BFM TV nous apprenait hier qu’il y a de plus en plus de femmes radicalisées en prison. Leur nombre a doublé en moins de six mois à Fleury-Mérogis.
« L’augmentation des femmes radicalisées au sein de la détention a entraîné plusieurs difficultés», explique Marcel Duredon, du syndicat FO pénitentiaire. « La première, c’est l’augmentation du prosélytisme au sein de la détention et le second point, c’est la prise en charge difficile pour le personnel puisqu’ils sont face à des femmes qui sont très déterminées, qui font preuve d’une violence verbale extrême. »
Mais on ne sait pas ce qui se cache sous cette « radicalisation ». Il ne semble pas que ces détenues soient membres du Parti radical, ni du Parti radical de gauche.
Selon certaines rumeurs non vérifiables, ces radicalisées exigeraient la « messe en latin » et « le rosaire pour tous »…