Selon un sondage OpinionWay publié par la Smerep (Société Mutualiste des Etudiants de la Région Parisienne, l’un des deux organismes de sécurité sociale étudiante), 6% des lycéennes de France ont déjà avorté au moins une fois, et en Ile-de-France c’est une sur dix. Plus de 20% sur toute la France ont eu recours au moins une fois à la « pilule du lendemain », 31% dans la région parisienne.
*
Conformément à ce qui avait été annoncé, l’Ordre des pharmaciens a abandonné le projet d’une clause de conscience dans son nouveau code de déontologie, adopté hier par le conseil national. Marisol Touraine avait averti que de toute façon le gouvernement n’accepterait aucune clause de conscience. Car il ne doit y avoir aucun frein à la culture de mort.
*
(Prochain rendez-vous de SOS Tout-Petits à Paris : le 10 septembre, à l'angle du boulevard Montparnasse et de l'avenue de l'Observatoire.)
Commentaires
puisque la grossesse est simplement "interrompue", quand doit-elle reprendre ?
pour avoir connu plusieurs femmes qui ont eu recours à un avortement, je vous confirme qu'aucune n'a pu s'accomplir comme mère, ni comme épouse.
@Juliana
Oui, vous avez raison, Hélas, l'avortement fait plusieurs victimes:
1)tue le bébé à naître
2) démolit les mères qui ont avorté, même les plus fanatiques ont des séquelles, malgré leurs dénégations. Ne parlons pas de celles qui ont été forcées par le conjoint, la famille, les médecins, l'entourage. ou mal conseillées par des prêtres.
3) blesse la fratrie (les survivants)
4) compromet dans un péché mortel collectif tous les pouvoirs: ils sont victimes de leur propre aveuglement qui les ménera en enfer.
Il n'y a que les satanistes du Planning "familial" et autres avorteurs pour nier les conséquences de l'avortement. Le nazisme et le communisme, c'était de la rigolade devant l'holocauste par avortement.
Il s'agit des "droits à la santé reproductive".
Quel monstre y trouverait à redire ?