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Eh oui, soumises…

Les activistes qui se disent « Ni putes ni soumises » ont bien été obligées de se soumettre à l’ordre d’expulsion de leurs locaux parisiens.

Lesquels avaient été inaugurés en 2006 par le président de la République en personne, Jacques Chirac.

Mais elles n’ont jamais payé le loyer… Normal : leur patronne, la socialiste Fadela Amara, devenait ministre de Sarkozy l’année suivante. Quand t’es ministre tu ne payes pas, non ?

Mais le tribunal d’instance a froidement constaté qu’il y avait un impayé de 140.000 euros et que ça suffisait comme ça…

Grandeur et décadence des lobbies de la République…

Commentaires

  • Tiens, Soros n'est pas accouru à leur secours et n'a pas épongé la dette?
    Demandez à des artisans parisiens qui ont travaillé pour certains ministres socialo-bobos: pas payés mais avec la petite phrase: "vous mettrez sur votre carte de visite que vous avez travaillé pour moi, cela vaut bien plus que le montant de votre facture"

  • Je crois que l'origine de ce mouvement était justement de se libérer de la domination des « grands frères », une femme devant être voilée, sinon c'était une pute.
    Aujourd'hui, il serait catalogué islamophobe...c'est peut-être pour cette raison que les subventions se sont taries.
    L'expulsion n'a pas attiré de casseurs gauchistes et autres antifas,
    Quant à Fadela Amara, ministre sur casting sous Sarko, recyclée ensuite dans les affaires sociales, je ne me lasse pas de cette intervention à la télévision :
    https://www.youtube.com/watch?v=-8MnazOl5-c

  • "....inaugurés...par Jacques Chirac..."
    Encore une preuve de la nocivité de ce personnage!

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