sont de la lumière de vérité. Etouffés par l’ombre, ils ne reçoivent pas la chaleur du soleil : placés en ce monde sous la protection d’un mauvais maître, ils restent glacés loin de Dieu.
Mais Dieu ne s’enquiert déjà presque plus de cet homme pervers et puissant. Car une fois que celui-ci s’est perdu, il n’y a plus qu’à se demander pour quelle raison il étouffe les autres. Aussi le maître de la vigne dit-il bien à propos : «Pourquoi occupe-t-il le terrain?» Occuper le terrain, c’est peser sur les âmes des autres; occuper le terrain, c’est ne pas faire valoir par de bonnes œuvres la charge qu’on détient.
Pourtant, il est de notre devoir de prier pour de tels supérieurs. Ecoutons en effet ce que demande le vigneron : «Seigneur, laisse-le encore cette année, jusqu’à ce que j’aie creusé tout autour.» Qu’est-ce que creuser autour du figuier, sinon faire des reproches aux âmes qui ne portent pas de fruit? Dans un trou qu’on creuse, le sol est abaissé. Et il est évident qu’une réprimande humilie, puisqu’elle révèle à l’âme ce qu’elle est. Chaque fois que nous reprenons quelqu’un de sa faute, c’est donc comme si nous creusions autour d’un arbre sans fruit pour le cultiver selon les règles.
Ecoutons ce qu’ajoute le vigneron après avoir creusé : «Et que je lui aie mis une hotte de fumier.» Qu’est-ce que la hotte de fumier, sinon le souvenir des péchés? Car on désigne par le fumier les péchés de la chair. D’où la parole du prophète : «Les bêtes de somme ont pourri dans leur fumier.» (Jl 1, 17). Que les bêtes de somme pourrissent dans leur fumier, cela signifie que les hommes charnels achèvent leur vie dans la puanteur de la luxure. Aussi, chaque fois que nous reprochons ses péchés à une âme charnelle, chaque fois que nous lui rappelons ses vices passés, c’est comme si nous versions une hotte de fumier à un arbre sans fruit, pour qu’elle se souvienne des mauvaises actions qu’elle a commises, et qu’elle retrouve, pour parvenir à la grâce de la componction2, une fertilité extraite, pour ainsi dire, de la puanteur. On met donc bien une hotte de fumier à la racine de l’arbre quand on met en contact la mémoire et la méditation [du pécheur] avec le souvenir de sa dépravation. Et lorsque par la pénitence, l’esprit s’excite aux larmes et se réforme pour bien agir, c’est en quelque sorte le contact des racines du cœur avec le fumier qui le rend fécond pour opérer de bonnes œuvres et lui fait déplorer ce qu’il se rappelle avoir commis : il s’afflige au souvenir de ce qu’il a été, il dirige contre lui ses efforts et s’enflamme du désir de devenir meilleur. L’arbre reprend donc vie en passant de la puanteur aux fruits, puisque c’est par la considération de ses péchés que l’âme se ranime pour les bonnes œuvres. Il s’en trouve pourtant beaucoup qui entendent les reproches, mais négligent de revenir à la pénitence : ils restent verdoyants en ce monde, mais ils sont sans fruit pour Dieu.
Ecoutons ce qu’ajoute l’homme qui cultivait le figuier : «Peut-être portera-t-il du fruit; sinon, tu le couperas alors.» Car si l’on ne veut pas tirer parti des reproches en ce monde pour se remettre à porter du fruit, on se condamne à tomber dans l’autre monde en un lieu d’où l’on ne pourra plus se relever par la pénitence; et dans l’avenir, on sera coupé, même si, sans porter de fruit, on paraît rester verdoyant ici-bas.
«Jésus enseignait dans une synagogue un jour de sabbat. Il y avait là une femme possédée depuis dix-huit ans d’un esprit qui la rendait infirme.» Nous avons dit tout à l’heure que la triple venue du maître avait la même signification pour son figuier sans fruit que le nombre des dix-huit ans pour la femme courbée. C’est en effet le sixième jour que l’homme a été créé (cf. Gn 1, 27-31), et en ce sixième jour, toute l’œuvre du Seigneur a été achevée. Or le nombre six multiplié par trois donne dix-huit. Ainsi, puisque l’homme, créé le sixième jour, n’a pas voulu rendre ses œuvres parfaites, mais qu’il est demeuré infirme avant la Loi, sous la Loi et au début du règne de la grâce, c’est pendant dix-huit ans que la femme fut courbée.
«Elle était courbée, et ne pouvait absolument pas regarder vers le haut.» Le pécheur, préoccupé des choses de la terre et ne recherchant pas celles du Ciel, est incapable de regarder vers le haut : comme il suit des désirs qui le portent vers le bas, son âme, perdant sa rectitude, s’incurve, et il ne voit plus que ce à quoi il pense sans cesse.
Faites retour sur vos cœurs, frères très chers, et examinez continuellement les pensées que vous ne cessez de rouler en votre esprit. L’un pense aux honneurs, un autre à l’argent, un autre encore à augmenter ses propriétés. Toutes ces choses sont basses, et quand l’esprit s’y investit, il s’infléchit, perdant sa rectitude. Et parce qu’il ne se relève pas pour désirer les biens célestes, il est comme la femme courbée, qui ne peut absolument pas regarder vers le haut.
Le texte poursuit : «Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : ‹Femme, tu es délivrée de ton infirmité.› Et il lui imposa les mains; aussitôt, elle se redressa.» S’il l’a appelée et redressée, c’est qu’il l’a éclairée et aidée. Il appelle sans pour autant redresser, lorsque sa grâce nous illumine sans toutefois pouvoir nous aider, du fait de nos fautes. Souvent, en effet, nous voyons ce que nous devrions faire, mais nous ne l’accomplissons pas. Nous faisons des efforts, puis nous faiblissons. Le jugement de l’esprit voit bien la voie droite, mais la force manque pour le faire suivre d’œuvres. Cela fait partie de la peine due au péché : le don [de la grâce] nous rend capables de voir le bien, mais en rétribution de nos actes, nous nous trouvons détournés de ce que nous avons vu. Une faute répétée lie si bien l’âme qu’elle ne peut reprendre sa position droite. Elle fait des efforts, puis elle rechute : la faute où elle a persisté longtemps par sa volonté, elle y retombe par contrainte même quand elle ne le veut plus.
Le psalmiste a fort bien décrit notre courbure quand il a dit de lui-même comme figurant tout le genre humain : «J’ai été courbé et humilié à l’excès.» (Ps 38, 7). Il considérait que l’homme, bien que créé pour contempler la lumière d’en haut, a été jeté hors [du paradis] à cause de ses péchés, et que par suite, les ténèbres règnent en son âme, lui faisant perdre l’appétit des choses d’en haut et porter toute son attention vers celles d’en bas, en sorte qu’il ne désire nullement les biens du Ciel, et ne s’entretient en son esprit que de ceux de la terre. Et le psalmiste, souffrant de voir le genre humain, auquel il appartient, réduit à un tel état, s’est écrié en parlant de lui-même : «J’ai été courbé et humilié à l’excès.» Si l’homme, perdant de vue les choses du Ciel, ne pensait qu’aux nécessités de la chair, il serait sans doute courbé et humilié, mais non pourtant à l’excès. Or, comme non seulement la nécessité fait déchoir ses pensées de la considération des choses d’en haut, mais qu’en outre le plaisir défendu le terrasse, il n’est pas seulement courbé, mais courbé à l’excès.
A ce sujet, un autre prophète affirme à propos des esprits impurs : «Ils ont dit à ton âme : Courbe-toi, que nous passions.» (Is 51, 23). Quand l’âme désire les biens d’en haut, elle se maintient droite, sans se courber aucunement vers le bas. Et les esprits malins, la voyant demeurer en sa droiture, ne peuvent passer par elle. En effet, passer consiste pour eux à semer en elle des désirs impurs. Ils lui disent donc : «Courbe-toi, que nous passions», car si elle ne s’abaisse pas elle-même à désirer les choses d’en bas, leur perversité n’a aucune force contre elle, et ils ne peuvent passer par elle : l’inflexibilité qu’elle montre à leur égard, en s’appliquant aux choses d’en haut, la leur rend redoutable.
C’est nous, frères très chers, c’est nous qui livrons passage en nous aux esprits malins lorsque nous convoitons les choses de la terre, et que nous nous courbons pour rechercher les biens qui passent. Rougissons donc de convoiter ainsi les choses de la terre. Rougissons d’offrir le dos de notre esprit aux adversaires qui veulent y monter.
Celui qui est courbé regarde toujours la terre; et celui qui recherche les choses d’en bas oublie en vue de quelle récompense il a été racheté. D’où la prescription de Moïse interdisant absolument aux bossus d’être promus au sacerdoce (cf. Lv 21, 17-21). Or, nous tous qui avons été rachetés par le sang du Christ, nous sommes devenus les membres de ce Grand-Prêtre. C’est pourquoi Pierre nous déclare : «Vous êtes une race élue, un sacerdoce royal.» (1 P 2, 9). Mais celui qui est bossu ne regarde que vers les choses d’en bas; il se voit donc écarté du sacerdoce, puisque celui qui n’a souci que des choses de la terre témoigne lui-même qu’il n’est pas membre du Grand-Prêtre.
A ce sujet encore, le peuple fidèle se voit interdire de manger les poissons qui n’ont pas de nageoires [de petites ailes]3. Car les poissons munis de nageoires et d’écailles ont coutume de sauter hors de l’eau. Que représentent donc ces poissons ailés, sinon les âmes des élus? Il n’y a assurément que les âmes soutenues à présent par les nageoires de leurs vertus qui passent dans le corps de l’Eglise du Ciel : elles connaissent l’art de sauter [hors de l’eau] par le désir du Ciel, en se portant avidement vers les choses d’en haut par la contemplation, même si elles retombent ensuite de nouveau sur elles-mêmes par le poids de leur nature mortelle.
Ainsi, frères très chers, si nous avons maintenant reconnu les biens de la patrie céleste, prenons en horreur notre courbure. Gardons devant les yeux la femme courbée et l’arbre sans fruit. Rappelons-nous le mal que nous avons commis, et mettons une hotte de fumier à la racine de notre cœur, afin que cela même qui nous répugnait ici-bas dans la pénitence nous fasse porter un jour, par son action fertilisante, le fruit de la récompense. Et si nous ne pouvons pratiquer la perfection des vertus, Dieu lui-même se réjouit de nous voir le déplorer. Nous lui serons agréables par le commencement même de notre justice, nous qui nous punissons des actions injustes que nous avons commises. Et nos pleurs seront de courte durée, puisque des joies éternelles auront bientôt fait d’essuyer nos larmes passagères, par Notre Seigneur Jésus-Christ, qui, étant Dieu, vit et règne avec le Père dans l’unité du Saint-Esprit, dans tous les siècles des siècles. Amen.
Commentaires
"Voilà trois ans que je viens chercher les fruits de ce figuier, et je n’en trouve pas."
Parallèle intéressant à faire entre le 23 septembre 1880 ou début des persécutions officielles contre l'Eglise avec le 23 septembre 2017.
Message d'une mystique : « La naissance de mon Fils annonçait la naissance de son Église sur la terre. En tant que simple servante du Seigneur, je les ai porté toutes les deux. Devenant la femme revêtue du soleil , qui sera banni par le serpent , avec l’Église de mon Fils , dans le désert. Toute trace de moi , la Mère de Dieu , sera éliminée . Mes Apparitions seront ridiculisées et les ennemis de l’Église de mon Fils , en rejetteront les messages. Puis l’Eglise de mon Fils sera supprimée , de même que les vrais disciples du Christ. Les Saintes Messes cesseront pour laisser les serviteurs du serpent s’établir dans chaque église chrétienne. Les vrais croyants, en seront tellement étonnés, qu’ils n’oseront de peur, se lever et s’opposer à cette profanation. »
Voir la constellation de la Vierge le 23 septembre 2017 (commentaire de Florian) :
https://effondrements.wordpress.com/2012/06/02/les-trompettes-de-lapocalypse-ne-resonnent-elles-pas-deja/comment-page-1/#comment-18397
Si Dieu passe sur terre durant ces 3 prochaines années, il risque de ne pas trouver de figues.
Avec le 23 septembre 1880, commençait le gouvernement de Jules Ferry. Lois Spalwer dans le Salon Beige nous rappelle une anecdote : Fin 1885, Jean Jaurès lui avait posé cette question « « Mais enfin, Ferry, quel est votre idéal ? » Il lui avait répondu « Mon but est d’organiser l’humanité sans Dieu et sans rois. »
Autre personne recevant des messages de la Vierge, Pedro Régis. Certains sont sur l'Eglise :
24 juillet 2005 « Les terroristes viendront au Vatican. La place sera remplie de cadavres. L’humanité verra l’action maléfique des hommes à longue barbe. »
14 novembre 2006 « l’humanité vit dans l’obscurité de l’aveuglement spirituel. L’action du diable amènera beaucoup à perdre la vraie foi. Vous verrez encore des horreurs sur terre. L’Eglise sera persécutée. Le trône de Pierre tombera, mais à la fin, le juste vaincra. …. Une grande guerre religieuse viendra, et les fidèles seront persécutés. Aimez la vérité et défendez-la. »
22 mars 2007 « L’Église sera ébranlée et grandement divisée. »
5 avril 2007 « Priez pour l’Église du Christ, parce que le temps des grandes souffrances s’approche. Priez pour le successeur de Pierre. Un temps de grandes souffrances arrive pour lui. »
12 avril 2007 « Le jour viendra où la foi sera présente dans très peu de cœurs. Il y aura un grand mépris pour ce qui est sacré, et de plus en plus de ministres de Dieu seront contaminés par la corruption morale. Le banquet sera méprisé et beaucoup seront laissés affamés. Il y aura peu d’endroits où ils trouveront ceux qui peuvent leur donner une nourriture précieuse. Quand cela arrivera, sachez que le grand jour est proche. »
23 avril 2007 « L’action du démon en conduira beaucoup à nier leur foi. Un plan terrible sera mis en place dans le but de détruire l’Église du Christ. Beaucoup se retireront laissant le pape seul. »
7 juillet 2007 « Le pape sera menacé et on essayera de l’enlever de son trône. »
14 juillet 2007 « Les hommes a grand barbe préparent une action terrible contre le Vatican. »
27 octobre 2007 « L’union des grands hommes barbus avec ceux rouges causera de grandes souffrances à l’humanité. … La douleur sera très grande. Je vous demande de garder la flamme de la foi. »
14 novembre 2007 « Le jour viendra où des hommes pervers occuperont des positions privilégiées dans la maison du Seigneur. Ils attireront ceux qui s’opposent au Christ à l’intérieur de l’Église. Ce sera le moment où le Sacré sera jeté et les fidèles persécutés. Peu d’entre eux resteront solides dans la foi. Après les tribulations, l’Église et ceux restés fidèles jusqu’à la fin, connaîtront une grande joie. »
5 janvier 2008 « Une guerre va toucher Rome laissant peu de survivants. Celui qui est contre le Christ apportera à toute l’Europe souffrance et chagrin. Le trône de Pierre sera vide. »
8 janvier 2008 « Quand le pape ne pourra plus rester au Vatican, , il y aura un grand mépris pour les dogmes, et peu resteront fermes dans la foi. »
17 janvier 2008 « De même que Jésus a été trahi par un de ses élus, et livré aux ennemis, un jour viendra où son Eglise sera trahie par l’un de ceux choisis pour la défendre. L’ennemi aura une grande force en raison du soutien de nombreuses personnes consacrées. Ce sera l’heure de la grande bataille spirituelle de l’Église. Mais en dépit des dégâts causés par l’opposition, l’Église ne sera jamais renversée. Elle restera vivante et forte dans le cœur des fidèles. Cela doit arriver, mais en final le Seigneur sera vainqueur. »
25 janvier 2008 « L’Église sera affligée et connaîtra désolation et humiliation. En raison des mauvais pasteurs, les grands dogmes de foi seront déniés, et les fidèles deviendront froids et remplis de doutes. L’Église sera tourmentée par de grandes tempêtes, et peu resteront solides dans la foi. Mais après toutes ces tribulations, viendra une grande victoire. »
29 janvier 2008 « Un jour viendra où beaucoup de hauts dignitaires de l’Eglise seront attirés par de fausses idéologies et adopteront de fausses doctrines. Ce sera un temps d’afflictions pour l’Église. »
Cela se passe actuellement.
On peut en citer d'autres de dates postérieurs :
Le 7 juillet 2015, Pedro Régis recevait ce message : » Votre temps est celui d’une très grande bataille spirituelle. Une grande guerre viendra et les fidèles vont pleurer et se lamenter … Chers enfants, Je vous demande de ne pas perdre votre espérance…. »
13 mai 2015 « Des temps difficiles viendront pour les fidèles. Beaucoup de vérités seront mises de côté et de fausses doctrines vont se répandre dans le monde entier … Le silence des justes fortifiera les ennemis de Dieu … »
4 avril 2015 « Viendra le jour où beaucoup de vérités de la foi seront niées et ignorées bafouées . Croyez fermement en l’Évangile … »
7 mars 2015 « Vous aurez encore de longues années de dures épreuves, mais le Seigneur sera victorieux. La grande bataille viendra, mais les élus du Seigneur vont connaître la victoire »
20 novembre 2014 » les portes vont s’ouvrir pour les ennemis et il y aura une grande confusion. Clef partagée, victoire des ennemis … »
18 novembre 2014 » le secret d’un homme sera révélé et il y aura une grande confusion et de la division dans le Palais (Vatican) »
9 septembre 2014 « Viendra le jour où le Seigneur le permettra et tous les yeux verront. Ce sera Son signe pour ceux qui sont éloignés et tous auront une chance de se repentir »
8 septembre 2014 » La Terre connaîtra de grandes transformations et après toute la tribulation, le Seigneur essuiera vos larmes. »
24 août 2014 » La grande persécution religieuse va se répandre à travers le monde et beaucoup vont se retirer par peur. »
2 août 2014 » les loups déguisés en agneaux vont entrer dans la maison de Dieu et vont occuper une place de premier rang »
15 juin 2014 « Ce qui pendant des siècles a été adopté en tant que vérité, sera déclaré faux et beaucoup auront la foi ébranlée. »
18 avril 2014 « Dans la grande persécution de l’Église de Mon Jésus, les fidèles vont chercher le Seigneur clandestinement … comme pour les premiers chrétiens »
Mais ce qui est à retenir » Quand tout va sembler perdu, le Seigneur viendra avec une grande victoire et vous verrez le Triomphe définitif de Mon Cœur Immaculé … »
http://scd.observers.france24.com/files/imagecache/1024x576/article_images/photobarbe9.jpg
"27 octobre 2007 « L’union des grands hommes barbus avec ceux rouges causera de grandes souffrances à l’humanité."
Le mot rouge veut-il évoquer les communistes ou alors des musulmans portant une barbe rouge ? Le journaliste Ashraf Khalil, basé au Caire, explique combien il est utile, dans le monde arabe, de savoir décrypter le sens de la pilosité faciale.
- Les Frères musulmans ont tendance à porter la barbe, et la moustache, bien entretenues.
- Chez les salafistes la barbe est obligatoire et très en longueur, lèvre supérieure rasée (un clin d'oeil au prophète Mahomet, selon lui).
- Parmi les salafistes, certains se teignent la barbe au henné (une teinte allant du rouge foncé à l'orange «citrouille lumineux»).
- Les prêtres et moines coptes portent aussi la barbe longue (à tel point qu'un observateur non aguerri ne verrait pas la différence physique entre le patriarche copte Tawadros II, ou Théodore II d'Alexandrie, et le salafiste Emad Abdel-Ghafour.)
Certains islamistes pensent que Mahomet a demandé aux musulmans de se laisser pousser la barbe pour qu’ils se distinguent de leurs ennemis, les Perses, qui portaient la moustache.
“Agis contre les polythéistes, a dit le prophète Mahomet. Taille soigneusement ta moustache et laisse-toi pousser la barbe.”
http://www.bbc.com/news/magazine-20877090
Une chose est sûre, les musulmans barbus vont poser un énorme problème en occident. Mais qui les a fait venir sinon l'U.E. ? Et cela avec l'assentiment des peuples ! en France, que 0,92% des gens ont voté pour un frexit. C'est ce qu'on appellera plus tard le suicide volontaire de l'occident.
Benoit, Sophie dans un commentaire récent nous le rappelait :
La Cour de Justice de l’Union européenne a ainsi confirmé ce que disent les traités européens, à savoir que les États-membres n’ont pas le pouvoir de décider des quotas migratoires : cette décision est du ressort de la seule Commission européenne.
http://www.lemonde.fr/europe/article/2017/09/06/la-justice-europeenne-valide-les-quotas-de-refugies_5181666_3214.html?utm_term=Autofeed&utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1504689047
Sans sortir de l'U.E., on ne peut pas s'opposer à ce Grand Remplacement. Comme vous le dites si bien, on fournit le couteau à nos tueurs. Et ce n'est pas l'Union de la droite qu'ils essayent de mettre en place qui arrangera les choses puisqu'ils n'ont pas l'intention de demander le frexit. On est condamné à voir s'installer en France ce que Marie Julie décrit dans ses livres.
les mensonges des suppôts d'Asselineau continuent à empuantir ce blog
L'article du Monde serait faux, Théofrède ? vous avez des preuves. ? S'il est faux, Asselineau a tort. S'il est vrai, vous propagez des mensonges....
Plus d'explications seraient souhaitables. Car pour l'instant vous passez pour un fourbe.
A didier
La sœur stigmatisée Elena Aiello (1895 – 1961) dévoila elle aussi la persécution de la « contre-église » contre l’Église : le plan de la « secte secrète moderniste »...
« de détruire l’Église de son intérieur. De la corruption grandissante des jeunes, le péché souillant même l’âme des enfants. Qu’un peuple avancera de l’orient vers l’Europe, en envahissant l’Italie jusqu’à Rome, et que des religieux et autres personnes innocentes seront massacrés, les églises détruites. Que la guerre atomique commencera au petit matin, pour se poursuivre pendant trois jours ou soixante-dix heures, et que les deux tiers de l’humanité seront tués. Que le châtiment sera versé sur le monde par les anges et que ceux qui ne voudront pas se repentir de leurs péchés, seront recouverts par une mer de feu. »
le plan de la « secte secrète moderniste ».
Justement, c'est ce qu'on reproche au pape actuel avec à nouveau une correctio filialis adressée au pape François .
http://www.correctiofilialis.org/
Théologiquement parlant, le modernisme est la croyance que Dieu n’a pas transmis à l’Eglise des vérités définitives qu'elle doit continuer d’enseigner dans un sens exactement identique jusqu’à la fin des temps.
C'est évidemment une hérésie. Ici, la crise a pour principal objet le mariage. Il est intéressant de voir ce qu'écrivait Maria Valtorta dans son "Evangile tel qu'il m'a été révélé" :
« Dans la religion mosaïque le mariage est un contrat. Dans la nouvelle religion chrétienne, qu’il soit un acte sacré et indissoluble sur lequel descend la grâce du Seigneur pour faire des conjoints deux de ses ministres dans la propagation de l’espèce humaine. En cas d’un conjoint non chrétien, sa conversion éviterait de douloureuses séparations de pensées. Car on ne peut séparer pour aucune raison ce que Dieu a uni. Si par contre l’autre ne se convertissait pas, le chrétien devrait lui rester fidèle, en portant sa croix avec patience, douceur mais force, jusqu’à même devoir mourir pour défendre sa foi. Ce serait mal si à cause de la dureté des cœurs, il devait arriver dans la nouvelle foi, ce qui est arrivé dans l’ancienne, c’est à dire l’autorisation de la répudiation et de la dissolution pour éviter les scandales créés par la luxure de l’homme. Aucune pression ne doit faire fléchir votre autorité quand vous dites « Cela n’est pas permis » à celui qui veut passer à de nouvelles noces avant que l’un des conjoints ne soit mort. Il vaut mieux que la partie de la communauté des fidèles en décomposition se détache plutôt que, pour la retenir dans le corps de l’Eglise, on accorde des choses contraires à la sainteté du mariage. Les noces sont un acte grave et saint. Malheur si elles dégénèrent en luxure et en caprice. Le mariage, contrat naturel entre l’homme et la femme, qu’il s’élève dorénavant à un contrat spirituel par lequel les âmes de deux personnes qui s’aiment jurent de servir le Seigneur dans leur amour réciproque, offert à Lui pour obéir à son commandement de procréer pour donner des fils au Seigneur. "
Théofrède semble chevillé au corps avec Marine.... Que nous dit Philippe Ploncard d'Assac (écouter à partir de 1h24) : "Cette famille Le Pen, il faut l'éliminer du FN, car elle trahit la cause...."
https://www.youtube.com/watch?v=1yElAWUrAXE
Dites, ça vous gênerait de commenter l'article (qui portait sur les 4 temsp, si ça vous avait échappé), et pas d'écrire vos marottes?
Merci Monsieur d'avoir donné ce splendide sermon. C'est édifiant de voir comment ces géants savaient tirer une leçon de chaque verset du Lévitique et des prophètes.
Ce qui est dommage pour les 4 temps, c'est que Pie XII ayant permis de ne faire que 2 lectures, bien des prêtres s'en tiennent là, faudrait quand même pas passer trop de temps à la messe, n'est-ce pas? (et en général, ce sont les mêmes qui reprochent au missel tridentin de ne pas assez parcourir l'Ecriture).