Un bon commentaire de la déclaration commune de François et Cyrille :
Poutine : « Vous avez vu ? En un clin d’œil je l’ai fait devenir catholique, le pape. Ou je le casse en deux ! »
(« Io ti spiezzo in due » - avec le i ajouté dans le verbe, censé donner l’accent russe, est ce que dit, dans la version italienne de Rocky IV, le boxeur soviétique Ivan Drago à Rocky Balboa au début du match.)
Commentaires
On oublie souvent que l'humour aussi a été créé par Dieu.
Oui l'orthodoxie peut sauver l'Eglise, comme on voit quelque fois des enfants de vieux 68ards plus raisonnables que leurs parents.
Mgr Ghika disait non sans humour à la roumaine mâtiné de grec qu'il était devenu catholique par orthodoxie!
En tout cas et pour l'instant le patriarche Cyrille a le soutien (jusqu'à un certain point évidemment) de son chef d'état et la Russie derrière lui de facto, tandis que notre "pauvre" Pape est un "roi bien nu" et ce n'est pas en courtisant le Monde qu'il va le faire venir à lui... mais ne désespérons pas... car "c'est quand je suis faible, que je suis fort". Si le monde pouvait moins se servir de François, ce ne serait pas une mauvaise chose, Néanmoins un patriarche orthodoxe même le plus puissant de l'orthodoxie ne sera jamais aussi libre que le Pape, même un Pape mourant dans les geôles du Directoire comme Pie VI en 1799.
En l'occurrence, il s'agit de l'accent de l'Italie du sud, qui est celui d'Antonio Mastino, le journaliste italien auteur de l'image reproduite par le site Benoît-et-moi. Le "s" doit même être prononcé avec un léger "ch", ce qui donne "chpièzzo". J'en suis certaine car je suis italienne.
UN « PAPE » SOVIETIQUE.
Cuba: rencontre du Pape François avec Cyrille de Moscou
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UNE STRATEGIE RUSSE, TOUJOURS CONTRE L'UKRAINE Peu de publications traitant de l'Ukraine s'intéressent à la vie religieuse du pays. Or ignorer son empreinte et sa vivacité dans la vie quotidienne c'est comme nier la présence d'une tête sur un corps, une tête pas encore séparée du corps dans de nombreux pays de l'est européen, contrairement à nos pays déchristianisés (révolution française, loi de 1901, laïcisme et athéisme d'état) Nous prenons le temps d'évoquer la portée de cette rencontre à Cuba. Voici ce que nous écrivions il y a une semaine : Le Pape François rencontrera Cyrille patriarche de l'Eglise orthodoxe russe de Moscou, ce qui constituera une première historique. Cette rencontre aura lieu à Cuba le vendredi 12 février. On ne connait pas le sujet des discussions, mais on peut imaginer une énième tentative moscovite pour échafauder un plan d'élimination-assimilation de l'Eglise gréco-catholique d'Ukraine. Ce vendredi 12/02/2016 : A l'issue de cette rencontre de prés de trois heures, une déclaration commune entre le Pape et Cyrille est publiée sous la forme de trente paragraphes. Selon le site liveuamap, le patriarche gréco-catholique Svyatoslav aurait déclaré dés samedi : "les gens se sentent trahis par le Vatican". Entendons par là, non seulement les gréco-catholiques, mais également les églises orthodoxes d'Ukraine qui se sont séparées de l'omnipotence moscovite et qui tentent un rapprochement avec le patriarcat de Constantinople, voire même avec les gréco-catholiques.
Nous reproduisons les 4 articles qui concernent l'Ukraine.
Ils constituent ni plus, ni moins une sentence de mort contre les gréco-catholiques d'Ukraine(5 millions de fidèles en Ukraine) condamnés à devenir une religion circonstancielle et fossile dont le témoignage, jusqu'au sang de ses martyrs, aurait été une fausse route sur le chemin de l'unité. L'unité de l'Eglise du Christ autour du siège romain de Saint Pierre est décrite ici comme n'étant pas l'unité recherchée, (pourtant voulue par le Christ lui-même, "Tu es Pierre, et sur cette pierre Je bâtirai mon Eglise")- Pour un catholique on nage ici en plein relativisme religieux et en plein syncrétisme. Ces faits sont graves pour l'avenir de l'Ukraine et pour le catholicisme en général. Mais plus encore, à travers ce texte le Pape soutient et confirme la suprématie de l'église orthodoxe de Moscou en Ukraine, coupant ainsi l'herbe sous les pieds des autres églises orthodoxes d'Ukraine (considérée avec dédain dans ce texte comme des "communautés ecclésiales") dont les relations avec l'église catholique d'Ukraine se sont réchauffées depuis l'invasion du pays et l'appel à la défense de la patrie ukrainienne. Ajoutons à cela l'image d'une église orthodoxe moscovite en perte de vitesse en Ukraine (refus de ses religieux en Ukraine de prier et faire prier pour l'armée nationale, fidèles et religieux scandalisés rejoignant le patriarcat de Kyiv) Enfin, Kyrill vient chercher auprès du Vatican une forme de reconnaissance de son leadership dans toute l'orthodoxie orientale, un leadership mis à mal par le patriarche œcuménique Bartholémée de Constantinople. Ce dernier semble avoir une certaine sollicitude envers les églises orthodoxes ukrainiennes qui cherchent une reconnaissance canonique.
(http://euromaidanpress.com/…/third-rome-to-meet-first-rome…/)
voici les extraits (traduction de Radio Vatican): 24. Orthodoxes et catholiques sont unis non seulement par la commune Tradition de l’Eglise du premier millénaire, mais aussi par la mission de prêcher l’Evangile du Christ dans le monde contemporain. Cette mission implique le respect mutuel des membres des communautés chrétiennes, exclut toute forme de prosélytisme. Nous ne sommes pas concurrents, mais frères : de cette conception doivent procéder toutes nos actions les uns envers les autres et envers le monde extérieur. Nous exhortons les catholiques et les orthodoxes, dans tous les pays, à apprendre à vivre ensemble dans la paix, l’amour et à avoir « les uns pour les autres la même aspiration » (Rm 15, 5). Il ne peut donc être question d’utiliser des moyens indus pour pousser des croyants à passer d’une Eglise à une autre, niant leur liberté religieuse ou leurs traditions propres. Nous sommes appelés à mettre en pratique le précepte de l’apôtre Paul : « Je me suis fait un honneur d’annoncer l’Évangile là où Christ n’avait point été nommé, afin de ne pas bâtir sur le fondement d’autrui » (Rm 15, 20).
25. Nous espérons que notre rencontre contribuera aussi à la réconciliation là où des tensions existent entre gréco-catholiques et orthodoxes. Il est clair aujourd’hui que la méthode de l’« uniatisme » du passé, comprise comme la réunion d’une communauté à une autre, en la détachant de son Eglise, n’est pas un moyen pour recouvrir l’unité. Cependant, les communautés ecclésiales qui sont apparues en ces circonstances historiques ont le droit d’exister et d’entreprendre tout ce qui est nécessaire pour répondre aux besoins spirituels de leurs fidèles, recherchant la paix avec leurs voisins. Orthodoxes et gréco-catholiques ont besoin de se réconcilier et de trouver des formes de coexistence mutuellement acceptables. 26. Nous déplorons la confrontation en Ukraine qui a déjà emporté de nombreuses vies, provoqué d’innombrables blessures à de paisibles habitants et placé la société dans une grave crise économique et humanitaire. Nous exhortons toutes les parties du conflit à la prudence, à la solidarité sociale, et à agir pour la paix. Nous appelons nos Eglises en Ukraine à travailler pour atteindre la concorde sociale, à s’abstenir de participer à la confrontation et à ne pas soutenir un développement ultérieur du conflit.
27. Nous exprimons l’espoir que le schisme au sein des fidèles orthodoxes d’Ukraine sera surmonté sur le fondement des normes canoniques existantes, que tous les chrétiens orthodoxes d’Ukraine vivront dans la paix et la concorde et que les communautés catholiques du pays y contribueront, de sorte que soit toujours plus visible notre fraternité
chrétienne.http://fr.radiovaticana.va/…/la_d%C3%A9claration_co…/1208119 A la lecture de ces 4 paragraphes nous constatons que chaque mot est choisi à dessein. Il est évident que Moscou est monté d'un cran dans cette lutte contre l'Ukraine. L'occasion de se "payer" les gréco-catholiques d'Ukraine et les orthodoxes ukrainiens patriotes était révée, arrivée à point nommé, une occasion "historique" d'humilier ces églises et de renverser l’opprobre des masses occidentales sur la Russie contre les ukrainiens. Une mayonnaise qui fait mouche dans de nombreux milieux de droite le plus souvent areligieux, mais également dans une frange importante de milieux catholiques traditionalistes aveuglés par leur utopie géopolitique pro-russe, cantonnée le plus souvent dessous la ceinture.
NB . Il est clair qu’il n’y a plus de pape sur le trône de Rome ….Mais un agent du KBG !
Le prétendu pape françois est un pape soviétique …
Déjà le fait pour Benoît XVI de démissionner et de laisser la place à un jésuite progressiste -- qui a d’ailleurs une sale gueule, toujours se méfier des gens qui ont une sale gueule – était un fait inouï, puisque François lui a demandé de gouverner avec lui. Ce pape à deux têtes, une droite une gauche, comme Janus, déclarait la fin de la papauté de Rome. Toutes les initiatives et les mots d’ordre du pseudo-pape françois étaient dès le début fortement teintées de sympathies pour les propagandes gauchistes et communistes. Il vient de jeter le masque, en prenant parti contre l’Ukraine et les gréco-catholiques (ou gréco-ruthènes) intensément anti-bolcheviques. …Il est clair que la tête de la chrétienté est aujourd’hui à Constantinople, puisque Rome n’a plus de pape ou bien en a un de trop !!!
Le Figaro. Les dirigeants gréco-catholiques ukrainiens se sentent "trahis" par le Vatican (NB Ils ont bien raison !) après la rencontre historique entre le pape François et le patriarche orthodoxe russe Kirill et leur déclaration conjointe, qu'ils jugent "controversée" sur le conflit dans l'Est séparatiste prorusse de l'Ukraine.Le texte de la déclaration commune qui appelle notamment les Eglises orthodoxe et catholique en Ukraine à "s'abstenir à participer à la confrontation et ne pas soutenir le développement ultérieur du conflit" dans l'Est "a suscité une déception profonde parmi de nombreux fidèles de notre Eglise et citoyens ukrainiens", a déclaré le primat de l'Eglise gréco-catholique (uniate) d'Ukraine, Mgr Sviatoslav Chevtchouk, cité sur le site officiel de l'Eglise. De nombreuses personnes m'ont contacté pour me dire qu'elles se sentaient trahies par le Vatican, déçues par les demi-vérités dans le texte et par un soutien indirect du Saint-Siège à l'agression contre l'Ukraine", a-t-il poursuivi. Selon Mgr Sviatoslav, cette déclaration laisse entendre que l'Ukraine est le théâtre d'un "conflit civil" et "non de l'agression du pays voisin". Kiev et les Occidentaux accusent la Russie d'avoir instigué le conflit dans l'Est qui a fait plus de 9.000 morts depuis avril 2014, de soutenir militairement les rebelles et d'y avoir déployé des troupes régulières. En Ukraine, les rebelles sont en majorité des orthodoxes rattachés au patriarcat de Moscou et se battent contre d'autres orthodoxes et contre les gréco-catholiques (uniates) rattachés à Rome. Les gréco-catholiques ont rejoint l'Eglise catholique dans le sillage du métropolite de Kiev au XVIe siècle. Ils ont conservé la liturgie et les coutumes orthodoxes, notamment l'ordination des hommes mariés à la prêtrise. Persécutés par les orthodoxes russes, ils ont nourri le nationalisme ukrainien contre la Russie. En 1945, accusés de collaboration avec les Allemands, les gréco-catholiques ukrainiens furent forcés de fusionner avec l'Eglise orthodoxe russe contrôlée par Staline. Leur Eglise perdit son indépendance, et ne la retrouva qu'en 1991, à la chute de l'Union soviétique. Depuis, une hostilité tenace oppose les gréco-catholiques ukrainiens et les orthodoxes russes, et se double d'un conflit politique dopé par le nationalisme ukrainien. Le conflit "uniate" était un des points de discorde empêchant le dialogue entre l'Eglise catholique et l'Eglise orthodoxe russe. Mais le pape François a refusé d'exprimer une condamnation directe de la politique russe en Ukraine, comme le souhaitaient les gréco-catholiques. Au contraire, en plaidant la neutralité, et en appelant les Ukrainiens à se réconcilier et à cesser une guerre entre "frères" chrétiens, le Saint-Siège a gagné la confiance de l'Eglise orthodoxe russe. Le pape François et le patriarche Kirill se sont entretenus vendredi à Cuba, première rencontre entre les chefs des deux plus grandes confessions chrétiennes depuis près de 1.000 ans.
NB Je souligne que le patriarche Kirill n’est pas plus patriarche que vous et moi, l’église de Moscou ayant été fondée contre la volonté du patriarche de Constantinople par le tsar Ivan 1er. C’est un simulacre et une mascarade. C’est le patriarcat de Kiev qui est l’authentique patriarcat des Slaves orientaux orthodoxes.
charge typique des orthodoxes russes contre l'Eglise catholique ; c'est traditionnel
on y trouve en plus des inexactitudes historiques : ce n'est pas un tsar Ivan Ier (dont le titre était d'ailleurs grand-prince, le premier tsar ayant été Ivan IV, qui a créé le patriarcat de Moscou, c'est le tsar Boris, des siècles plus tard, en parfaite conformité avec le droit canon orthodoxe, sinon il serait considéré comme schismatique par les autres églises: quant aux différents patriarcats de Kiev (on ne sait plus très bien combien il y en a) ils ont tous été créés depuis la chute de l'Union soviétique et, eux, sont bien considérés comme schismatiques par les autres églises orthodoxes
Quand on écrit on s’expose à ne pas être compris des sots et des ignorants, ou pire ou à voir son message détourné de son sens par des gens qui d’ailleurs se cachent derrière des pseudo ridicules, comme Théophrène (C’est Pierre qui Fresnay, et Charles qui Trénet !). Lire que ceci est le discours des orthodoxes russes est hallucinant quand toute l’argumentation tend à démontrer, peut-être à tort, qu’il n’y a pas d’orthodoxes russes à Moscou puisque l’église orthodoxe russe de Moscou n’est pas canonique. Celle de Nice est soumise à Constantinople, donc canonique.
Quant aux « inexactitudes historiques » il s’agit simplement d’un raccourci pour gagner du temps et de la place. Oui, Jean 1er la bourse était grand-duc de Maskva en Zalessie, mais c’est la même lignée d’agression et d’usurpation qui attire le patriarche de Kiev à Vladimir puis à Maskva c’est les mêmes, la même politique qui au XVIe siècle est poussée par Boris Goudounov à placer Jonas sur le siège du Patriarche de Maskva créé frauduleusement et appelé faussement « de toute la Rous’ » pour la circonstance, contre l’aval du Patriarche de Constantinople. C’est la même lignée, celle des Ivan, qui de Ivan III à Ivan IV passe du statut de Grand Prince à celui, usurpé et auto-proclamé de Tsar. Plus tard, c’est le tsar Pierre le grand qui supprime le patriarcat russe et le remplace par le saint-synode à l’imitation des réformés protestants, car lui-même est un allemand. Je n’y reviendrai plus, n’ayant pas de temps à perdre. AB
en dénaturant et tournant en ridicule le nom d'un saint martyr, cet individu démontre parfaitement le caractère satanique de son inspiration
Je comprends qu vous ne soyez pas content, mais ne mettez pas Satan partout... Restez calme et courtois.
dans le catéchisme que j'ai appris, il est vrai que c'était avant le dernier concile, manquer de respect envers un saint était un blasphème, c'est à dire un péché grave, c'est à dire l'œuvre de Satan
il est vrai que, s'agissant d'un martyr victime de nos "frères" musulmans, je contreviens au padamalgam et au politiquement correct; pourtant, même le pape actuel a canonisé ou béatifié des victimes de musulmans
je me permets de signaler au pas sot et pas ignorant Alain Balalas que saint Théofrède est un saint abbé mis à mort par des pillards sarrazins; je crois d'ailleurs qu'il figure dans le martyrologe byzantin, son martyre ayant eu lieu avant le schisme de Photius; je ne vois pas très bien ce que le nom d'un saint martyr peut avoir de ridicule
je ne m'étendrais pas sur les approximations canoniques de ce monsieur, mais lui apprendrai quand même que Pierre le Grand était purement russe; sa seconde femme étant sans doute lithuanienne ou polonaise, et il faut chercher dans sa descendance pour trouver des alliances allemandes;
il est vrai qu'il était le seul ancêtre russe de Nicolas II, la quasi-totalité des autres étant allemands, avec quelques réfugiées huguenotes; et bien sur Marthe Skavronska dite Ekaterina I
Ivan IV, lui, n'avait pratiquement pas d'ancêtres russes, mais des lithuaniens se disant tatars d'origine, des serbes, des grecs et des italiens
J'adresse mes humbles excuses à saint Théofrède. J'avais lu avec mes yeux de vieux -- c'est le privilège de l'âge-- Théofrène.
Je remercie Yves Daoudal qui sait de qui il parle, d'avoir modéré le " zèle amer"de notre anathématisateur déchaîné. Ceci dit, comme dirait Bouteflika, c'est me faire beaucoup d'honneur de me traiter de shaïtan, Sauf s'il s'agit du porteur de lumière des psaumes: " Lucifer qui nescit occasum" qui n'a pas connu la chûte.
Enfin : Je maintiens que Pierre 1er étant un Romanov n'était pas russe, pour deux raisons. les Romanov (Alexis ) s'appelaient Kochkine et c'étaient des barons baltes venus d'Allemagne par la Prusse orientale. Deuxièmement la Russie n'existait pas, puisque c'est lui qui l'a créée. Donc il est ou Rhoss ou Rouss' . Quant à Maria, elle était si ardente qu'on n'a jamais su de qui elle tenait Pierre, lui-même en doutait. On lui a même prêté comme père le patriarche Nikkon... Mais vous savez tout ça mieux que moi !
pardon, pas Marie, Nathalie, toujours mes yeux de vieux !
quand on a de mauvais yeux, on, porte des lunettes
cela n'est pas une excuse pour avoir comparé un saint abbé martyr au pédéraste Charles Trénet
Satan, quelque soit la façon dont on écrive son nom, n'a jamais signifié porteur de lumière, mais adversaire; je constate toujours cette manie de s'en prendre aux saints : il existe un saint Lucifer, archevêque de Cagliari
quant aux Romanov, qui se sont aussi appelé Kochkine, mais aussi Zakhariine, ils n'ont jamais été barons baltes; le premier connu était en effet un aventurier allemand, mais pendant les siècles qui le séparent de Pierre le Grand, ses descendants avaient fait beaucoup de mariages russes et le sang allemand devait être pus que dilué, de même que le sang russe chez son descendant Nicolas II; quant à savoir qui était son père, si ce n'était pas Alexis ... mais je ne pense pas, si, comme vous le proposez, c'était le patriarche Nikhon, que celui-ci ait été allemand