La soi-disant « Eglise d’Angleterre » va inventer une liturgie pour rebaptiser les « transgenres ».
C’est une croyance fondamentale de l’Eglise que le baptême ne peut être reçu qu’une fois, dit le secrétaire général du synode, William Nye. Toutefois, on peut trouver une façon de rebaptiser un homme qui devient femme et vice-versa. Il suffit de faire une liturgie de « bienvenue » au cours de laquelle le transgenre peut « réaffirmer ses vœux baptismaux » sous son nouveau nom.
William Nye va présenter le mois prochain à la réunion semestrielle du synode ce projet qui « répond à un besoin pastoral ».
Pour beaucoup de pasteurs anglicans le temps est en effet venu d’affirmer l’idéologie du genre (dont je découvre que c’est l’idéologie officielle de Wikipedia – en anglais, en français). Le « prêtre » transgenre “Rachel” Mann (curé d’une paroisse de Manchester et chanoine de la cathédrale) explique : « Les personnes trans ressentent puissamment le besoin d’être reconnues dans le nom qu’elles ont choisi : cette liturgie est une avancée bienvenue pour soutenir les personnes trans. »
Commentaires
Encore une fois, je remercie le Seigneur de m'avoir fait quitter cette "église" et convertir au catholicisme. Et je rends grâce à Dieu qu'il m'a fait découvrir les communautés "tradis" qui ne trouvent pas ridicule le fait d'être fidèle à l'enseignement millénaire de l'église. Et la messe en latin est vraiment "extraordinaire"!
Dans un "genre" voisin :
Many corporations taking pride in sodomy.
http://wmbriggs.com/post/22100/
Les Méthodistes quelque part en U.S.A. ont un diacre-transgender.
Voilà qui va encourager encore plus les anglicans à revenir vers l'église catholique
C'est du délire, mais soyons réalistes et tristes car l'église progressiste pseudo-catholique va suivre de près ces imbécillités. Un converti, comme EFM, m'avait dit il y a des décennies, qu'il n'avait pas rejoint l'Eglise pour retrouver ce qu'il voulait quitter. Il parlait de l'église conciliaire. Quand il a trouvé la tradition, il a su qu'il était enfin chez lui., l'Eglise de toujours qu'il cherchait.
Ils ont eu un pasteur de Bristol, il y a déjà quinze ou vingt ans, qui s'est absenté deux ou trois mois, avant de revenir sous l'autre sexe... Ce qui est très parisien, comme disait Boris Vian, à la fin de sa chanson : Bourrée de complexes...
Le christianisme hétérodoxe a tôt fait d'être horrible. Plus il est proche de la vérité, plus le mensonge est horrible. A méditer, par les temps qui courent.
Le plus honteux, c’est que ces personnes qui souffrent du syndrome de Benjamin devraient être aidées. Au lieu de cela on leur fait croire que leur folie est « normale ». Ce n’est pas pour rien que les suicides sont fréquents chez ces individus.
Puisque vous parlez du "syndrome de Benjamin", on peut rappeler que le sexologue Harry Benjamin, issu d'une famille allemande luthérienne d'ascendance juive, était un gars de la bande à Kinsey. Ce dernier lui ayant amené un garçon qui se prenait pour une fille, le "docteur" Benjamin entreprit de le "traiter" avec des œstrogènes. Benjamin tenait à ce qu'on fasse toujours la distinction entre le sexe et le genre. Et s'il déplorait le nombre de suicides chez les individus souffrant de ce trouble d'identité bien connu des cruciverbistes pour avoir été celui du chevalier d'Eon (mort en 1810 à 82 ans), il considérait que la solution était hormonale et chirurgicale.
J'aime bien ce Benjamin, mais je préfère le docteur Frankenstein : lui au moins faisait ses expériences sur des cadavres, ce qui, à tout prendre, est moins sordide que d'utiliser des garçonnets.
La thèse principale de cet apprenti-sorcier est celle que notre époque de tarés a choisi de retenir : "Aucune psychothérapie ne peut changer l’identité de genre d’une personne, qu’elle soit atteinte de ce syndrome ou non."
On peut donc changer de sexe, mais non changer de genre. Le bon sens élémentaire additionné de quelques notions de génétique du niveau du collège nous enseigne que non, on ne peut pas changer de sexe. Aussi devrait-on se demander si une psychothérapie digne de ce nom ne permettrait pas à ces malheureuses personnes de retrouver une identité plus conforme au sexe dans lequel Dieu les a fait naître... Mais ça, ce serait dans un monde qui n'existe plus.
Un « coming out as transgender » :
https://www.youtube.com/watch?v=RsUydjMMxTM
Autre problème, certains êtres humains se prennent pour des animaux ! Nano dans cette vidéo, explique avoir réalisé qu’elle était un chat quand elle avait 16 ans. Cette Norvégienne de 20 ans a depuis adopté des manières " félines " :
https://www.youtube.com/watch?v=YWeBunPiIzo
Grâce à la chirurgie , on devrait pouvoir dans l'avenir, lui implanter un corps de félin ! On n'arrête pas le progrès.
Comme quoi le grand philosophe juif Maïmonide avait raison en parlant de certains d'entre nous " leur nature est semblable à celle des animaux muets, et selon mon opinion, ils n’atteignent pas au rang d’êtres humains. " (dans un passage essentiel de la fin du Guide livre III, chapitre 51). Jacques Attali disait aussi que pour lui un être humain était un juif. Sans doute voulait-il sous entendre que le goy ne l'était pas.
http://www.dailymotion.com/video/x2wmvud_pour-jacques-attali-les-non-juifs-ne-sont-pas-des-etres-humains_news
Ah ces chrétiens qui imaginent que tous les hommes sont des êtres humains ! Ne se tromperaient-ils pas ?
les Anglicans sont donc en train d'inventer l'eau tiède
il existe, ou existait, dans l'Eglise catholique la rénovation des promesses du baptême (on disait plutôt communion solennelle)
et cette cérémonie était ouverte à tout le monde; même aux transgenres s'il y en avait eu
La différence est qu'à la communion solennelle, qui n'existe pas en Angleterre, John n'aurait pas renouvelé ses promesses sous le nom de Sarah.
j'ignorais que l'Eglise d'Angleterre, la vraie, ne connaissait pas la communion solennelle; je croyais qu'elle s'était instaurée dans toute l'Eglise catholique après l'apparition de la communion privée
d'autre part, dans les pays anglo-saxons, on change de prénom (et de nom) comme de chemise
je n'arriverai jamais à comprendre la tendresse qu'ont les catho-tradi pour les Anglicans, cette sous-secte calviniste qui déguise ses notables en évêques et se proclame église-pont
alors qu'elle ne possède même pas d'ordres valides et le sait : j'ai connu un prêtre catholique néo-zélandais qui m'a appris que dans son pays les "évêques" anglicans, après leur sacre officiel, allaient en quémander un autre après d'une église orientale ou vieille-catholique, ce qui en plus brouille complètement la validité des ordres