Sur 1,2 million de clandestins migrants réfugiés arrivés en Allemagne au cours des 12 derniers mois, 34.000 ont trouvé un emploi. Moins de 3%.
Dont 22% sont des emplois temporaires.
Chiffres officiels du gouvernement fédéral.
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Sur 1,2 million de clandestins migrants réfugiés arrivés en Allemagne au cours des 12 derniers mois, 34.000 ont trouvé un emploi. Moins de 3%.
Dont 22% sont des emplois temporaires.
Chiffres officiels du gouvernement fédéral.
Commentaires
Honte à Merkel qui trahit son pays en l'islamisant et l'appauvrit en le tiers-mondisant.
Cette année 2017 s'annonce un crû exceptionnel !!
Je crois qu'on va s'en rappeler...
- On verra les conducteurs des peuples fléchir le genou devant l’idole régnante, un grand nombre déserteront la vérité et se laisseront emporter par le courant de la dépravation. -
Grosse déception du côté du patronat allemand, qui a terriblement besoin de main d'œuvre, formée ou au moins formable pour faire tourner la formidable machine allemande, dont l'exportation constitue le fer de lance (montant en 2015, 1.500 Mds de $, Chine, 2.000 $). N'oublions pas que, pour chaque classe d'âge arrivant sur le marché du travail outre-Rhin, il "manque" de 100 à 150.000 jeunes. Curieux que ce patronat, au lieu de regarder au loin - ou laisser ses "élites" politiques le faire-, ne se soit pas intéressé sérieusement - de manière concertée, organisée et professionnelle- au vivier qui existe juste à côté du pays, "sur la gauche", où justement, le "surplus" est à peu près équivalent. Comme quoi, les grandes décisions que prennent les responsables politiques ici et là n'ont pas toujours (pas souvent) de base rationnelle..,
"sur la gauche" c'est quoi ?
notre gouvernement, comme les décideurs allemands, ne semblent pas capables de se rendre compte qu'il y a en France des millions de chômeurs qui pourraient très bien boucher les trous de la population allemande et seraient surement plus faciles à former et à employer que ces "migrants" qui apparemment ne savent pas faire grand chose, pour peu qu'ils en aient envie; on peut d'ailleurs que c'était à ça, plutôt qu'à l'accueil du tiers monde que pensaient les fondateurs des communautés européennes