Cet homme s’appelle Hugo de Jonge. Il est l’échevin de Rotterdam à l’Education, à la Jeunesse et aux Soins. Et il veut imposer la contraception aux mères qu’il juge incompétentes. Selon la proposition élaborée par le collège communal et transmise au conseil, c’est un juge qui serait chargé de décider si telle femme doit être obligée de se faire poser un implant contraceptif dans le bras…
Interrogé à la télévision, il explique :
Grandir sainement et en sécurité est également un droit que les enfants doivent recevoir. Nous choisissons pour les enfants, donc certains enfants ont le droit de ne pas naître.
Hugo de Jonge est membre du parti chrétien-démocrate…
Commentaires
Les pays occidentaux pratiquent depuis longtemps la stérilisation et l'avortement forcés sur des femmes dites "à risques". Celles internées dans les hôpitaux psychiatriques qu'on jette en pâture aux malades masculins. Sur les populations des pays du Tiers Monde via les patchs, stérilets et vaccins abortifs et/ou contraceptifs.
Que fait le Planning français en disant aux jeunes filles qu'elles sont incapables d'élever un enfant et qui les poussent à avorter?
Ce guignol d'échevin devrait se poser la question de savoir s'il ne risque pas lui-même de tomber un jour sur quelqu'un qui le trouverait incompétent et indigne de vivre.
Nous sommes dirigés par des démons.
un chrétien-démocrate, membre de l'Église « grand parapluie », un parapluie assez grand pour accueillir le Christ et Bélial.
analyse d'Hilary White ex-correspondante à Rome sur http://dieuetmoilenul.blogspot.fr/2016/10/un-nouveau-schisme-une-nouvelle-eglise.html
à quelle communauté appartient-il ?
dans son esprit, en accordant à certains le droit de ne pas naître, il doit penser être un bienfaiteur de l'humanité
un de mes professeurs expliquait de la même façon l'extermination des Juifs par les Nazis : la pire souffrance que puisse subir un homme est de ne pas pouvoir être allemand, soulageons donc ceux qui ne pourront jamais l'être en les faisant disparaitre
Regardez la photo à droite de l'image. N'est-ce pas une représentation de Belzébuth?
Effectivement, les nationaux socialistes allemands étaient fascinés par l'eugénisme... Ils avaient pris leurs leçons aux Etats-Unis d'Amérique auprès des émules de Francis Galton.
Indépendamment du caractère inquiétant (litote) de cette suggestion (pas spécifiquement nazie, mais Yves Daoudal le sait), le dilemme logique est taraudant.
Le droit de "quelqu'un" qui, n'existant pas, préférerait ne pas venir à l'existence ? Comme exercice de scolastique avancée, c'est fascinant. Pour sa part, ce gentleman a résolu le problème. Il ne dit pas comment.
Ce droit des entités inexistantes est pris en charge par leur représentant légal canonique, un juge, agissant probablement dzns le cadre de... De quoi, au fait ? Des droits de l'homme ?
Cette entité qui ne voudrait pas naître est appelée un "enfant". Mais cet enfant n'existe pas. Peut-"il" alors invoquer les droits de l'homme ?
Quel sac de nœuds !
Si jamais cette suggestion hautement civilisée arrive à fruition, ce sera sur la base d'un raisonnement vraiment hardi. On est poli.
J'ai vérifié. M. de Jonge a bien dit :
"Sommige kinderen hebben er recht op niet geboren te worden."
Curmudgeon pense-t-il que tout le monde ici parle flamand ?
Qu'en pense Geert Wilders ?
Ce serait intéressant que ce leader d'un parti qui veut arrêter l'islamisation de son pays nous dise ce qu'il pense de l'eugénisme des européens qui y sévit depuis longtemps et veut aller toujours plus loin.
Parce qu'il s'agît d'imposer cela aux européennes, pas aux musulmanes, leur communauté ne le permettrait jamais et des lois interdiraient de le faire sous peine d'être traité de raciste.
Et si nous favorisons la promiscuité sexuelle avant de prétendre imposer l'eugénisme, je ne vois pas pour défendre quelles valeurs nous prétendrions nous opposer à la morale musulmane ?
Je suis provocateur, mais je ne vois pas sur quelles valeurs s'appuient les laïcistes et autres défenseurs tardifs et superficiels de la civilisation chrétienne qui justifient et supportent la culture de mort.
dans ce domaine, j'ai l'impression que morale chrétienne et morale musulmane se rejoignent
Un Nazi ? D'aucuns pourraient ne pas voir notre nation si éloignée, compte tenue de l'idéologie de nos SOCIALISTES nationaux, qui prennent en charge désormais l'Assassinat des plus petits à 100% par les caisses de "maladies" et jusqu'à 9 mois :
" L’interruption volontaire d’une grossesse peu à toute époque, être pratiquée si deux médecins membres d’une équipe pluridisciplinaire attestent, après que cette équipe a rendu son avis consultatif, soit que la poursuite de la grossesse met en péril grave la santé de la femme, soit qu’il existe une forte probabilité que l’enfant à naître soit atteint d’une affection d’une particulière gravité reconnue comme incurable au moment du diagnostic ». Dans ce cas, l’avortement est autorisé par la loi jusqu’au jour de la naissance, soit 9 mois. Ainsi En France, l’avortement d’un enfant est possible jusqu’au terme. ( Article L2213-1 du code de la santé publique).
" Tous les hommes et tous les esprits qui cherchent humblement la gloire de Dieu, non la leur, et qui le suivent avec piété, appartiennent à une même société. Et pourtant, dans son immense miséricorde, Dieu est patient à l’égard des impies et leur offre le moyen de faire pénitence et de s’amender ".
St Augustin. (De Catechizandis rudibus - 19° Chapitre).
La pensée unique empêche de débattre des questions de fond :
Philippe Pichot-Bravard : Aujourd’hui, il est permis de débattre sur les questions secondaires, sur les questions purement techniques, sur les aspects accessoires des grandes questions. Il est interdit de discuter des grandes questions elles-mêmes. Ainsi, dans une ville, il est permis de se demander si la nouvelle mosquée aura deux ou trois mille places, si elle sera construite dans tel quartier de la ville ou dans tel autre ; il est même permis de discuter sur la couleur de ses murs, blanc ou vert ; mais il est interdit de discuter du bien-fondé de la construction d’une mosquée dans la ville, car si vous vous y risquiez, l’étiquette infamante d’« islamophobe » vous exposerait immédiatement au pilori médiatique.
Au cours de la prochaine élection présidentielle, il sera interdit de discuter la pertinence de la politique migratoire. Il sera interdit de contester l’esprit de mai 1968 et les réformes qu’il a inspirées, notamment la récente loi Taubira dénaturant le mariage. Il sera interdit de remettre en cause l’avortement et son remboursement intégral par la sécurité sociale. Il sera interdit de discuter du bien-fondé de la politique commerciale de libre-échange. Il sera interdit de douter des bienfaits de la monnaie unique. Il sera interdit de critiquer l’Union européenne et son oligarchie bureaucratique si sensible aux arguments des groupes de pression, des entreprises multinationales et des grandes banques. Il sera interdit de réclamer la suppression des subventions versées aux associations idéologiques de copains.
En réalité, il n’y aura pas de débat parce que la puissance souveraine a été transférée à des instances supranationales, parce que la pensée est emprisonnée dans un carcan idéologique, parce que les dés sont pipés de sorte à porter à la tête de l’État le candidat préalablement choisi par les forces oligarchiques qui sont les véritables maîtres de notre pays.
R&N : Pouvez-vous nous donner un exemple ?
Philippe Pichot-Bravard : Illustration de cette absence de véritable débat ? Au printemps dernier, le Parlement, avec une discrétion remarquable a voté une loi permettant au Conseil Supérieur de l’Audiovisuel de mesurer les temps de parole des candidats à l’élection présidentielle non pas de manière égale mais en fonction du résultat obtenu par ces candidats lors de la dernière élection et de la cote que leur attribuent discrétionnairement les instituts de sondage.
Ainsi, la compétition est légalement verrouillée ; seuls les quatre ou cinq candidats présentés par les « grands partis » pourront se faire entendre à la télévision et à la radio. Les autres ne pourront qu’essayer de contourner l’obstacle au moyen d’Internet, sans pouvoir d’ailleurs échapper, au pilonnage de sondages, dont le rôle principal est de conditionner les électeurs et de canaliser leur choix vers ceux qu’ils leur désignent comme « favoris ». Cette loi illustre à quel point la démocratie française est un trompe-l’œil qui maquille de plus en plus mal la réalité oligarchique de notre gouvernement.
R&N : Les Français ne demeurent-ils pas attachés au pouvoir de choisir le chef de l’État ?
Philippe Pichot-Bravard : Les Français demeurent en effet attachés au pouvoir qui leur a été donné en 1962 de choisir le chef de l’État. Pourtant, ce pouvoir est un leurre. Aujourd’hui le pouvoir n’est plus exercé par la présidence de la République et par le Parlement mais par des instances supranationales, comme le groupe Bilderberg ou la Commission Trilatérale, fondée en 1973 par Rockefeller et Kissinger, véritable parlement oligarchique, composé d’hommes politiques, de grands patrons, de financiers de haut vol, cooptés, qui, deux fois l’an, se réunit pour déterminer les grandes axes de la « gouvernance mondiale ». Le président du Conseil européen dut ainsi subir de la part de cette commission un véritable entretien d’embauche avant d’être nommé. « Ce sont eux qui nous gouvernent », confia un jour à Philippe de Villiers le Premier Ministre François Fillon (Le Moment est venu de vous dire ce que j’ai vu, p. 322). Et Villiers d’ajouter : « En 2015, Alain Juppé a été agréé au Bilderberg qui s’est réuni en Autriche » (p. 323).
Le scénario de l’élection de 2017 est donc écrit. Les journalistes aux ordres et les instituts de sondage sont là pour guider, par leurs chiffres trafiqués et leurs commentaires, le vote des Français. Et chacun aura remarqué à quel point ils sont complaisants avec Alain Juppé, une complaisance dont l’ampleur n’a d’égale que le passif politique de l’ancien ministre des affaires étrangères (Rwanda, 1994 ; Libye, 2011). En janvier 2012, la décision des agences de cotation de dégrader la note de la France manifestait la volonté des milieux financiers d’affaiblir la candidature de Nicolas Sarkozy au profit de celle de François Hollande. Au même moment, le système médiatique s’acharnait sur le même Nicolas Sarkozy de manière aussi outrée qu’il l’avait porté aux nues en 2007. Il est très rare que le système oligarchique n’atteigne pas son objectif.
R&N : Existe-t-il une alternative bénéfique à la Cinquième République ?
Philippe Pichot-Bravard : La France traverse aujourd’hui une crise de régime. Les institutions de la cinquième République, à force d’avoir été déformées, sont complètement usées, ce qui n’a rien d’étonnant : établies dans un contexte particulier, elles ne se sont pas adaptées aux situations nouvelles qui sont apparues. Le personnel politique est lui aussi usé, à bout de souffle, à court d’idées. Et les plus jeunes n’échappent pas à cette usure. Ils sont, au bout de cinq ou dix ans de vie publique encore plus usés que ne l’étaient certains vieux briscards des années quatre-vingts qui avaient quarante ans de carrière derrière eux ! Ceux qui prétendent nous gouverner n’ont aucune vision, aucune liberté de parole, aucun sens du bien commun. Ils sont le plus souvent très éloignés des réalités de la vie quotidienne. Ils sont incapables d’imaginer les solutions pragmatiques et efficaces qui permettraient de répondre aux besoins réels des Français. Au contraire, trop souvent au cours de ces dernières années, ils ont donné aux Français le sentiment qu’ils les méprisaient. Trop souvent, ils nous ont trompés. Trop souvent, ils nous ont mentis. Ce mensonge généralisé a tué la confiance. Aujourd’hui, en France, plus personne n’a confiance en qui que ce soit. Non seulement le gouvernement est profondément déconsidéré, mais l’opposition l’est presque autant. La majorité des Français n’attendent rien d’elle.
Cette crise de régime suscite depuis quelques années une réflexion constitutionnelle. Certains préconisent une sixième République, laquelle ressusciterait en fait la quatrième dont nous savons à quel point elle fut impuissante à apporter des solutions efficaces aux difficultés que connaissait notre pays. Tout se passe comme si nous n’avions le choix qu’entre une république présidentielle et une république d’assemblée. Or il existe une autre voie possible qui pourrait permettre de porter remède à quelques-uns des maux qui minent notre société : la royauté tempérée, c’est-à-dire une royauté soumise au respect de lois fondamentales. Nous ne devrions pas négliger d’explorer cette possibilité.
R&N : Qu’est-ce qu’un Roi pourrait apporter à la France ?
Philippe Pichot-Bravard :
1-Le Roi incarne le principe de légitimité sans lequel l’autorité est sans cesse exposée à la discussion, à la contestation. Il incarne le principe d’autorité, dont l’absence se fait cruellement sentir. Il incarne un lien de transcendance sans lequel il n’y a pas d’autorité solide. Les Français doivent pouvoir estimer et respecter leur chef d’État. La détestation et le mépris qui entoure la personne du chef de l’État depuis plus de dix ans est gravement dommageable.
2-Le Roi incarne la continuité de l’État. Les gouvernements passent. Le Roi reste. Songez à la Reine Elizabeth qui règne sur le Royaume-Uni depuis plus de soixante-quatre ans. De par cette continuité, sa vision porte beaucoup plus loin, d’autant plus loin qu’il travaille pour la génération qui lui succédera. La royauté permettrait de s’extraire de l’immédiateté médiatique et d’inscrire l’action politique dans la durée.
3- Le Roi incarne l’unité nationale. Contrairement au président de la République qui est tributaire des forces qui l’ont porté à la magistrature suprême, qui ne représente qu’une minorité de Français, le Roi tient sa couronne de l’application mécanique des lois fondamentales de succession. Il est donc indépendant des forces politiques, médiatiques et financières. Contrairement au président de la République, il n’est pas l’homme d’un camp mais l’homme de la Nation toute entière. Il est, au-dessus des intérêts particuliers divergents, qu’il peut arbitrer, le garant du bien commun. Il ordonne les intérêts particuliers à la réalisation du bien commun.
4-Le Roi a pour mission de veiller à la préservation de l’indépendance nationale et à la défense vigilante des intérêts de la Nation. On l’a souvent oublié : les lois fondamentales du royaume avaient jadis pour objet principal de garantir l’indépendance de la Couronne, tant à l’égard des puissances extérieures, qu’à l’égard des intérêts particuliers, des grandes féodalités. Les règles de succession, ainsi que le principe d’inaliénabilité du domaine et les libertés de l’Église gallicane, avaient d’abord pour but de garantir cette indépendance. La monarchie est le régime qui permet le mieux à la France de tenir son rang dans le concert des nations et d’y défendre une vision géopolitique propre, conforme à son histoire et à ses intérêts. Songez au surcroît de prestige et de puissance que la Reine d’Angleterre procure au Royaume-Uni en étant placée à la tête du Commonwealth, en coiffant, outre la couronne d’Angleterre et d’Écosse, les couronnes du Canada, d’Australie et de Nouvelle-Zélande ! Lorsque l’on sait dans quelles conditions les gouvernements successifs ont, depuis 1990, bradé la souveraineté de la France, l’abandonnant à des institutions supranationales, au mépris de la volonté exprimée par le peuple, lorsque l’on réalise la nullité profonde de la politique étrangère menée par la France depuis plusieurs décennies lorsque l’on mesure l’influence exorbitante, destructrice, des grandes puissances financières, véritables nouvelles féodalités, nous ne pouvons que déplorer amèrement que la France n’ait pas à sa tête un homme indépendant, qui ne tienne son pouvoir de personne ici bas, un homme qui soit le gardien vigilant de la souveraineté française, qui puisse faire obstacle aux abandons de souveraineté, un homme qui confierait le soin de nos relations extérieures à des diplomates chevronnés ayant une vision claire des intérêts géopolitiques en présence, la volonté de faire entendre la voix de la France et non d’être les porte-voix d’intérêts allogènes.
5-Le Roi est le garant de la justice. Autrefois, toute la symbolique royale, toutes les institutions monarchiques étaient imprégnées de cette idée. De la justice qu’il servait, le Roi tirait sa légitimité. La justice nourrissait l’amitié qui le liait à ses peuples. La justice fortifiait la paix civile. Elle en était la condition. De ce devoir de justice, est né au XIIIe et au XIVe siècle, notre État de Justice, lointain ancêtre d’un État de Droit qui n’en est que la pâle copie, un État de Droit qui ne permet pas de faire régner la justice dans la société, qui applique des normes formelles sans se soucier de rechercher la solution la plus équitable, un État de Droit qui, par ailleurs, ne permet pas à la société française de se défendre efficacement contre ceux qui lui font la guerre.
La première mission est de faire régner la justice dans la société. Veiller à préserver les principes de la justice, à assurer l’indépendance effective de la magistrature, notamment des juges nommés au sein du conseil constitutionnel, à faire respecter l’autorité du droit naturel afin que la loi soit toujours juste, et non le caprice de majorités de contrebande, placerait le Roi dans la continuité historique de la mission justicière assumée pendant mille ans par ses ancêtres. Ce faisant, la royauté permettrait de couronner la définition de l’État de Droit en lui donnant la consistance qui lui fait encore défaut, tout en le dépouillant des scories idéologiques qui le défigurent et le privent d’efficacité face aux ennemis de la société.
6-La royauté permettrait ainsi de surmonter la crise de confiance qui affaiblit profondément notre pays depuis plusieurs décennies. Pour rétablir la confiance, il n’y a qu’une seule solution : il faut que ceux qui gouvernent s’appliquent, de manière exemplaire à faire régner dans le pays la justice. Seule une royauté statutaire, indépendante, encadrée par le Droit, ordonnée au règne de la justice, peut y parvenir.
Aujourd’hui, les Français, consciemment ou inconsciemment, sont des orphelins de Saint Louis.
Sur des questions telles que l'avortement, l'euthanasie, l'eugénisme actif de fait, le mariage gay, quel est le comportement des souverains dans les monarchies encore existantes en Europe ?
L'idéalisation de la royauté se heurte au fait que, quel que soit le régime politique, si la société se laisse gagner par des idées perverses, si les mœurs se dégradent, si l'exercice de la raison défaille, royauté ou république n'y pourront rien.
Nous produisons des Hugo de Jonge indépendamment des organisations politiques. Et Hugo de Jonge est même membre d'une Église chrétienne. C'est dure la profondeur de la corruption.
Pour ce qui est de la Monarchie Française la question est d'une limpidité exemplaire. (Il ne s'agit bien évidemment pas de la branche arrivant en 72, 73 ou 74° position).
Il n'est pas question d'une idéalisation de la Royauté. Il est question de légitimité et de légalité d'un pourvoir qui bien évidement reste un pouvoir humain, avec ses distensions. Mais dès lors qu'il s'égare, qu'il s'éloigne de toute transcendance il ne peut devenir que contreproductif et destructeur. Il n'aura pas fallut longtemps à la " république " pour s'effriter et s'effondrer, entraînant les populations dans le chaos actuel.
Il nous faut promouvoir cette Monarchie moderne, actuellement en re-construction, qui saura s'émanciper des idéologies parasites. Et cela passe par notre refus de complicité avec les leurres politico-démocratique actuels, particulièrement en 2017. (D'ou l'idée de millions de bulletins nuls, de tt façons les "jeux" sont faits) !!!
@GJV
Philipe Pichot Bravard donne bien l'exacte nature de la démocratie "moderne". Mais comme disait le Cardinal Pie, c'est la royauté de NS Jésus-Christ qu'il faut rechercher en premier.
Qu'a-t-on à faire avec des monarchies parlementaires? Ou pire, avec la monarchie anglaise qui a pouvoir sur la religion (grâce à Luther qui a voulu livrer l'Eglise au pouvoir temporel des princes) et qui est accointée avec la maçonnerie (comme toutes les monarchies actuelles, de l'Espagne au Danemark, de la Suède aux Pays-Bas, de la Belgique à la Norvège etc...).
Le refus systématique du règne du Christ-Roi a livré les pays ex-catholiques au pouvoir de Satan.
la monarchie anglaise n'a rigoureusement rien à voir avec Luther, et Henry VIII, qui avait reçu du pape le titre de Défenseur de la Foi, a fait allégrement bruler des protestants avant comme après son schisme; ce sont ses successeurs, son fils Edouard (ou plutôt le tuteur de celui-ci) puis sa fille Elizabeth qui se sont ralliés au protestantisme, mais à celui de Calvin, et Jacques Ier n'a rien changé à la doctrine quand il a réinventé un semblant d'épiscopat
@curmudgeon
sait-on à quelle église ou communauté religieuse appartient Hugo De Jonghe ?
@GJV
ne rêvons pas trop non plus
la monarchie n'est supportable que si la loi naturelle est respectée et les libertés des sujets également
croyez-vous que ce fut le cas pour l'annexion de la Bretagne, due au viol de la duchesse Anne par le roi Charles VIII, celui-ci étant en plus fiancé à la belle-fille de sa victime, viol camouflé par la suite en mariage régulier ?
croyez-vous que ce fut le cas par le viol par Louis XIV d'un grand nombre de libertés locales, ou par le procés truqué de bout en bout par lequel il se débarrassa du surintendant Fouquet, pour des raisons qui ne sont toujours pas établies, en se cachant derrière une cour de justice fabriquée sur mesure dont les membres n'osèrent même pas obéir aux ordres tant ils tourmentaient leur conscience ?
et ce ne sont que des exemples
@curmudgeon
sait-on à quelle église ou communauté religieuse appartient Hugo De Jonghe ?
@GJV
ne rêvons pas trop non plus
la monarchie n'est supportable que si la loi naturelle est respectée et les libertés des sujets également
croyez-vous que ce fut le cas pour l'annexion de la Bretagne, due au viol de la duchesse Anne par le roi Charles VIII, celui-ci étant en plus fiancé à la belle-fille de sa victime, viol camouflé par la suite en mariage régulier ?
croyez-vous que ce fut le cas par le viol par Louis XIV d'un grand nombre de libertés locales, ou par le procés truqué de bout en bout par lequel il se débarrassa du surintendant Fouquet, pour des raisons qui ne sont toujours pas établies, en se cachant derrière une cour de justice fabriquée sur mesure dont les membres n'osèrent même pas obéir aux ordres tant ils tourmentaient leur conscience ?
et ce ne sont que des exemples
A Théofrède :
L'article Wikipedia (en néerlandais) sur Hugo de Jonghe indique qu'il est marié, père de deux enfants, membre du parti CDA. Ce parti est présenté comme parti centriste de sensibilité chrétienne-démocrate :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Appel_chrétien-démocrate
Il est membre de la Protestantse Kerk in Nederland, (PKN), résultant d'une fusion en 2004, et qui est la deuxième Église après l'Eglise catholique aux Pays-Bas.
Sur cette Église PKN :
Sommairement en français :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Église_protestante_dans_les_Pays-Bas
Plus détaillé en anglais :
https://en.wikipedia.org/wiki/Protestant_Church_in_the_Netherlands
Il résulte de la présentation que cette Église à des femmes pasteur[.e.]s, bénit les "unions homosexuelles".
Mais elle offre d'autres particularités encore bien plus instructives :
"Research in 2007 concludes that 42% of the members of the PKN is a non-theist[13] Furthermore, in the Protestant Church in the Netherlands (PKN) and several other smaller denominations of the Netherlands, 1 in 6 clergy are either agnostic or atheist.[14][15] A minister of the PKN, Klaas Hendrikse has described God as "a word for experience, or human experience" and said that Jesus may have never existed.[14][16]".
Vu que M. de Jonghe est membre d'une dite Église dont les fidèles et même les ministres du culte (culte à on ne sait quoi) ne semblent pas accorder grand prix à la logique élémentaire (qui est fondée notamment sur la non-contradiction), on ne s'étonnera pas de son raisonnement hautement original sur l'enfant inexistant doté du droit à ne pas exister.
Et vogue la Nef des Fous !
Ce genre d'affirmation ressemble à un ballon d'essai. Cela avait commencé comme cela sur la PMA et la GPA..
Puisqu'on parle de questions de filiation et de "droit" ou non de mettre au monde, voici une intelligence autrement plus éclairée que celle de notre Saint Père, sur ces questions : Marie-Josèphe Bonnet, figure du mouvement féministe et homosexuel, citée par le Salon beige.
"Le don anonyme de sperme me choque, car, ainsi, on fabrique des enfants qui n'auront pas accès à la connaissance de leur origine. On n'a vraiment pas le droit de mettre un enfant au monde de la sorte, sachant que c'est important de savoir d'où l'on vient, pour se construire. Tous les enfants nés sont X deviennent, à un certain moment, obsédés par leur origine. Depuis l'aube des temps, ce n'est pas un problème de faire des enfants ! Et ça n'a jamais été non plus le choix des médecins. En réalité, dans la PMA, c'est le médecin qui, d'une certaine manière, va choisir le père. Donc les femmes acceptent que ce moment très important qu'est celui de faire un enfant leur échappe. C'est le pouvoir médical qui prend complètement la main sur la procréation et la maternité. Je trouve ça inquiétant, dans l'évolution de notre monde."
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/10/une-figure-du-mouvement-f%C3%A9ministe-et-homosexuel-contre-le-lobby-lgbt.html
Nazi ?
Vous vous foutez du monde.
Citez-moi un seul exemple de cette sorte sous le IIIe Reich.
Je vous rappelle que celui-ci était nataliste. Ce qui lui a été reproché pendant 70 ans.
Sous un régime de type national socialiste, pas plus la mise sous perturbateurs endocriniens des femmes que l'avortement n'auraient été possibles. D'ailleurs il faut quand même bien vous rappeler que la "pilule" et l'avortement n'ont pas été voulus et imposés par des Autrichiens membres du nsdap. Je vous rappelle aussi que la stérilisation avec implant des génitrices indésirables est une pratique juive israélienne sur des femmes noire africaines immigrées illégales y compris des falashas qui sont des immigrées légales.
Mais je suppose que vous ne vous sentiez pas trop de titrer "le juif de Rotterdam" ???
Et puis cette manie de la reductio ad nazificum... comédie ridicule à laquelle vous n'êtes pas tenu pour développer une argumentation réelle et sérieuse.
Ça y est ! Bon sang, mais c'est bien sûr ! C'est encore un coup des juifs !
Mais attention, hein, derrière les juifs, il y a l'Abominable Fu-Manchu.
http://thestalkingmoon.weebly.com/uploads/1/1/5/4/11544757/9598255_orig.png
@ Curmudgeon
Vous avez eu une enfance difficile ? Une digestion pénible ? Un réveil pâteux ?
A Dauphin :
La franc-maçonnerie en France, et aussi en Italie et en Espagne, a, en bonne partie, pris un cours violemment anti-chrétien. En Angleterre, les choses étaient différentes. Il z pu y avoir un de ces espèces de modus vivendi à la britannique que nous trouvons parfois pas très logiques.
D'où la possibilité de contempler George VI en habit maçonnique :
http://www.crossroad.to/images/12/people/king-george-VI.jpg
Pour en savoir plus sur l'attitude de l'Eglise anglicane envers la franc-maçonnerie :
http://www.anglican.ink/article/freemasonry-and-doctrine-church-england
à Curmudgeon
"La franc-maçonnerie en France, et aussi en Italie et en Espagne, a, en bonne partie, pris un cours violemment anti-chrétien"
Je dirais plutôt: "a pris un cours violemment anti-catholique".
En France, il y a beaucoup de protestants qui appartiennent à des loges athées, alors qu'ils y a des loges dites "théistes" ( qui ne sont pas plus "amicales" envers le catholicisme)
En Angleterre on peut dire que les loges et l'église anglicane se sont très bien entendus pour brimer les catholiques.