La nouvelle religion laudatosienne a déjà sa liturgie, et même le rite de vénération épiscopale de Mère Terre.
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La nouvelle religion laudatosienne a déjà sa liturgie, et même le rite de vénération épiscopale de Mère Terre.
Commentaires
C'est une baudruche. Un coup de couteau, et vlan ! ça se dégonfle.
Sacrilège !
L'Église-qui-est-en-France apprend à fabriquer des magnets de la création pour décorer son frigo
http://www.eglise.catholique.fr/wp-content/uploads/sites/2/2015/08/Magnets_des_gardiens_du_jardin_de_Dieu_SNCC-CEF.pdf
Si la hiérarchie catholique se met à adorer "la mère terre" comme si elle embrassait les pieds du Christ, nous serions témoin en direct de la fin de la Rome apostolique... est-ce bon Dieu possible ? Où irions-nous Seigneur maintenant ?
Il n'y a là rien de très exotique, malheureusement, le culte de la mappe-monde est depuis très longtemps implanté dans les "catéchèses","liturgies-pour-les-jeunes" et autres défilés de panneaux "signifiants" (au bas des autels, ou dans les bras des "zenfants" souvent avec la collecte obligatoire pour le plus que douteux CCFD)
"tu nous appelle à t'aimer, en aimant le monde où tu nous envoie..."
Mais ce monde là, n'a jamais été celui pour lequel, parole du Seigneur selon saint Jean, le Christ ne prie pas.
l'hypothèse gaïa, menant tout droit à l'hypothèse gaga, c'est le gâtisme obligatoire, pour tous les adeptes.
Aussi pas question de prendre des épiscopes qui sucrent les fraises pour des Saints Jean bouche-d'Or, ou des Saints Martin.
Le ridicule ne tue plus. autrement ces grotesques guignols seraient tous morts.
Cérémonie à San Marcos Sierras . Cour des Gentils en Argentine , organisé par le Forum œcuménique social , avec la participation du cardinal Gianfranco Ravasi, président du Conseil pontifical pour la Culture , sœur Thérèse Varela , vice-président du Forum Social œcuménique et président de la Fondation Espoir du Mission , et représentants des peuples autochtones .
https://www.youtube.com/watch?v=qCtMAH0KTmU
Autrefois, les missionnaires "baptisaient" les lieux de culte païens pour christianiser des pratiques populaires.
Par exemple, on ne compte pas les fontaines "sacrées" dès l'antiquité qui ont reçu un nom chrétien, Certaines ont été le siège d'un ermitage. Dans ce cas, elles ont assez souvent été dotées d'une chapelle de pèlerinage.
Sauf erreur, la pastorale d'ouverture contemporaine choisit de prendre le contrepied des choix pastoraux de nos anciens. Il y a de quoi rester perplexe.
Serait-ce finalement, assez bêtement, par simple esprit de contradiction ?