Dans certains anciens sacramentaires, et par suite dans un certain nombre d’anciens missels, on trouvait à la place de la secrète actuelle celle-ci :
Deus, qui proditoris apostatae ruinam, ne Apostolorum tuorum numerus sacratus perfectione careret, beati Matthiae electione supplesti ; praesentia munera sanctifica, et per ea nos gratiae tuae virtute confirma.
Dieu, qui par l’élection du bienheureux Matthias as suppléé la ruine du traître apostat, afin que le nombre sacré de tes apôtres ne soit pas privé de sa perfection, sanctifie les dons présents, et par eux affermis-nous par la puissance de ta grâce.