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Réponse à Najat la grosse menteuse

Elle répète que la « théorie du genre » n’existe pas et surtout pas à l’école.

La Manif pour tous a réuni divers documents qui prouvent, s’il en était besoin, que Mme Belkacem est une menteuse récidiviste. Voici juste deux exemples. Une citation de madame le ministre :

Najat.jpg

Et une citation de… non pas un méchant « intégriste », mais… Julien Dray :

« La théorie du genre à l’école, c’est la conséquence de l’influence d’un féminisme qui s’est radicalisé. Najat, elle, est sur la ligne des féministes ultras américaines, qui sont en train d’émasculer les sexes. »

Et aussi ceci (entre autres).

Commentaires

  • +1 Y Daoudal !
    Giga menteuse, Mère Noêl perverse dégage !
    Nos enfants ne veulent pas se faire lobotomiser !

  • Les journalistes tendent à accepter sans broncher les déclarations successives et contradictoires selon lesquelles la théorie du genre n'existe pas ou bien existe. On en a non seulement de Madame Vallaud-Belkacem, mais naguère aussi de M. Vincent Peillon, qui par ailleurs ne lui était pas favorable (Ingrid Riocreux, La Langue des médias, 2016, pages 216-221).

    Il faut toutefois reconnaître qu'il existe plusieurs "théories" du genre. Le petit monde universitaire des "études de genre" produit des cogitations abondantes sur cette "problématique" (au sens propre, pas comme substitut idiot de "problème"). Il lui est donc aisé de se moquer des bouseux qui dévoilent leur rusticité en parlant de "la" théorie du genre. Les politiques emboîtent le pas.

    La bouffonnerie de beaucoup de ces bavardages, c'est qu'ils ont abouti à pratiquement faire disparaître le mot "sexe" au profit de "genre". Or la distinction sexe (biologique) / genre (social) n'était pas du tout idiote, à moins d'être poussée aux excès. Du coup le bénéfice de la distinction s'évanouit. Tout ce qu'on a obtenu, c'est du psittacisme, du conformisme idéologique.

  • Au moins dans une variante dominante de la "théorie" queer, une des idéologies construites dans la perspective de la "problématique du genre", la fluidité est totale. On est ce qu'on veut quand on veut. Il peut en être ainsi à cause d'un total nihilisme épistémologique proclamé, dont on a un exemple ici :

    "La zone queer ne considère plus aucune légitimité fondée sur un accès privilégié à la vérité valable, comme l'explique FOUCAULT ; il n'y a plus de vrai/faux (hétéro/homo), et plus de normalisation, donc plus de marginalisation."

    Voir le Témoignage d'une femme queer, qui est en bas de cette page :
    http://theories.feministes.pagesperso-orange.fr/partie%205/5-I.htm

    Ce petit texte se termine ainsi : "Aujourd'hui mes désirs sont pour des femmes (biologiques), demain il en sera peut-être tout autrement... peu importe, je vis. Demain je serai peut-être un extra-terrestre à 4 mains (oh yeah ! ;)) qui aura du désir pour une girafe fluorescente hermaphrodite... par normal, vous dites ? Queer. Peu importe, je me sentirai toujours libre."

  • "Cette absence de catégorie spécifique d’individu associée au terme « queer » constituera l’un de ses signes distinctifs. Dans son livre Saint Foucault. Towards a Gay Hagiography, David Halperin affirme ainsi : « Queer is by definition whatever is at odds with the normal, the legitimate, the dominant. There is nothing in particular to which it necessarily refers. It is an identity without an essence. “Queer” then, demarcates not a positivity but a positionality vis-à-vis the normative […] [Queer] describes a horizon of possibility whose precise extent and heterogeneous scope cannot in principle be delimited in advance. » HALPERIN, David, Saint Foucault : Towards a Gay Hagiography, New York, Oxford University Press, 1995, p. 62."

    https://transposition.revues.org/414

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