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On peut tuer sa femme

Jean Dilac, accusé d’avoir tué sa femme, a été condamné hier à deux ans de prison avec sursis. Une « peine symbolique », parce qu’il a tenu la promesse qu’ils s’étaient faite (selon lui) de « se donner la mort avant d’être complètement diminués ».

Yvette souffrait d’une pathologie cardiaque et avait été victime d’une dépression. Donc, « pour l’empêcher de sombrer dans la déchéance », Jean lui a donné des médicaments mortels et l’a étouffée avec un oreiller…

Les juges ont été « touchés » par ce geste et les arguments de Jean, qui a 93 ans et ne sombre pas du tout dans la déchéance. D’ailleurs Yvette n’est plus là pour tenir la promesse…

Commentaires

  • Le juge serait il un musulman? Car l'homme musulman a droit de vie et mort sur "l'objet" ou "sujet" qui lui sert de femme.

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