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N'oubliez pas qui est derrière ces pourris de pseudos anti-racistes de SOS Racisme, la Licra et le MRAP et vous aurez tout compris.
Si un salaud ou un terroriste est musulman ou juif, vous n'avez plus le droit de la traiter de salaud ou de terroriste, ils sont assurés d'une impunité totale. Par contre un blanc français vous pouvez le traiter de ces qualificatifs même s'ils ne le sont pas, vous serez félicité. Mais tout cela va leur retomber sur la figure, au moment même où ils penseront avoir gagné.
Bonjour et bon dimanche,
1. A leur place, je n'aurais pas écrit "au milieu", mais "entre", dans la mesure ou "au milieu de" peut vouloir dire "au sein de", alors qu'il semble qu'ils aient plutôt voulu dire : "entre (les deux extrémismes que sont) l'extrême-droite nationaliste et l'extrême-droite djihadiste", etc...
2. Je me trompe sans doute, mais je crois que cette catégorisation diabolisatrice sonne un peu creux et faux, car il me semble que l'extrême-droite nationaliste s'oppose avant tout, mais pas seulement, à l'extrême-gauche internationaliste, le coup de génie de certains inducteurs d'intérêts ou d'opinions ayant été d'avoir recruté ou retourné des leaders d'extrême-gauche internationaliste, en direction et au service de l'atlantisme états-unien, et ce des deux côtés de l'océan Atlantique, mais c'est (presque) "une autre histoire"...
3. Que dire de plus, sinon ceci : si l'extrême-droite nationaliste est à combattre, l'extrême-gauche internationaliste est, elle-aussi, à combattre ; si le djihadisme (d'extrême-droite ?) est à combattre, le salafisme (d'extrême-gauche ?) est, lui-aussi, à combattre.
4. A propos de l'islamisme, beaucoup s'expriment en effet, non seulement comme s'il n'avait rien à voir avec l'islam, mais aussi comme s'il se réduisait au djihadisme ; mais non : l'islamisation qui se produit sous nos yeux, et sur notre sol, ne passe pas avant tout ni seulement par l'islamisation d'une partie de la violence quotidienne : elle passe avant tout par l'islamisation d'une partie de la vie quotidienne, de l'esprit public, du corps social, notamment par islamisation alimentaire, vestimentaire, par islamisation de certains horaires et de certains espaces, par islamisation de la relation à certains services publics (l'éducation, la santé).
5. Avec SOS Racisme, nous sommes en présence de défenseurs de la liberté, de l'égalité, de la fraternité ; est-ce de ma faute
- si la véritable liberté s'oppose à la fois à l'autoritarisme et au libertarisme,
- si la véritable égalité s'oppose à la fois aux inégalités asservissantes (toutes ne le sont pas !) et à l'égalitarisme (asservissant d'une manière bien plus perverse et subtile),
- si la véritable fraternité s'oppose à la fois à l'adoration ou à la soumission, pacifiste, face à l'autre, même quand il est musulman non djihadiste, et à la détestation, ou à la violence, belliciste, contre l'autre, même quand il est d'extrême-droite nationaliste ?
6. Mais aussi, est-ce de ma faute si ce que l'on trouve dans la Charia, dans le Coran, pour le dire prudemment, ne semble vraiment pas spontanément ni totalement compatible avec la véritable liberté, la véritable égalité, la véritable fraternité ?
Il est "vrai" qu'il est impossible que des musulmans non djihadistes puissent être des adversaires de la démocratie, puisque (suis-je bête !), ils ne sont ni d'extrême-droite nationaliste, ni d'extrême-droite djihadiste...
Bon dimanche.
A Z
J'avais remarqué in petto qu'en effet ce n'était pas "au milieu de", mais "entre". Ils ne savent plus écrire français. Et ça fait partie du problème.
Pas sûr que ce délire sur une "extrême-droite" jihadiste, un concept schizophrène de la plus pure absurdité, fasse recette.
n'entrons pas dans leur vocabulaire : le concept d'extrême-droite ne veut plus rien dire depuis longtemps, si jamais il fut un temps où il a signifié quelque chose, et n'est qu'une machine à stigmatiser l'ennemi; Manuel Valls en fait régulièrement une parfaite démonstration
n'empruntons pas leur vocabulaire : le concept d'extrème-droite ne signifie plus rien si par hasard il a voulu dire quelque chose dans le passé : j'imagine mal Charles Maurras et Adolf Hitler la main dans la main, même si ce fut le jugement d'un "tribunal' de la "Libération"; cela sert simplement à stigmatiser, avec un mot qui ne veut rien dire, les adversaires de la gauche : Manuel Valls en apporte régulièrement la preuve
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N'oubliez pas qui est derrière ces pourris de pseudos anti-racistes de SOS Racisme, la Licra et le MRAP et vous aurez tout compris.
Si un salaud ou un terroriste est musulman ou juif, vous n'avez plus le droit de la traiter de salaud ou de terroriste, ils sont assurés d'une impunité totale. Par contre un blanc français vous pouvez le traiter de ces qualificatifs même s'ils ne le sont pas, vous serez félicité. Mais tout cela va leur retomber sur la figure, au moment même où ils penseront avoir gagné.
Bonjour et bon dimanche,
1. A leur place, je n'aurais pas écrit "au milieu", mais "entre", dans la mesure ou "au milieu de" peut vouloir dire "au sein de", alors qu'il semble qu'ils aient plutôt voulu dire : "entre (les deux extrémismes que sont) l'extrême-droite nationaliste et l'extrême-droite djihadiste", etc...
2. Je me trompe sans doute, mais je crois que cette catégorisation diabolisatrice sonne un peu creux et faux, car il me semble que l'extrême-droite nationaliste s'oppose avant tout, mais pas seulement, à l'extrême-gauche internationaliste, le coup de génie de certains inducteurs d'intérêts ou d'opinions ayant été d'avoir recruté ou retourné des leaders d'extrême-gauche internationaliste, en direction et au service de l'atlantisme états-unien, et ce des deux côtés de l'océan Atlantique, mais c'est (presque) "une autre histoire"...
3. Que dire de plus, sinon ceci : si l'extrême-droite nationaliste est à combattre, l'extrême-gauche internationaliste est, elle-aussi, à combattre ; si le djihadisme (d'extrême-droite ?) est à combattre, le salafisme (d'extrême-gauche ?) est, lui-aussi, à combattre.
4. A propos de l'islamisme, beaucoup s'expriment en effet, non seulement comme s'il n'avait rien à voir avec l'islam, mais aussi comme s'il se réduisait au djihadisme ; mais non : l'islamisation qui se produit sous nos yeux, et sur notre sol, ne passe pas avant tout ni seulement par l'islamisation d'une partie de la violence quotidienne : elle passe avant tout par l'islamisation d'une partie de la vie quotidienne, de l'esprit public, du corps social, notamment par islamisation alimentaire, vestimentaire, par islamisation de certains horaires et de certains espaces, par islamisation de la relation à certains services publics (l'éducation, la santé).
5. Avec SOS Racisme, nous sommes en présence de défenseurs de la liberté, de l'égalité, de la fraternité ; est-ce de ma faute
- si la véritable liberté s'oppose à la fois à l'autoritarisme et au libertarisme,
- si la véritable égalité s'oppose à la fois aux inégalités asservissantes (toutes ne le sont pas !) et à l'égalitarisme (asservissant d'une manière bien plus perverse et subtile),
- si la véritable fraternité s'oppose à la fois à l'adoration ou à la soumission, pacifiste, face à l'autre, même quand il est musulman non djihadiste, et à la détestation, ou à la violence, belliciste, contre l'autre, même quand il est d'extrême-droite nationaliste ?
6. Mais aussi, est-ce de ma faute si ce que l'on trouve dans la Charia, dans le Coran, pour le dire prudemment, ne semble vraiment pas spontanément ni totalement compatible avec la véritable liberté, la véritable égalité, la véritable fraternité ?
Il est "vrai" qu'il est impossible que des musulmans non djihadistes puissent être des adversaires de la démocratie, puisque (suis-je bête !), ils ne sont ni d'extrême-droite nationaliste, ni d'extrême-droite djihadiste...
Bon dimanche.
A Z
J'avais remarqué in petto qu'en effet ce n'était pas "au milieu de", mais "entre". Ils ne savent plus écrire français. Et ça fait partie du problème.
Pas sûr que ce délire sur une "extrême-droite" jihadiste, un concept schizophrène de la plus pure absurdité, fasse recette.
n'entrons pas dans leur vocabulaire : le concept d'extrême-droite ne veut plus rien dire depuis longtemps, si jamais il fut un temps où il a signifié quelque chose, et n'est qu'une machine à stigmatiser l'ennemi; Manuel Valls en fait régulièrement une parfaite démonstration
n'empruntons pas leur vocabulaire : le concept d'extrème-droite ne signifie plus rien si par hasard il a voulu dire quelque chose dans le passé : j'imagine mal Charles Maurras et Adolf Hitler la main dans la main, même si ce fut le jugement d'un "tribunal' de la "Libération"; cela sert simplement à stigmatiser, avec un mot qui ne veut rien dire, les adversaires de la gauche : Manuel Valls en apporte régulièrement la preuve