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Les ravages de l’antiracisme

Après une longue course poursuite de policiers de Bardstown, dans le Kentucki, pour arrêter un voleur de camion, une bagarre a éclaté entre le voleur et un policier. Le forcené a essayé de voler l’arme du policier. Celui-ci a tiré, et le voleur est grièvement blessé.

Réaction du shérif, à propos du voleur, lors de sa conférence de presse :

« Nous sommes contents qu’il soit blanc, ce qui nous ôte une épine du pied. »

(Il voulait dire qu’il se dépêchait de dire que c’était un blanc pour éviter une émeute des noirs…)

Commentaires

  • Quand j’étais petite, l’antiracisme n’existait pas, c’est-à-dire dans les années 60, et les gens étaient massivement catholiques. Quand quelqu’un était tué, personne n’aurait eu l’idée saugrenue de faire une manifestation. La mort est laïcisée, et c'est pitié que de voir cela. Devant la mort, les gens gardaient leur dignité, et le mort était enterré avec dignité à l’église. Aujourd’hui, la réaction des gens devant une mort injuste est de défiler comme on défile le 1er mai avec les syndicats.; Il y a moins de piété, plus de culte du mort, l’incinération ayant désacralisé la mort, et c’est désolant !

  • Bien d'accord. Tout cela est parfaitement vrai.
    J'ai même connu l'époque, (enfant juste après la dernière guerre) où il ne serait venu à l'idée de personne de fuir lors d'une interpellation, car le policier ou le gendarme aurait tiré aussitôt sans hésiter sur le fuyard. Et tout le monde trouvait cela normal.

  • Tout le monde auraient trouvé ça normal parce que c'est normal aujourdhui comme hier

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