Pour la première fois depuis l’entrée en vigueur de la loi de 2014 sur la soi-disant « euthanasie » (la bonne mort, en grec), un mineur a été assassiné en Belgique. On ne sait pas qui, on ne sait pas quand, on ne sait pas pourquoi… Donc on n’en est pas vraiment fier…
« Il n'y a heureusement que très peu d'enfants qui entrent en considération, mais cela ne signifie pas que nous devrions leur refuser le droit à une mort digne », a déclaré le professeur Wim Distelmans, président de la Commission fédérale de contrôle et d'évaluation de l'euthanasie (le monsieur qui définit si un assassinat est une mort digne…).
Commentaires
Une mort "digne" s'oppose à une mort "indigne".
C'est bien ça ?