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Fillon et l’islam

François Fillon à la grande mosquée de Saint-Denis de la Réunion :

Je suis croyant et je me bats pour toutes les religions. Je défends la liberté religieuse et donc l’islam.

Il a dit aussi qu’il souhaitait que les musulmans manifestent leur colère non seulement contre les terroristes, mais aussi « contre ceux qui déforment le message de l’islam ».

Là ça devenait intéressant et on allait s’instruire. Quel est donc le vrai message de l’islam ? Hélas, Fillon ne l’a pas dit…

On remarquera aussi que lors de cette visite, Houssen Amode, le président du Conseil régional du culte musulman, a souligné que les musulmans sont « atterrés par le qualificatif d'islamique accolé au terrorisme » puisque « ça n'a rien à voir avec l'islam », tandis que le très modéré président de la mosquée (qui aime beaucoup Tariq Ramadan), Iqbal Ingar, a souligné que les critiques de l’islam par de pseudo-intellectuele deviennent insupportables et que « ça risque de pousser les modérés vers les radicaux »…

Il y aurait donc des musulmans modérés qui deviennent radicaux mais qui n’ont rien à voir avec le terrorisme puisque celui-ci n’a rien à voir avec l’islam...

Commentaires

  • Comme l'a bien expliqué le nouveau secrétaire général de l'ONU, éminent Islamologue, "le terrorisme" est attisé par l'islamophobie.

    Pour l'islamologue Fillon, c'est simple : l'islam est une religion. Et il faut se battre pour toutes les religions.

    Que le programme de l'islam. selon le Saint Coran et la Sunna du Prophète, prévoie explicitement la domination des musulmans sur les infidèles, étendue à la planète entière, voilà qui semble inconnu de 99 % de ces éminents Islamologues. politiques, journalistes, juges, universitaires, hommes d'Eglise, militants associatifs, et autres savants dispensateurs d'homélies idlamophiles.

    L'islam est intrinsèquement "politique". Tous les oulémas, tous les ayatollahs l'enseignent. Ils considèrent d'ailleurs ce trait comme un des éléments de supériorité manifeste sur d'autres religions, spécialement le christianisme.

  • Je n'aime pas beaucoup les hallali médiatiques et je veux bien adopter un "Tout sauf Macron" pour cri de guerre. N'empêche que ce Fillon pas très net pourrait inspirer à Molière une nouvelle pièce : Tartufe chez Monsieur Jourdain. L'autoproclamé catholique pro-avortement, favori des bien-pensants bien achalandés en oseille qui vont à la messe pour Noël et pour Pâques.

  • Pardon, Tartuffe...

  • "Iqbal Ingar, a souligné que les critiques de l’islam par de pseudo-intellectuele deviennent insupportables et que « ça risque de pousser les modérés vers les radicaux »…

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    De toute façon avec cette secte planétaire, rien n'est possible :

    - Si on n'est pas "islamophobe", on subit quand même le terrorisme généré par la secte.

    - Et si on devient "islamophobe" du fait de ce terrorisme, alors la secte verse davantage dans le terrorisme.

    Conclusion : Quoi qu'on fasse, on doit subir leur terrorisme.

  • "Beaucoup d'hommes s'intéressent à la politique et à la guerre, mais j'appréciais peu ces sources de divertissement, je me sentais aussi politisé qu'une serviette de toilette, et c'est sans doute dommage. Il est vrai que, dans ma jeunesse, les élections étaient aussi peu intéressantes que possible ; la médiocrité de l'« offre politique » avait même de quoi surprendre. Un candidat de centre-gauche était élu pour un ou deux mandats, selon son charisme individuel, d’obscures raisons lui interdisant d'en accomplir un troisième ; puis la population se lassait de ce candidat et plus généralement du centre-gauche, on observait un phénomène d'alternance démocratique et les électeurs portaient au pouvoir un candidat de centre-droit, lui aussi pour un ou deux mandats, selon sa nature propre. Curieusement, les pays occidentaux étaient extrêmement fiers de ce système électif qui n'était pourtant guère plus que le partage du pouvoir entre deux gangs rivaux, ils allaient même parfois jusqu'à déclencher des guerres afin de l'imposer aux pays qui ne partageaient pas leur enthousiasme."

    Michel Houellbecq, Soumission, 2015

  • Pas mal, mais si l'on cesse de lire les écrivains doués qui, comme Houellebecq, Sollers et consort, ont fait la leur (pas à l'islam, bien entendu), on perd moins de temps et d'argent en ouvrages émoussés. La dictature du politiquement correct tue la littérature aussi sûrement qu'elle assassine la liberté.

  • Ça, c'est un chrétien convaincu !

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