La messe de minuit célébrée par le cardinal Raymond Burke en l’église de la Trinité des Pèlerins (paroisse de la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre, Rome).
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La messe de minuit célébrée par le cardinal Raymond Burke en l’église de la Trinité des Pèlerins (paroisse de la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre, Rome).
Commentaires
Un peu de futurologie ecclésiastique: Le cardinal serait élu sous le nom de Clément (voir: l' Année de la Miséricorde) XV et une de ses premières décisions serait la suppression de la S.J.
Quel serait l'intérêt de supprimer quoi que ce soit ?
Pensons plutôt à la méthode des Rois de France : si une institution dévie de sa vocation originelle et tombe en décadence, alors il faut fonder à côté une nouvelle institution et laisser l'ancienne s'enfoncer dans sa décadence jusqu'à ce qu'elle meurt d'elle-même (ou dans l'hypothèse plus positive, qu'elle se ressaisisse à temps et renaisse sous l'influence positive de la nouvelle institution).
Pourquoi supprimer la Compagnie de Jésus ? Il existe déjà les Légionnaires du Christ et l'Opus Dei qui sont une nouvelle version de la SJ ramenée à ses racines. La SJ renaîtra en imitant ces nouveaux mouvements ou sinon elle disparaîtra d'elle-même autodétruite par sa propre décadence interne sans qu'on ait besoin de rien faire de l'extérieur pour la faire tomber ...
Patience...