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Charité euthanasique

Suite à la mise en demeure de Rome, relayée par le supérieur général de leur ordre, de cesser de pratiquer l’euthanasie, les « Frères de la Charité » (sic) en Belgique ont tenu une conférence de presse ce matin pour déclarer que leur organisation ne reviendrait pas « sur sa décision, prise en mars dernier, d’autoriser la pratique de l’euthanasie au sein de la quinzaine d’établissements psychiatriques placés sous sa responsabilité ». Cette décision est « conforme à la doctrine de l’Eglise catholique » parce que l’organisation prend « en compte le changement et les évolutions au sein de la société »…

Commentaires

  • Ils sont fous. Et si Rome ne les excommunie pas ni ne les met au pas avec la même violence que celle démontrée lors du limogeage de l'ancien grand maître de l'ordre de Malte, c'est que Rome est à peu près dans le même état.

  • Interprétation: « Sur sa décision, prise par le pape dans Amoris Lætitia, d’autoriser la pratique de l’euthanasie de l’Église catholique, car elle est placée sous sa responsabilité ». Cette décision est « conforme à la nouvelle doctrine de l’Église catholique » qui rend compte de « la conversion écologique intégrale » celle-ci prenant simplement « en compte le changement et les évolutions au sein de la société »
    « Cette révolution exprime aussi la haine accumulée par ce pape qui n'était rien et sera tout. Sa révolution voit l'avènement d’un homme des plus cruels, des plus bas, des plus sanguinaires pour la doctrine, au caractère puissant et despotique. Un chef de brigands. Après une longue guerre intestine, c’est le plus rusé et le plus cruel d'entre eux, pour la doctrine catholique, qui rassemble tout le pouvoir entre ses mains. Ainsi sa révolution s'achèvera dans la tyrannie et non par la liberté et la justice de la doctrine catholique.
    Mais les cardinaux, les évêques tous comprenaient tout, savaient tout ou devinaient tout, mais ils ne voulaient même pas en parler, car ils aspiraient non à combattre l’hérésie, mais à survivre. Survivre à n'importe quel prix, en sacrifiant leur conscience comme leur bon sens, des catholiques innocents, des pays catholiques en entier. En sacrifiant finalement leur avenir, car la logique de la survie à tout prix se plie à l'axiome de nos bagnards. “Meurs aujourd'hui, mon tour viendra demain”. Le silence sur ses crimes de doctrine, cette “coexistence” ne nous paraît que plus indigente et stupide. Et plus criminelle, car, le mythe une fois éventé et la peur disparue, il est désormais évident que cette coexistence n'était qu'une capitulation morale devant le mal, une forme de complicité avec le crime donc du criminel. Ces évêques et ces cardinaux ne veulent pas regarder au fond de leur âme, ils ne veulent pas “fouiller dans le passé”, ils ne veulent pas de scandales. Ils ferment les yeux et répètent « qu’ils ne savaient pas”, ou que, même s’ils avaient su, “ils ne pouvaient rien faire”. Ainsi le refus peureux de se battre s'est tourné en impuissance à se guérir. L'utopie antidoctrine catholique prêchée par ce pape n’a vu triompher sur ses ruines ni la liberté d'esprit ni la noblesse de pensée. Rien qu'une farce, absurde, minable. Son utopie ne sert à rien : l'humanité n'est devenue ni meilleure, ni plus sage, ni plus mûre... »

  • Ce n'est plus NSJC qu'ils servent mais le prince de ce monde, avec le label du Fils de l'Homme. Vienne Ton Regne Seigneur !

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