Un Marocain soupçonné d’avoir participé à l’attentat du musée Bardo en Tunisie, qui a fait 22 morts le 18 mars, a été arrêté mardi soir dans la région de Milan.
Il était l’un des 642 « migrants » secourus par la marine militaire italienne le 17 février et débarqués à Porto Empedocle. On avait pris sa photo et ses empreintes digitales et on lui avait donné bien entendu une injonction à quitter le territoire.
Lundi, la veille de l’arrestation de ce Marocain, le président du groupe socialiste, l’Italien Gianni Pittella, avait balayé d’un revers de main l’avertissement que venait d’adresser le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg sur le risque de voir des terroristes se mêler aux migrants, en affirmant : « Après avoir parlé avec le directeur de Frontex, il est nécessaire de souligner qu’il n’y a pas et qu’il n’y a pas eu jusqu’ici de preuve de la présence de terroristes parmi les migrants. »
Quant au ministre italien de l’Intérieur, il assume « le risque ». Ou plus exactement il fait assumer le risque par le peuple italien, au nom de la démocratie :
« Il ne serait pas raisonnable, compte tenu des dimensions et des modalités du phénomène migratoire, de penser que notre pays n’est pas exposé à ce risque. Nous sommes une grande démocratie, et une grande démocratie est exposée à des risques. Le gouvernement a le sérieux et la sérénité de les affronter au mieux. »
Il sera peut-être bon de ne pas oublier ces propos… Ou de lui demander d’ores et déjà jusqu’à combien de morts une démocratie assume le risque.
Commentaires
Preuve que les autochtones n'ont plus aucune valeur. Par ailleurs c'est comme un génocide programmé sur l'autochtone européen, par les propres responsables de l'Europe. Ils peuvent prendre des leçons pratiques, avec et par les personnes ayant fait le génocide tutsi au Rwanda, ils sont pratiquement tous réfugiés en Europe. Ils étaient très organisés 1 million de morts en trois semaines, Hitler est battu là.
Entièrement d'accord avec vous. Et au Rouanda les mondialistes ont réussi à déclencher le génocide de catholiques contre des catholiques. Avec le mythe démocratique après l'indépendance de 1962qui voulait que la majorité hutu (80 %) gouverne le pays en brimant la minorité tutsi (20 %). La moitié des Tutsis a été massacrée et des Hutus modérés en prime, avec la complicité active de l'occident. Quel bonheur pour les mondialistes, faire tuer des catholiques entre eux!
il y a longtemps que l'on sait que la République est une idole sanguinaire, et que sa fille la Démocratie a de qui tenir